Marius Sylla

sont souvent au pouvoir. L'armée et les chefs de l'armée sont mis sur la scène politique. Les généraux commandants en chef font de la politique. MARIUS est l'incarnation première des imperatores. Il devient consul. En 82, on a SYLLA, général en chef qui prend le pouvoir, il devient consul. Il réunit le pouvoir consulaire en devenant dictateur. En 79, Sylla quitte le pouvoir. Les archétypes des imperatores tels que Pompée et César disposeront de pouvoirs extraordinaires et se livreront de grandes guerres

la bourgeoisie et des bureaucrates. Dans un tout autre genre, Marcel Pagnol, avec son illustre trilogie – Marius (1929), Fanny (1932), César (1936) –, crée des personnages populaires mémorables et quelques-unes des plus célèbres répliques du théâtre français (la partie de cartes dans Marius : « Tu me fends le cœur ! »).   | Doc. 1 : La célèbre scène de la partie de cartes du film Marius  d'après la pièce de théâtre éponyme de Marcel Pagnol. C'est de cette scène qu'est tirée la réplique « tu

 Il y a un certain nombre de dérèglement dans ce cursus. La gestion d’une campagne militaire, d’une gouvernement province éloignée de Rome, donne l’habitude de pratique presque monarchique. C) La multiplication des pouvoir extraordinaires de Marius à César: l’émergence de « proto-monarque » Les conquêtes augmentent la fortune et l’influence. Ils acquièrent une domination. César, victorieux de la conquête des Gaules en -41, a pour enjeux à partir de -49, de maintenir sa position de domination

réduits à rien, donnaient au moins des citoyens à l'Etat, quelquefois même des soldats dans les besoins pressants. Pour ceux qui n'avaient rien du tout et qu'on ne pouvait dénombrer que par leurs têtes, ils étaient tout à fait regardés comme nuls, et Marius fut le premier qui daigna les enrôler. Sans décider ici si ce troisième dénombrement était bon ou mauvais en lui-même, je crois pouvoir affirmer qu'il n'y avait que les moeurs simples des premiers Romains, leur désintéressement, leur goût pour l'agriculture

active : car les mots ne font rien aux choses, et quand le peuple a des chefs qui gouvernent pour lui, quelque nom que portent ces chefs, c’est toujours une aristocratie. De l’abus de l’aristocratie naquirent les guerres civiles et le triumvirat. Sylla, Jules César, Auguste devinrent dans le fait de véritables mo28 – 88 – En effet, jamais le gouvernement ne change de forme que quand son ressort usé le laisse trop affaibli pour pouvoir conserver la sienne. Or s’il se relâchait encore en s’étendant

active : car les mots ne font rien aux choses, et quand le peuple a des chefs qui gouvernent pour lui, quelque nom que portent ces chefs, c’est toujours une aristocratie. De l’abus de l’aristocratie naquirent les guerres civiles et le triumvirat. Sylla, Jules César, Auguste devinrent dans le fait de véritables monarques ; et enfin, sous le despotisme de Tibère, l’Etat fut dissous. L’histoire romaine ne dément donc pas mon principe ; elle le confirme. 108 Du contrat social forme un autre

réduits à rien, donnaient au moins des citoyens à l'Etat, quelquefois même des soldats dans les besoins pressants. Pour ceux qui n'avaient rien du tout et qu'on ne pouvait dénombrer que par leurs têtes, ils étaient tout à fait regardés comme nuls, et Marius fut le premier qui daigna les enrôler. Sans décider ici si ce troisième dénombrement était bon ou mauvais en lui-même, je crois pouvoir affirmer qu'il n'y avait que les moeurs simples des premiers Romains, leur désintéressement, leur goût pour l'agriculture

réduits à rien, donnaient au moins des citoyens à l'Etat, quelquefois même des soldats dans les besoins pressants. Pour ceux qui n'avaient rien du tout et qu'on ne pouvait dénombrer que par leurs têtes, ils étaient tout à fait regardés comme nuls, et Marius fut le premier qui daigna les enrôler. Sans décider ici si ce troisième dénombrement était bon ou mauvais en lui-mê me, je crois pouvoir affirmer qu'il n'y avait que les moeurs simples des premiers Romains, leur désintéressement, leur goût pour

réflexion sur la loi et le droit, la justice et une réflexion sur le régime politique (quel peut être le meilleur). Th de la Respublica cicéronienne. Dévoiement des I° traditionnelle romaine vers 100 av JC: - cumul des fct de consulat sur plus ans - Sylla va exercer la dictature de 2 ans - César est régulièrement consul, pr 10ans, puis dictature. Ce qui va déboucher sur la chute de la rep, remplacé par l’empire. Octave est le premier princeps. C’est pr répondre à cette crise que Cicéron rédige ces

t'enivrent ; tu te pâmes Devant Cambyse errant dans les villes en flammes ; Tu compares Cyrus et Clovis, mesurant Ton admiration au sabre le plus grand ; C'était aux bords du Var, ils étaient cinq cent mille, Marius les tua ; que c'est beau ! Paul-Émile, Pompée, Othon, Sylla, quels fiers centurions ! Quels soldats ! quels géants ! et sur tes horions Ta main inepte écrit : Victoires et Conquêtes. Nous n'en sommes pas là, nous autres ; pas si bêtes ! Et quant à moi, morbleu ! j'aurais