Marché Interbancaire Conclusion

sur le marché de l’épargne des offreurs et des demandeurs de capitaux. Le financement est dit externe car on utilise le financement de quelqu’un d’autre. Pourquoi dit-on qu’il est direct ? Il est direct car il y a une mise en relation qui n’est pas direct entre les agents. Celui qui est demandeur de capital émet un titre (ex : action, obligation). On distingue habituellement des capitaux prêté à long terme ou a court terme. Il y a des marchés de court et long terme. Le marché a court

indispensables au développement des nouvelles entités qui venaient d’accéder à la souveraineté internationale1. Déjà à l’époque, il était admis que la croissance et la prospérité des nouveaux Etats ne pouvaient pas être réalisées dans le cadre des marchés étroits correspondant aux territoires balkanisés hérités de la colonisation et consolidés par l’Organisation de l’Unité Africaine (OUA)2. Il est vrai qu’il n’était pas difficile de convaincre la classe politique africaine qu’il n’y avait pas d’alternative

ressources collectées : - dépôts ordinaires - dépôts d’épargne bancaire (livrets ou plans) - dépôts et ressources monétaires (emprunts interbancaires, émission de CD et BMTN, bons) - ressources de nature financière (titres obligataires et assimilés) - les flux d’intérêts perçus sur les créances ; du côté des emplois : - crédits à la clientèle - prêts interbancaires - opérations de portefeuille pour compte propre (transaction, placement ou investissement) b) Les commissions nettes facturées :

changes et de la littérature existante sur la question, l’auteur entreprend une étude empirique qui a pour but de vérifier l’existence d’un effet baissier de la fixité des taux de change sur le coût du capital et d’en appréhender les limites. La conclusion tirée de ce travail est que l’effet baissier de la fixité des taux de change sur le coût du capital existe bel et bien mais que son efficience dépend d’une crédibilité solide de la politique monétaire du pays en question. Abstract This research

taux de change et la détermination de la dynamique de ce dernier a suscité plusieurs théoriciens en Finance Internationale. Notre recherche s’inscrit le cadre de l'étude de la dynamique du dinar tunisien par rapport aux principaux partenaires sur le marché tunisien. En effet, sur trois chapitre nous avons essayé de cerner sa dynamique en appliquant en premier lieu le modèle monétaire à prix flexibles dont l'application de la procédure de cointégration de Johansen (1988) nous a permis de conclure que

risque de marché 4 1- Les sources du risque de liquidité 4 2- Liens entre risques de liquidité et de marché 5 3- Inquiétudes liées au risque de liquidité 6 II- Le risque de liquidité présent dans le système bancaire 7 1- Les mécanismes de circulation des liquidités bancaire 7 2- Le risque de liquidité bancaire 10 3- Mesure et gestion du risque 12 III- Le risque de liquidité sur les marchés financiers 14 1- Présentation 14 2- Les méthodes d’évaluation de risque 16 Conclusion 20 Bibliographie

Partie I : Approche théorique des marchés et de la gestion des risques de change : le cas marocain Chapitre I : le marché de change mondial (forex) 1. Définition et historique 2. Le marché de change au comptant 3. Le marché de change à terme Chapitre II : le marché de change Marocain 1. Historique 2. Les mécanismes de change au Maroc 3. Les principaux intervenants Chapitre III : le risque de change et sa gestion 1. définition et généralité sur le risque de change

en capital réglementaire est exigée pour ce type d’actifs. Ainsi, en créant des incitations au niveau de la composition du portefeuille d’actifs des banques, ces auteurs montrent une baisse du niveau de risque des banques. Fondée sur les mêmes conclusions que les travaux de Kim et Santomero, la réglementation du Comité de Bâle, adoptée en 1988 par les gouverneurs des banques centrales des pays du G10, préconise la détention d’un niveau de capital selon la qualité des actifs composant le portefeuille

bancaire est constitué de 4 grandes masses : * Les prêts interbancaires. Quand l’exploitation de la banque permet de dégager des excédents de trésorerie, elle peut donc proposer des prêts aux autres institutions financières. * Les Crédits à la clientèle qui représente le métier principal de la banque, crédits aux particuliers, professionnels, entreprises…. * Les portefeuilles titres, qui sont les placements de la banque sur le marché des capitaux pour compte propres. * Les immobilisations

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