Marius Sylla

Devient consul en 603 av JC mais exilé Dans la seconde moitié du 2° siècle av JC : la république est entrée en crise : lié à l’écart grandissant entre les plus riches et les plus pauvres ? Certains hommes vont en profiter pour prendre le pouvoir : Marius, Sylla (dictature) : signe d’une crise 60 av JC : formation d’un premier trium virae : trois hommes qui détiennent le pouvoir : le général Pompée, et deux représentants des humiliores : Crassus et César 53 : Crassus meurt : laisse Pompée et César :

on a un écart toujours plus grand qui oppose les riches aux pauvres (populares et optimates). A cette époque, on va prendre l’habitude de voir s’établir un pouvoir personnel entre les mains de grands généraux tels que Marius qui représente les populares (classe la plus pauvre) et Sylla (optimates), qui va instaurer une véritable dictature pour restaurer la République. Certaines mesures sont prises pour essayer de restaurer le régime républicain en vain. En 60 av J-C, on aboutit à la formation du

d’experts (Nicolas BRICAS, Benoit DAVIRON, Johny EGG, Sandrine DURY, Jean François BELIERE, Magali AUBER, Fréderic LANCON et Véronique MEURIOT). Mes remerciements sincères vont à l’endroit des leaders d’OP : ASPRODEB (Saliou SARR), CNCR (Samba GUEYE et Marius DIA), ASESCAW (Diawar DIOP, Djibril DIAO, Amadou DIOP) et son projet PINORD (Ibrahima LY), UGPM (Niakhate FALL, Monsieur NIASSE (pour la traduction de qualité)) au Sénégal et SEXAGON (Faliry BLLY, Amidou DIALLO), CEMK (Daouda DEMBELE, Sekou DEMBELE

Devient consul en 603 av JC mais exilé Dans la seconde moitié du 2° siècle av JC : la république est entrée en crise : lié à l’écart grandissant entre les plus riches et les plus pauvres ? Certains hommes vont en profiter pour prendre le pouvoir : Marius, Sylla (dictature) : signe d’une crise 60 av JC : formation d’un premier trium virae : trois hommes qui détiennent le pouvoir : le général Pompée, et deux représentants des humiliores : Crassus et César 53 : Crassus meurt : laisse Pompée et César

faits, que Hugo pouvait connaître par le Lesur et à laquelle E. Biré consacra tout un livre vétilleux (L’Année 1817, Champion, 1895), importe moins que leur sens. Il s’établit dans le rapport de ce livre avec Waterloo (II, 1), avec la jeunesse de Marius (III, 3 et 4) et l’évocation des années 1830-1832 (IV, 1 et 10) et avec celle des journées de juin 1848 (V, 1, 1). Il s’établit aussi dans sa valeur autobiographique puisque c’est en 1817 que débuta la carrière de Hugo. Vis-à-vis de l’histoire

faits, que Hugo pouvait connaître par le Lesur et à laquelle E. Biré consacra tout un livre vétilleux (L’Année 1817, Champion, 1895), importe moins que leur sens. Il s’établit dans le rapport de ce livre avec Waterloo (II, 1), avec la jeunesse de Marius (III, 3 et 4) et l’évocation des années 1830-1832 (IV, 1 et 10) et avec celle des journées de juin 1848 (V, 1, 1). Il s’établit aussi dans sa valeur autobiographique puisque c’est en 1817 que débuta la carrière de Hugo. Vis-à-vis de l’histoire comme

faits, que Hugo pouvait connaître par le Lesur et à laquelle E. Biré consacra tout un livre vétilleux (L’Année 1817, Champion, 1895), importe moins que leur sens. Il s’établit dans le rapport de ce livre avec Waterloo (II, 1), avec la jeunesse de Marius (III, 3 et 4) et l’évocation des années 1830-1832 (IV, 1 et 10) et avec celle des journées de juin 1848 (V, 1, 1). Il s’établit aussi dans sa valeur autobiographique puisque c’est en 1817 que débuta la carrière de Hugo. Vis-à-vis de l’histoire comme

parlez d'un entonnoir de Lierre. Cela est escript. Il est vray & averé par mille experiences. Vous le sçaviez desià. Mais ceulx qui ne l'ont sceu & ne le veirent oncques, ne le croyroient possible. Passons oultre. Si nous estions du temps de Sylla, Marius, Cesar & aultres Romains empereurs ou du temps de nos antiques Druydes, qui faisoient brusler les corps mors de leurs parens & seigneurs, & voulussiez les cendres de vos femmes, ou pères boyre en infusion de quelque bon vin blanc, comme feist Artemisia

deux nations me paraissent entièrement différentes, soit en bien, soit en mal. On n'a jamais connu chez les Romains la folie horrible des guerres de religion; cette abomination était réservée à des dévots prêcheurs d'humilité et de patience. Marius et Sylla, Pompée et César, Antoine et Auguste ne se battaient point pour décider si le Flamen devait porter sa chemise par-dessus sa robe, ou sa robe par-dessus sa chemise, et si les poulets sacrés doivent manger et boire, ou bien manger seulement, pour

changeait sans cesse; le peuple étonné cherchait la démocratie et ne la trouvait nulle part. Enfin, après bien des mouvements, des chocs et des secousses, il fallut se reposer dans le gouvernement même qu'on avait proscrit. Quand Sylla voulut rendre à Rome la liberté, elle ne put plus la recevoir; elle n'avait plus qu'un faible reste de vertu, et, comme elle en eut toujours moins, au lieu de se réveiller après César, Tibère, Caïus, Claude, Néron, Domitien, elle