Marius Giudicelli

À Paris, en 1907, un enlèvement est commis à l'Opéra durant un défilé de haute couture: la belle chanteuse Régine Aubry est conduite par deux individus dans une maison non-identifiée où on la dépouille de son corselet de diamants. Puis elle est relâchée, sans sa parure évidemment au grand dam du diamantaire véreux Van Houben qui avait conçu la robe. Quelque temps après, s'opère une étrange répétition des évènements. Un petit mannequin d'origine modeste, Arlette se voit kidnappée par les mêmes indvidus

concentre les pouvoirs. Caïus et ses partisans sont arrêtes et tués. Caïus Marius, général talentueux va cumuler un certain nombre de fonction. Il va mettre en œuvre une réforme qui va changer l’histoire de Rome. Sous la république, il n’y a pas d’armée de métier, les légionnaires sont les citoyens qui doivent le service militaire. Il va recruter des mercenaires qu’il va payer lui-même. Sylla comprend suite à la réforme de Marius que l’autorité appartient aux imperatores (généraux de l’armée). Il va

d’accord de partagé différemment * Optimates : sénateurs qui ne veulent rien changer au système qui fait leur fortune * Duels arbitré par les généraux qui ont la gloire, richesse et armée dévouée pour eux Conflit Marius-Sylla Caius Marius (-157) politiciens populaire (nobles). Général, son lieutenant est Cornelius Sylla, écrase un rebelle en Afrique du nord (Jugurtha). Il obtient le consulat en 4 X de -104 à -101 (normalement non-renouvelable). Il repousse les Cimbres et

LA DIALECTIQUE CENTRALISATION/DECENTRALISATION Recherches sur le caractère dynamique du principe de subsidiarité Jean-Philippe Derosier* « — Pourquoi alliez-vous cambrioler en province ? — Je faisais de la décentralisation. », disait Alexandre Marius JACOB lors de son procès devant la Cour d’assises de la Somme, qui s’était ouvert le 8 mars 1905. En effet, à l’époque, « Un bandit recherché à Nantes pour meurtre et pris à Verdun en flagrant délit de cambriolage avait toutes les chances, pourvu

Sylla (186-78 avant JC), un personnage issu d’une branche pauvre de la grande famille patricienne Cornelia. Il commence tardivement sa carrière de magistrat : il est questeur en 108, se distingue en Afrique contre Jugurtha sous le commandement de Marius, « l’Homme nouveau », ce qui fait naître entre les deux hommes une très grande rivalité, que l’expédition de Sylla comme preteur en Asie ne fait qu’augmenter. La Guerre sociale (91-88 av. JC), qui voit l’opposition entre le pouvoir central romain

entre les partisans de Caius Marius, chef des populares, et ceux de Sylla, puis victoire des légions de Sylla sur les marianistes aux portes de Rome en 82 av. J.-C., suivie d’impitoyables chasses à l’homme contre les proscrits du camp adverse. Ses relations familiales placent Jules César parmi les populares dans le jeu politique romain. Sa tante Julia fut l’épouse du consul Marius et lui-même épouse en 84 av. J.-C. Cornelie Cinna la fille de Cinna, successeur de Marius. Malgré ces alliances familiales

|OPTIMATES | |Jules César (Caius Julius Caesar) |Cicéron (Marcus Tullius Cicero) | |Marius (Caius Marius) Sylla (Lucius Cornelius Sulla) | |Catilina (Lucius Sergius Catilina) |

Italiens et les affranchis confirmés, déplaçant la majorité dans les comices au profit de Marius. * Sylla est chargé par le Sénat romain de la lutte contre Mithridate VI mais un vote des Comices va attribuer le poste à Marius. Ce revirement est obtenu par Publius Sulpicius Rufus, lequel renonce à sa qualité de patricien pour devenir tribun de la plèbe, qui emporte l'adhésion des Comices en faveur de Marius. * Guerre civile : Sylla, alors en Campanie, accourt à Rome * En -87 :

Marius Caius Marius est né en 157 av. J.-C. à Careatae et mort à Rome en 86 av. J.-C. C’était un général romain et a été sept fois consul. Il faisait partie de la gens des ‘’Marii’’, une famille humble et d’origine plébeienne. Marius était du coté des populares. Il ne possède pas de cognomen (réservé aux familles de l’aristocratie). Son éducation fut plus militaire qu’intellectuelle. À 25 ans, il participe au siège de Numance (Espagne) sous les ordres de Scipion Emilien. Celui-ci impressionné

objets tournant autour de Jupiter. Le 13 il en voit quatre et Galilée poursuit ses méticuleuses observations pendant 54 jours avant de publier son Sidereus noncius (le Messager céleste) le 12 mars 1610. Au même moment, l’Allemand Simon MARIUS ou MAYER (1570-1625) observe à Ansbach, près de Nuremberg. Se phénomène est décrit dans son livre. En été 1610, Galilée poursuit l’observation des satellites de Jupiter. Pendant l’hiver 1610-1611, il entreprend de déterminer les périodes de révolution