Mariage Putatif Cas Pratique

................................................ 6 SECTION I – LES CONDITIONS ................................................................................................................................... 6 § I - Les conditions de fond du mariage ............................................................................................................... 6 I – Les conditions d’ordre physiologique...........................................................................................

Partie I : La naissance. Cas de la mère porteuse traité dans un arrêt en Assemblée plénière du 31 mai 1991. Un couple marié avait eu recours à une mère porteuse : ils on voulu adopter (dans ce cas c’était la mère qui ne pouvait pas porter d’enfant, l’enfant était donc seulement celui du père) pour que la femme soit reconnue comme la mère de l’enfant. Mais on a considéré que l’adoption ce n’était pas cela car c’est donner une famille à un enfant qui n’en a pas et dans ce cas c’est donner un enfant

d'égalité entre époux et protection préservation des droits de l'Homme. * loi du 23 décembre 1985: relative au régime matrimoniaux, dans cette loi on parachève l'égalité entre l'homme et la femme. Auparavant, l'homme avait une sorte de prééminence en cas de désaccord. * loi du 22 juillet 1987: dans cette loi là, on indique que l'autorité parentale est exercée en commun par les deux époux. * loi du 10 janvier 1993: s'attaque à un autre problème du droit positif car il existait en droit positif une

élément d’extranéité. Exemple de l’anglais qui épouse une suédoise en Espagne, qui vit en France. Au moment du divorce, demande faite devant un tribunal français. Quelle loi le juge français, à le supposer compétent, est-elle applicable ?  Dans ce cas, au moins quatre systèmes juridiques pourraient prétendre régler ce divorce. Les lois Anglaises, Suédoises, Espagnoles et Françaises car tous les quatre ont un lien d’accrochage avec l’affaire.  Art 310 du code civil. Quatre systèmes juridiques peuvent

séparation de corps? * Supposons que le juge fçais se déclare compétent, il va être amené à se poser une question: si le juge fçais considère que le jugement de divorce prononcé au Mexique a une valeur, et que le divorce mexicain a dissout le mariage, pourquoi devrait-il se prononcer sur une séparation de corps? On ne demande pas la séparation de corps entre divorcés. Quelle est la valeur en France la valeur du jugement de divorce prononcé au Mexique? * Supposons que le juge fçais se

qu’un homme et une femme sont unis. Dans le sens juridique, on ne trouve pas de définition. Le Code civil connaît aujourd’hui trois formes d’unions : le mariage, le PACS et le concubinage. Mais ce paysage polymorphe n’a pas toujours existé. Première période (1804-1960) : Le monopole du mariage Dans cette période, le couple se résume au mariage. La famille est conçue comme un lieu de reproduction, d’éducation des enfants et de solidarité conjugale et intergénérationnelle. Le couple et la famille

analyse a posteriori du comportement que les intéressés, parfois inconsciemment, avaient adopté entre eux et vis-à-vis des tiers. Sur le plan purement pratique, cette solution permettait d’utiliser le cadre juridique des sociétés pour résoudre certaines situations de fait qui n’avaient pas été dotées d’un régime juridique précis7. C’est précisément dans ce cas de figure que l’expression société créée défait a été employée. 3. La distinction ainsi établie entre les sociétés de fait et les sociétés créées

famille est une unité de base, un fait universel au nom duquel le mariage est la plus ancienne coutume de l’humanité. Le droit de la famille est la première partie du CC, il donne deux types de définition de la famille ; la famille est un groupe de personnes unies par les rapports de parenté et d’alliance (parenté = lien qui naît de la filiation et relie entre eux les descendants d’un auteur commun), (alliance = est le lien créé par le mariage et qui unit deux conjoints et leur famille). Définition de M

vocable « bonne foi », le singulier du sujet fait problème. En effet, l’expression est polysémique et son usage, par-delà le droit des contrats, signale une pluralité d’acceptions. Ainsi, la bonne foi visée dans l’usucapion ou dans la cadre du mariage putatif renvoie à l’ignorance légitime d’un fait : c’est une bonne foi statique, qui vise simplement à protéger l’ignorant dès lors que cette ignorance n’est pas fautive. L’ignorant bénéficiera d’une prime à la bonne foi. Il existe aussi une autre acception

personnalité juridique. Les choses ne sont dont pas des sujets de droit mais se sont des objets de droit. Les hommes aujourd'hui sont biensur des personnes, sont sujets de droit et donc ont la personnalité juridique. Mais ce n'a pas toujours été le cas, jusqu'à une loi du 31 mai 1854, les condamnés et plus précisément les condamnés à des peines perpétuelles pouvaient être frappé d'une mort civile, la sanction consistait à leur retirer la personnalité juridique. Avant le décret Schoelcher, l'esclave