Marie Antoinette Conclusion

..... 36 Arrêt d’un produit .......................................................................................... 38 Marché public ................................................................................................ 38 V. Conclusion .......................................................................... 40 4 I. Introduction Depuis la fin des années 80, les musées connaissent un renouveau considérable qui se traduit notamment par la multiplication des expositions temporaires

femmes se sont emparées de tous ces ornements consacrés à la royauté et à la divinité» (Louis-Sébastien MERCIER, tableau de Paris, 1782) 7 Sous le Règne de Louis XVI, l’engouement pour les plumes ne fait que croître sous l’impulsion de Marie-Antoinette qui avait la passion des plumes. «Quand la Reine paraissait dans la galerie de Versailles, on y voyait une forêt de plumes élevées d’un pied et demi et jouant librement au dessus des têtes» (GIRAUD-SOULAVIE Jean-Louis, Mémoires historiques et

habituées à parler à l’oral. On voit donc que les professeurs qu’ils soient des hommes ou des femmes n’ont pas les mêmes attentes selon le sexe des enfants. Ils auront une prédisposition à encourager les garçons et à être plus exigeant envers eux. Marie Duru-Bellat, dans son livre « Filles et garçons à l’école, approches sociologiques et psycho-sociales » évoque le fait que les garçons reçoivent davantage de contacts strictement pédagogiques ; ils bénéficient d’encouragements plus fréquents, notamment

que douze ans3. Son père, camelot bourru et volage, l'abandonne pour aller faire fortune en Amérique (invention de Gabrielle qui fait de son père un aventurier)5 et elle se retrouve ainsi seule avec ses deux sœurs, Julia-Berthe, treize ans, et Antoinette, huit ans, à l'orphelinat de l'abbaye cistercienne d'Aubazine en Corrèze6 : elle y mène une vie austère et rigoureuse pendant six années qui marqueront profondément le style révolutionnaire de la future styliste. Elle se serait inspirée du lieu

femme, prendre la parole directement pour s’adresser aux députés, elle dicte à son secrétaire le discours qu’elle ne peut prononcer. [PASSAGE] Notre passage correspond au « préambule » de la Déclaration et fait suite à la lettre à la reine Marie-Antoinette. Il expose les objectifs de sa demande et sert d’introduction aux dix-sept articles des droits et des devoirs de la femme et de l’homme. [PROJET DE LECTURE] Nous nous demanderons en quoi ce préambule met en lumière le combat d’Olympe de Gouges

compensent le déficit de la balance commerciale . 1890-1895 ; La balance des paiements courants rapporte :1, 1milliard de francs . 1910-1913 : 2,6 milliards . La France est une économie en tertiarisation , développement du tourisme . Conclusion : Les secteurs primaires ne contribuent pas à l’économie , toutefois cela est compensé par une participation active des secteurs tertiaires . 3- «  Il n’est de richesse que d’hommes «  Jean Bodin - est un humaniste - Forces et faiblesses

de la diffusion .................................................................................................. 73 Publics et appropriations.............................................................................................. 73 4. Conclusion .....................................................................................................................74 5. Bibliographie ...........................................................................................................

une indépendance intellectuelle et financière. Cela va lui permettre de s’élever intellectuellement, d’envisager un futur plus ouvert sur le monde, différents métiers scientifiques ou littéraires, ce que ne lui aurait pas permis une vie de femme mariée et de mère, confinée à des tâches ménagères. (2 points : 1 point pour la réponse et 1 point pour les citations et justifications par le texte) Texte 2 : 5 points 1- a) « Les filles deviendront des femmes qui seront obnubilées par le mariage alors

Les limites à la liberté de se marier. 2 DOCUMENT 1 (Req., 27 déc. 1944) Contrats et Conventions – Cause – Courtage matrimonial – Licéité. L’engagement pris à l’égard d’un courtier matrimonial pour le cas où ses démarches aboutiraient à la conclusion d’un mariage, n’est pas une obligation sans cause, ni reposant sur une cause illicite, alors qu’il n’est pas allégué que le courtier a eu recours, pour faire aboutir le mariage, à des manœuvres dolosives dont on aurait eu à se plaindre par la suite

prestigieuses. Restent à examiner les conditions de production et de réception. Les auteurs nous proposent alors l’exemple des prédications du Moyen-Age central qui illustre l’interpénétration croissante entre les cultures cléricale et laïque. Yves-Marie Bercé se base sur une impasse de l’histoire politique pour mettre en avant une nouvelle discipline historique basée sur de nouvelles sources, telle la rumeur. Ainsi, il prend d’abord à titre d’exemple le mythe des empoisonneurs de fontaines pour souligner