Marguerite Yourcenar

Bonjour, je m'appelle Cécile HENRY, j'ai 18 ans et j'habite à Houssen je suis actuellement en classe de première professionnel Gestion-administration au Lycée Marguerite Yourcenar d'Erstein. J'ai choisi cette formation pour ses débouchées et parce que le domaine du secrétariat m’intéresse. Après le baccalauréat professionnel Gestion-administration j'envisage de faire une faculté de droit. J'ai déjà effectué plusieurs stages en milieu professionnel. Dans une TPE à Optique Valentin à Colmar pendant

Aymé, Jules Supervielle, Julien Gracq, Mandiargues, Jean Giono, Raymond Queneau, Michel Tournier, Alain Robbe-Grillet, J.M.G. Le Clézio, Daniel Boulanger et Châteaureynaud, (et les autres comme: Andrée Chedid, Anna Gavalda, Michèle Gazier, Marguerite Yourcenar, Hélène Lenoir, Fabrice Patant, Pascal Gautier, Marcel Schneider, Eric Holder, Serge Joncour, Vincent Ravalec, Pierre Autin-Grenier, Marie-Pascale Huglo, Virginie Reisz, Michèle Sigle et Gaëtan Brulotte), Annie Saumont a une place particulière

de JJ Rousseau (pacte autobiographique : se raconter en étant sincère) • Autoportrait de Michel Leiris dans L'Age d'homme (l'objectivité et la subjectivité) • Extrait de Lambeaux de Ch. Juliet • Incipit de Souvenirs Pieux de Marguerite Yourcenar • Extrait de La Place d'Annie Ernaux (relation père / fille ; vision de l'école et nécessité des études)  • Extraits d'Enfance de Nathalie Sarraute (l'enfance : période cruciale forgeant le caractère de l'adulte ; les problèmes de

d'Henri IV et de sa favorite Gabrielle d'Estrée. Claude Dupin achète le château le 9 juin 1733. Son épouse tient un salon et reçoit Voltaire Marivaux, Montesquieu, Buffon et Rousseau. Plus d'un siècle plus tard, en 1864, c'est encore une femme, Marguerite Pelouze qui achète le château et demande à l’architecte Felix Roguet de le restaurer. La façade et la toiture des Dômes sont remaniés ; l’intérieur est remplacé par des écuries. L’intérieur du château n’est pas épargné : menuiserie, sculptures

Intro : Comment Wang-Fô fut sauvé est la première nouvelle du recueil Nouvelles orientales. En reprenant le sujet d’une légende chinoise, Marguerite Yourcenar raconte l’histoire d’un vieux peintre (Wang-Fô) très réputé au royaume de Han, dans l’ancienne Chine. Les premières pages de la nouvelle nous montrent son aptitude à voir partout des sujets pour sa peinture. Fasciné par cet artiste, le jeune Ling a quitté une vie confortable pour devenir son ami et assistant très dévoué, et a décidé de suivre

semblent aujourd’hui des mythes et nous dévoilent leur jugement sur eux. Cependant, dans ces trois œuvres, Napoléon, Jaurès et Churchill n’occupent pas le rôle de protagonistes et les auteurs ne nous dévoilent jamais leurs pensées, comme le fait Marguerite Yourcenar dans Mémoires d’Hadrien.

espressioni in corsivo sono tratte dal « Petit Robert 2008 », le espressioni in corsivo sottolineate sono mie. 4) « Ogni rilettura d’un classico è una scoperta , come la prima lettura »I. Calvino Perché leggere i classici 5)L’œuvre au noir , Marguerite Yourcenar, in exergue à Le tour de ma prison , Gallimard 1991.

Le Portrait ovale, d’Edgar Poe (1842), Nouvelles histoires extraordinaires (poche, folio…), traduction de Baudelaire. ● Le Chef-d’œuvre inconnu, de Balzac (1845) (nous nous référerons à l’édition G.F.), ● Comment Wang-Fô fut sauvé, de Marguerite Yourcenar (1963), Nouvelles orientales, L’imaginaire Gallimard. I. Le portrait, mort ou vif ? Le Portrait ovale : la représentation qui tue Rappelons brièvement l’histoire : 1e partie – Le narrateur (déplorablement blessé, on ne sait pas

l’érudition et les examens méthodiques, le mystère de l’infini. Il existe bien un objet qui échappe aux normes habituelles, mais ce constat est douloureux car il révèle les failles et les bornes de l’esprit humain. « Comment Wang-Fô fut sauvé », de Marguerite Yourcenar, est la nouvelle qui se rapproche le plus de l’esthétique du merveilleux. La métalepse (le peintre entre dans l’œuvre qu’il vient de peindre) ne semble pas vraiment choquer les personnages ni le lecteur. Cette échappée dans un autre monde est

peintre de l’univers ». Il dit par la suite, avec amertume et à voix basse : « quel malheur, monsieur le Syndic, que Dieu ne se soit pas borné à la peinture des paysages ». Cette dernière nouvelle fait écho à la première nouvelle du livre de Marguerite Yourcenar, Comment Wang-Fô fut sauvé. La première est optimiste, la dernière, pessimiste.