Marché Parapharmacie

Le marché de la beauté a été marqué, au cours des quinze dernières années, par la montée en puissance structurelle de la grande distribution, rognant les parts de marché du sélectif (parfumeries et officines). Depuis 1996, cette perte de parts de marché par la distribution sélective se ralentit - voire disparaît - en raison principalement de sa structuration autour de puissantes chaînes spécialisées en parfums et cosmétiques. - Le sélectif peut-il reconquérir le marché des soins sur lequel

va-t-elle tenter d’imposer son produit par rapport au produit vendu par un concurrent  en lui donnant un nom? Ce nom est la marque. La marque est le trait d’union indispensable entre l’entreprise et le consommateur. En tant que repères sur les marchés pour les consommateurs, les marques facilitent la gestion de l’information sur les produits offerts, augmentent la confiance des consommateurs lors de la décision d’achat et contribuent également à la satisfaction lors de l’usage. Du point de vue

services de grande consommation :Quelle est la tendance actuelle du marché ? Pourquoi cette tendance ? Quelle sera son évolution probable ? Quelle est la meilleure stratégie pour parvenir à la croissance ? Dans le contexte actuel de marchés mondialisés et dynamiques, trouver des réponses claires à ces questions constitue un véritable défi. Nos services aident les clients à clarifier et à mieux comprendre les complexités du marché, afin qu'ils puissent prendre des décisions et mettre en place des mesures

corporelles. Dans l’optique de séduire une clientèle de plus en plus large et exigeante, Dove souhaite étendre sa marque et développer un produit sur le marché du capillaire. En France, ce marché semble être une bonne opportunité pour Dove puisqu’il est en expansion depuis 2001, avec un Cam dépassant les 900 millions d’€. Toutefois c’est un marché très concurrentiel, dominé par 3 principaux groupes : L'Oréal, Procter & Gamble, Lever – Fabergé. Dove devra donc proposer un produit de qualité mais surtout

Etude de Marché des produits cosmétiques 1. Définition du produit cosmétique  Selon la directive 93/35/CE de la réglementation européenne, « on entend par produit cosmétique toute substance ou préparation destinée à être mise en contact avec les diverses parties superficielles du corps humain, notamment l’épiderme, les systèmes pileux et capillaire, les ongles, les lèvres et les organes génitaux externes, ou avec les dents et les muqueuses buccales, en vue, exclusivement ou principalement

Introduction : Aujourd’hui en France, on constate que la part de marché de tous les produits lavant a fortement baissé, en particulier celle des shampoings, à -2,4% (2008). Mais les chiffres d’affaires, eux, restent néanmoins faramineux : 653 millions d’euros pour les capillaires dont 462 pour les shampoings. Une vingtaine de marques se disputent chacun des segments de ce dernier marché avec comme dilemme : Comment faire pour aller chercher de la croissance et recruter de nouveaux consommateurs 

* Comment le satisfaire ? Répondre à des questions hédoniques, pour que le consommateur se sente bien dans un magasin. Mais il faut remettre en question le rôle du distributeur (exemple de carrefour qui revoit l’intérieur de son magasin mais ça ne marche pas si bien). -La gestion d’un point de vente Comment gérer un point de vente ? Quels sont les outils de gestion possible ? INTRODUCTION GENERALE DEFINTION : I °) Qu’est-ce que la distribution : Pour Lendrevie et Lindon « distribuer

producteurs (certains produits se vendent mieux quand ils font partie d’une famille qu’une autre). Indissociablement de l’assortiment, la politique communication et de promotion dans le rayon fait état de plus en plus d’importance. Avec l’encombrement des marchés, résultant de la multiplication du nombre de références, de la saturation des espaces publicitaires, de la maturité du comportement des consommateurs,de la réduction du temps des courses etc… les décisions des acheteurs sont de plus en plus conditionnées

(certains produits se vendent mieux quand ils font partie d’une famille qu’une autre). Indissociablement de l’assortiment, la politique communication et de promotion dans le rayon fait état de plus en plus d’importance. Avec l’encombrement des marchés, résultant de la multiplication du nombre de références, de la saturation des espaces publicitaires, de la maturité du comportement des consommateurs,de la réduction du temps des courses etc… les décisions des acheteurs sont de plus en plus conditionnées

d’entreprise. En 1956, H.I. Ansoff a défini les décisions stratégiques comme celles qui « portent essentiellement sur les affaires non pas intérieures, mais extérieures de la firme, et plus spécialement sur le choix des produits qu’elle fera et des marchés où elle vendra ». Il les distingue des décisions opérationnelles qui visent à tirer le meilleur parti des activités d’une firme par une gestion courante efficace et également des décisions administratives qui portent sur l’organisation des structures