Marginaliste

W. Stanley Jevons (1835- 1882) est un économiste anglais qu’on considère comme un co-fondateur de l’école néoclassique et de la « révolution marginaliste », tout comme Carl Menger et Léon Walras. Il écrit plusieurs ouvrages, dont celui que nous aborderons qu’est l’économie politique. Dans cet ouvrage, il nous parle de certaines notions tout aussi importantes les unes des autres, comme la valeur, l’utilité, le capital et les salaires. Avant tout, pour Jevons, l’économie politique doit traiter

par un système d’équations que le système des prix issu de ces bases, aboutissait, en régime de concurrence parfaite, à un équilibre général. L’économie devenait « une science » renvoyant Marx au rayon des idéologies… On parle de révolution « marginaliste » puisque c’est l’utilité marginale d’une marchandise – celle de la dernière unité produite ou consommée – qui détermine la valeur de toute les autres. Dans les années 1880-1890, les néoclassiques vont donc ainsi succéder aux classiques. Mais

des échanges internationaux sur les seuls écarts de productivité du travail. Au plan théorique d’ailleurs, les économistes ont pour la plupart abandonné la théorie de la valeur travail en adoptant les conclusions et les méthodes de l’analyse marginaliste (théorie de la valeur utilité). Il n’est donc pas surprenant que le modèle ricardien apparaîsse de moins en moins adapté à l’explication des échanges entre les grandes économies. Deux économistes suédois sont à l’origine d’une nouvelle explication

achevée de l'histoire La vision normative : l'abolition de la propriété privée et du marché C) L'analyse Valeur, prix et revenus : Marx, un critique « radical » Croissance et fluctuations : la crise et son issue I.4. La révolution « marginaliste » et la science « néo-classique » En se détachant de la fin politique, comme elle le fait au XIXe siècle, la connaissance se précise. Walras (1871) parle d'une « économie pure », déductive et abstraite. Une science économique se constitue sur

l’équilibre de l’offre et de la demande sur les marchés. Les méthodes d’analyse des économistes néoclassiques se distinguent de celles des classiques. Leur approche est plus formelle (c’est à dire mathématisée) et ils sont à l’origine du raisonnement marginaliste où les agents comparent le prix d’une unité supplémentaire avec l’utilité que leur procure cette unité supplémentaire : c’est l’application de l’individualisme méthodologique. • La théorie de l'équivalence ricardienne (1821) postule que l'effet

Albert Gallation est le ministre des finances aux EU, succession Carey : à la base favorable au libre échange mais va changer d’avis état central où pouvoir faible : pouvoir est dans chanque état que compose l’union. Chapitre 5 L’émergence des marginalistes (A partir de 1870) Le changement d’optique : un accent sur les comportements individuels 1) Jevons (1835-1882) Walras (1834-1910) Menger (1840-1921) Ils vont dvp que la théorie économique n’existe pas, qu’il n’y a pas de loi général, l’offre

tenté de répondre à la question de savoir comment, pour un niveau de revenu donné, le consommateur arbitre entre les différents biens offerts sur le marché. Ce courant de pensée a été connu sous le nom d'“ école marginaliste ”. Le point de départ de l'analyse des marginalistes est la fonction d'utilité. Pour eux, la valeur des choses ne dépend pas de leurs coûts de production mais de leur utilité. L'utilité considérée n'est pas l'utilité totale de la quantité d'un bien mais l'utilité de

analyse de Smith. • Jean-Baptiste Say: fr. fin 19e s. école des classiques. La prod est aussi la création d’utilité. C’est une production marchande. Depuis 76, la prod intègre l’apport des administration publiques. • Les néoclassiques ou marginalistes: depuis 1870 jusqu’à nos jours. Tout ce qui satisfait un basion relève de la prod. II. LE CIRCUIT ÉCONOMIQUE: L’éco national met en relation des millions d’agents. On a donc des problème d’équilibre et de circulation des décisions. 3 circuits

L’économie comme science logique, les écoles marginalistes (des 1870) -proche de l’école classique quant aux principes généraux de raisonnement -se distingue car elles veulent faire de l’économie une science exacte telle la physique -développe la Théo de la « valeur-utilité » la valeur des choses est déterminée du côté de la demande -pour les classiques c’est le coût de production qui détermine sa valeur donc du coté de l’offre - les marginalistes lient utilité et rareté on parle d’ « utilité

de la firme il convient de considérer les conditions de production et d’allocation des ressources d’une part, et les caractéristiques de coûts et de l’offre d’autre part. 2.1 Conditions de production et conditions de l’offre dans l’approche marginaliste de la firme  Dans la construction théorique de la production, le premier souci du producteur est celui de la combinaison technique des facteurs de production disponibles pour réaliser le maximum de production possible. La réalisation de l’allocation