Marelle

langage grossier, l’absence de tout scrupule moral et social montrent son expérience professionnelle. Elle fréquente un lieu public de divertissement : Les Folies Bergère, un lieu où le plaisir s’achète. Madame de Marelle Ce qui frappe d'abord dans le portrait de Madame de Marelle, c'est son air de "garce ronde" qui séduit l'homme à femmes, une main qui se pose "sur son bras" et le trouble. Victoire facile pour l'homme, transporté de joie, et qui pourra désormais compter sur la permanence d'un

lui donne ses premières leçons d’apprenti chroniqueur, elle qui écrit tous les articles de son mari. Puis il découvre ses talents de séducteur aux Folies Bergères et fait la connaissance de Mme de Marelle, une sympathique maîtresse qui l’éduquera sentimentalement. La très jeune fille de Mme de Marelle, Laurine, lui donne un nom qui sonne comme un titre: Bel-Ami. Duroy reste financièrement malade; il est désormais aux Echos, là où il découvrira le milieu journalistique et sa malhonnêteté.

la place de son mari et qu’elle le trompe. Ce qui montre que Duroy ne pouvait pas rester marié avec elle car il ne supporte pas d’être dirigé. Mme De Marelle représente plutôt une femme du monde ordinaire. Il y a un passage p. 106 qui parle de Duroy qui a réussi à obtenir un rendez-vous avec Mme De Marelle et qui dit : « Il en tenait une, enfin, une femme du monde ! Du monde parisien, comme ça avait été facile et inattendu ! » Le mot monde est répété plusieurs fois pour montrer

comme étant un type d’étape de l’escalier socioéconomique de Georges Duroy. Madame Madeleine Forestier (Duroy). Chacun(e) des « étapes » que représente les femmes du roman portes aussi une valeur unique pour le progrès de Duroy ; Clotilde de Marelle sert comme amant principal et lui aide aussi financièrement, Madame Walter lui approvisionne de l’information concernant des banquiers et d’autres figures politique et évènement d’importance qui l’aide gagner du pouvoir sur eux, et même Rachel la

uniques. Duroy entretient une relation « durable » avec Madame de Marelle. Il est très attiré par cette jeune femme qu’il trouve belle & sensuelle. Leur relation se transforme en jeux. Très vite Madame Walter succombe au charme, mais cette attirance se transforme en amour que Duroy trouvé étouffant et insupportable. Son charme est tellement dévastateur qu’il fait aussi effet a Suzanne, encore adolescente. Les couples Walter et de Marelle illustrent les mariages d’intérêt. Ils ne connaissent pas d’amour

inférieures dans la société. Ce n'est donc pas que Duroy qui se sent supérieur à elles mais tous les hommes de la société de cette époque. Dans le chapitre 2, partie I, page 71, on voit que Duroy ‘obtient’, ‘adopte’ presque Laurine, la fille de Madame de Marelle, et l'embrasse dans un but d’obtenir une relation amoureuse avec sa mère: ‘’Duroy fut pris d'une envie folle d’ embrasser la fillette, comme si quelque chose de ce baiser eut du retourner à la mere”. Duroy a un charme impressionnant, inévitable, un

jusqu se faire amis avec les maris tromps de Clothilde de Marelle et Mme Walter, son propre patron. Allant mme jusqu proposer le mariage la femme de son ami quil veille lors de sa mortPathtique... Son travail en tant que journaliste nest pas tellement plus reluisant, fait dchos et de rumeur pas toujours trs honntes... Les seuls moments o Georges laisse transparatre un peu de sentiments, sont les moments partags avec la douce Clothilde de Marelle qui va le charmer ds le premier regard et rciproquement

déclencheur du processus d’ascension chez Duroy. Son portrait psychologique repose sur une certaine ambiguïté, femme séduisante, Maupassant a su lui donner des traits masculins à travers son penchant pour la politique et son sens du calcul. Mme de Marelle, qui deviendra rapidement la maîtresse de Duroy est un exemple de maîtresse parfaite. Elle est séduisante, attirante et fait preuve d’une grande indulgence. Contrairement à Madeleine Forestier, elle a d’autres préoccupations, elle apprécie l’amusement

lui attribue ? 3. Qu’est-ce qui justifie l’attribution de ce surnom ? 4. « Bel-Ami » porte-t-il bien son nom ? Éléments de réponse  Georges Duroy reçoit le surnom de « Bel-Ami » (I,5) ; c’est une enfant, la fille de sa maîtresse, Laurine de Marelle, qui l’appelle ainsi avec une certaine pertinence, si bien que ce sobriquet est repris par toutes les femmes et même par M. Walter. Mais cet aimable surnom va servir au héros de paravent dissimulant sa dangerosité. Il incarne la beauté mâle de l’époque

c’est sa femme rien de plus ("il lui prend le bras pour traverser l’église") c’est donc l’objet de sa gloire, le contrat de sa richesse. - Victoire avec l’amour de sa maîtresse car en plus de l’argent et du pouvoir, il a sa maîtresse : Madame de Marelle. Celle-ci seule avec le sort de son rêve : champ lexical de l’amour "baisers", "caresses", "gentillesse", "désir", "plein d’amour". - C’est la seule femme dans le roman qui se détache de lui plusieurs fois mais qui revient toujours par amour. Cet