Marchandisation

en cela que consiste la richesse matérielle !) que le travail, qui n’est lui-même que la manifestation d’une force matérielle, de la force de travail humaine. » [Marx, 1965, p. 1413]. 10 . Cité par Ricardo [1962, p. 284]. 11 à-dire par la marchandisation du monde. Mais la lumière du soleil possède une valeur d’usage indispensable pour faire pousser du blé et, pourtant, le prix du blé ne contient pas la « valeur » d’échange de la lumière solaire qui n’a aucun sens. Ainsi, Aristote, les économistes

et généraliserait l’utilisation des transports collectifs pour lutter contre les nuisances urbaines : accidents routiers, bruits, pollution, effet de serre, maladies respiratoires… Exiger la gratuité est aussi une manière de lutter contre la marchandisation de notre quotidien. Comme la santé et l’éducation, les transports sont un service collectif où chacun-e doit avoir un libre et égal accès. Pour se dégager de toutes pressions politiciennes et financières, leur gestion doit se faire par ceux et

des dimensions sociales, économiques et culturelles, semble faire partie d'une logique de marchandisation des choses, quand la fête se présente comme un produit culturel, prêts à la consommation c’est ici que nous trouvons la commercialisation. Ce champ disciplinaire qui répond aux relations complexes d’échange nous faisant croire à propos de l'impact de ces activités sur la société. Cette marchandisation des produits culturels apparait parce que le système capitaliste identifie les produits culturels

droit sont trois domaines étroitement liés. Par ailleurs, pour Bernard Miège[3] et Gaëtan Tremblay, les industries culturelles nécessitent de gros moyens, mettent en œuvre des techniques de production en série, travaillent pour le marché (d’où marchandisation de la culture) et sont fondées sur une organisation de travail de type capitaliste (le créateur devient travailleur et la culture devient produit culturel). Dans ce sens, la définition des industries culturelles inclut les domaines du livre,

l’autre, il a sapé les fondements du vivre ensemble. Les savoirs et leur diffusion ont été placés au service de la rentabilité financière, et les êtres humains empêchés d’acquérir une maîtrise critique des connaissances et une culture commune. La marchandisation de tout jusqu’au corps humain, la guerre de tous contre tous et l’explosion des inégalités, la domestication de la culture et de l’éducation se sont abattues sur les peuples. Les grandes puissances se sont attelées à fournir des motifs de justification

Schumpeter, on avance vers une économie de marché. * Une économie de marché Des raisons historiques comme la Guerre Froide, une différenciation de l’économie socialiste. Aussi la mondialisation, on a eu une confusion, on a affaire à une marchandisation du monde ; les économies convergent vers un capitalisme anglo-saxon, le tournant pris sous Thatcher et Reagan. Pour les libéraux il y a une différence, on a un marché éternel, il y a des dispositions naturelles au marché chez les hommes, à l’échange

(pays d’Asie, d’Amérique Latine, Afrique), une opportunité de croissance économique qui engendrerait des aides et des offres de prêts importants destinées à développer par exemple leurs industries du tourisme. II) Marchandisation de l’être humain. « En vingt jours on peut briser n’importe quelle femme et la transformer en prostituée », a écrit Richard Poulain. Oui, l’utilisation du rapt, de la violence et du viol ont réduit les femmes et les enfants a du «bétail».

prostitution sont multiples : • Facteurs sociaux et psychologiques : La violence familiale, les sentiments de rejet, d’abandon, d’injustice, vécus dans l’enfance. Les abus sexuels : cela peut donner à une dévalorisation de soi qui peut engendrer la marchandisation de son corps. • Facteurs économiques : La pauvreté est souvent à l’origine de l’utilisation de son corps. Elle peut être due au manque de qualification, manque de revenus,… • Toxicomanie : Le fait de consommer

plus radical qu’il y a dix ans. Les adhérents de l’antipub trouvent facilement une audience au sein de l’opinion grâce aux divers thèmes : lutte contre la dictature des marques, contre la publicité sexiste, la croissance par la consommation, la marchandisation de la culture, etc. Le point commun a tous est de « casser » la publicité, instrument de l’idéologie totalitaire qu’est la société de consommation. Le mouvement de « casseurs de pubs » agit avec divers méthodes. Premièrement existe la méthode

l’ingénierie économique et sociale (consentement à payer, « opérations de branchements sociaux ») tarde à venir à bout de l’accès collectif, libre et gratuit à l’eau potable urbaine (fermeture toujours annoncée mais différée des bornes-fontaines). La marchandisation de l’eau est-elle possible dans les milieux urbains en développement ? Sur ces segments sociaux et dans les quartiers correspondants, de nouveaux dispositifs plus sociaux que marchands seront à imaginer comme s’y emploie le PNUD. Dans les