Margaret Thatcher

poids des syndicats, législation du travail contraignante). Le contrat à durée indéterminée (CDI) était la norme. La croissance du chômage et le renouveau des idées libérales matérialisé par Ronald Reagan aux États-Unis entre 1980 et 1988 et Margaret Thatcher au Royaume-Uni entre 1979 et 1990 ont conduit à remettre en cause ce mode de gestion de la main d'œuvre : il s'agit de donner aux entreprises, paun meilleur équilibre offre-demande de travail et donc une baisse du chômage. Aux États-Unis et

place à l'échelle européenne, avait pour but de développer l'agriculture à l'aide de subventions des états signataires. Or le gouvernement britannique perçu comme une injustice qu'elle recevait moins que ce qu'elle donnait. A cette époque, Margaret Thatcher accéda au poste de premier ministre. Très peu enthousiaste à l'intégration européenne, elle dit lors de l'un des ses discours: "I want my money back !" ("Je veux récupérer mon argent"). Menaçant d’opposer son véto au vote de toute dépense supplémentaire

américains. Ses idées économiques sur le monétarisme, la fiscalité, les privatisations et la dérèglementation ont inspiré les politiques économiques de nombreux gouvernements à travers le monde, notamment ceux de Ronald Reagan aux États-Unis, de Margaret Thatcher en Grande-Bretagne, d’Augusto Pinochet au Chili, ou de Brian Mulroney au Canada.

émergence des politiques néolibérales appliquant la politique des* 3D (déréglementation, désintermédiation, décloisonnement) favorable à l'épanouissement des marchés financiers au Royaume-Uni et aux États-Unis sous les règnes de Ronald Reagan, Margaret Thatcher, George Herbert Bush et John Major. 1986 : « Big Bang » à la bourse de Londres. Application des 3D.

monde : l'Asie de l'Est. Fort de ces succès, la classe politique japonaise se permis d'adopter un processus de libéralisation de ses marchés. Elle s'inspira en fait des opération d'unification des marchés en Grande-Bretagne, sous le régime de Margaret Thatcher et aux Etats-Unis, sous le régime du président Reagan. Le Japon s'est aperçut de la nécessité de ne pas s'opposer à la stratégie de ces deux « géants économiques » et décider alors d'entamer des processus d'harmonisation et de déreglementation

l’inefficacité patente des politiques keynésiennes à relancer durablement l’activité, des politiques économiques libérales sont alors mises en place, à des degrés divers selon la culture nationale, surtout dans les pays anglo-saxons, Royaume-Uni avec Margaret Thatcher (1979-1990) et États-Unis avec Ronald Reagan (1980-1988). La relance par l’offre dérégule les marchés, baisse les impôts, supprime les structures inefficaces. [Transition] Ces politiques – socialement douloureuses – purgent cependant les économies

pourtant, pulvérisés, Sur l’autel, de la violence éternelle » Et il a également sorti en 1985 Miss Maggie, une chanson se voulant être une ode aux femmes mais qui s’avère être un blâme de l’ancienne premier ministre britannique, Margaret Thatcher (qu’il a aussi chanté en anglais). Cette chanson a d’ailleurs provoqué une polémique à cause des paroles insultantes qu’il proférait contre elle, et il y a même eu des chansons réponses anglais contre la France (comme celle de Jeremy Nicholas

→ Dans les années 1980, pour stimuler l’initiative et la compétitivité des entreprises, les gouvernements décident un désengagement de l’Etat (déréglementation, privatisation, libéralisation des prix, allégement fiscaux etc). C’est le cas de Margaret Thatcher en Angleterre ou de Ronald Reagan aux USA. Vers une société de communication Une croissance instable et mal partagée → Dans tous les pays de l’OCDE, l’inflation a été jugulée à partir de 1983. Mais la croissance est inégale selon

américains. Ses idées économiques sur le monétarisme, la fiscalité, les privatisations et la dérèglementation ont inspiré les politiques économiques de nombreux gouvernements à travers le monde, notamment ceux de Ronald Reagan aux États-Unis, de Margaret Thatcher en Grande-Bretagne, d’Augusto Pinochet au Chili, ou de Brian Mulroney au Canada.     

américains. Ses idées économiques sur le monétarisme, la fiscalité, les privatisations et la dérèglementation ont inspiré les politiques économiques de nombreux gouvernements à travers le monde, notamment ceux de Ronald Reagan aux États-Unis, de Margaret Thatcher en Grande-Bretagne, d’Augusto Pinochet au Chili, ou de Brian Mulroney au Canada Jeunesse et formation Particulièrement contestées, notamment parce qu'elles négligeaient leurs conséquences sociales, les théories de Milton Friedman se déploient