Marianne Oswald

caprices de Marianne » écrit par A. Musset en 1833 c'est la scène 1 de l'acte 2. Le second texte est un extrait de « Le Dindon » de Georges Feydeau en 1896. Le texte 3 est un extrait de « Un Chapeau de paille d'Italie » d'Eugène Labiche écrit en 1898 c'est l'acte 1 de la scène 6. Ces textes abordent tous un passage ou la fidélité est mise en jeu. Argumentation : Nous allons travailler sur un extrait du texte théâtral de Alfred de Musset Octave prends un ton séducteur avec Marianne :  « Belle

et fugitive que les cadres rigides dans lesquels on tente de l’enfermer. Marivaux est, avec l’abbé Prévost, un des écrivains qui ont le plus profondément réfléchi sur le paradoxe de l’écriture romanesque. Sa grande œuvre romanesque est La Vie de Marianne dont la rédaction s’étend sur environ quinze ans L’héroïne, âgée, raconte sa vie, mais entremêle son récit de réflexions, de méditations, sur l’amour, l’amitié, la sincérité, la reconnaissance sociale du mérite personnel. L’œuvre demeure inachevée

 monument  de   ville,  ainsi  que  la  distance  qui  sépare  cette  ville  de  Montpellier.       Place  Ernest  Granier,  non  loin  de  l’arrêt  de  tram  de  port  Marianne  nous  pouvons  apercevoir,   un  cercle  de  panneaux  aux  couleurs  de  la  nation  française  réalisé  par  Ludger  Gerdes.                    

Sujet d'invention Chère Julie, je vous envoie cette lettre pour vous dire que je vous propose de jouer le personnage de Marianne de ma pièce que je vais presenter l'été 2016. Cette pièce est evidemment tirée des Caprices De Marianne d'Alfred de Musset. Je vous ai choisi car vous êtes dynamique, vous passez merveilleusement bien sur scène. Vous allez bien sûr me demander: Pourquoi moi? et bien je vais vous le dire tout d'abord parce que je vous ai déjà

l’auteur : Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux, plus connu sous le nom de Marivaux, est un écrivain français né le 4 février 1688 et baptisé le 8 février 1688 à Paris où il meurt le 12 février 1763. Ses œuvres les plus connues sont La Vie de Marianne, La Dispute ou encore la Fausse Suivante.

LES CAPRICES DE MARIANNE, UN SUCCES FULGURANT. Quelle est l’explication de ce mystérieux succès qui allie de nombreux ressenties. Une histoire qui mêle amour, drame et désir. Tout d’abord la pièce de théâtre que nous commenterons est une œuvre écrite par le célèbre Alfred Musset, poète et dramaturge français inscrit dans la période du romantisme. Il a écrit Les Caprices de Marianne le 15 mai 1833. Pièce qualifiée de comédie mais proche du genre dramatique. Parlons maintenant de l’histoire

 Que pense-tu de Marianne ? Je pense que Marianne est une femme moderne qui prend des décisions à l'improviste pour prouver qu'elle est libre de ses choix. Sa soudaine décision de prendre un amant est clairement pour contredire, désobéir à son mari qui lui a interdit de fréquenter un homme. Marianne est vierge dans le sens ou elle n'a pas encore aimé, on lui a imposé un mari, elle ne veut pas qu'on lui impose un amant, d'où son refus des avances de Coelio qu'elle ne connaît pas. De plus

période la plus féconde d'Alfred de Musset, production exacerbée par les souffrances vécues lors de la liaison passionnée et douloureuse qu'il a avec George Sand, de 1833 à 1835. Il écrit notamment à cette époque les pièces suivantes : Les Caprices de Marianne, Fantasio, On ne Badine pas avec l'Amour, Lorenzaccio, le Chandelier, Il ne faut jurer de rien, Un caprice. Les poésies des Nuits et La Confession d'un enfant du siècle témoignent également de son caractère passionné et souffrant. La dualité irréconciliable

fondant sur l’amour naissant traduit en un langage délicat, un jeu de séduction par le langage, par la suite appelé « marivaudage ». Marivaux est un polygraphe : il est non seulement l’auteur de pièces de théâtre mais aussi de romans (La vie de Marianne et Le paysan parvenu) et, en tant que journaliste, d’articles de presse écrite. Inscrit dans la lignée des moralistes du XVIIe siècle, comme La Bruyère, La Rochefoucauld, et de leurs devanciers que sont Montaigne et Pascal, le théâtre de Marivaux

* Lecture Analytique 1 : Les Caprices de Marianne (Acte I, scène 1) En quoi ces deux personnages apparemment si différents sont ils en fait des alter-égo où se révèle le déchirement de leur acteur ? I. La complémentarité des deux amis 1) L’attirance de l’un envers l’autre Déploration, effusion fraternelle, tutoiement, interrogations (intérêt mutuel). Octave est le confident de Ceolio + auxiliaire. On observe un dévouement profond d’octave qui va de paire avec le besoin de Ceolio.