Marivaux Les Sincères

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente ‘’La double inconstance’’ (1723) comédie en trois actes de MARIVAUX pour laquelle on trouve un résumé, des notes (page 3) et une analyse où l’on trouve l’examen de : - les sources (page 9) - l’intérêt de l’action (page 10) - l’intérêt littéraire (page 11) - l’intérêt documentaire

pour découvrir la réalité.● Marivaux offre ainsi une pièce où la vérité naît du mensonge, dans une société où les inégalités sociales et les mœurs entravent l’expression sincère de l’amour.● Dans cette scène Araminte devient celle qui manipule et qui manie l’art du mentir-vrai : mentir car elle fait croire qu’elle va épouser le comte, vrai car elle fait naître le mensonge espérant que la vérité, à savoir que Dorante l’aime, voit le jour.● Ainsi, on constate que chez Marivaux, le langage a la fonction

situer les principaux écrivains du siècle dont Marivaux. IV - Les représentations théâtrales au 18ème siècle. Cours dialogué et magistral. Les élèves liront, dans les annexes de leur livre, les pages 68 et 69. En leur posant des questions, le professeur mettra en évidence l'opposition entre les théâtres officiels et le théâtre italien. Il évoquera l'origine de celui-ci : la Commedia dell'arte et montrera l'attachement de Marivaux pour les Italiens. L’enseignant apportera aussi

Lecture linéaire 1 Les Fausses Confidences de Marivaux Acte I, scène 2 de « Dubois- Laissons cela, Monsieur… » à «  L’amour et moi nous ferons le reste » Marivaux est un dramaturge du XVIIIème siècle, né en 1688 et décédé en 1763. Il écrit L’île des esclaves en 1725 et Le Jeu de l’amour et du hasard en 1730. Les Fausses Confidences sont sa 25 ème

confidences - MarivauxL’auteur :De son vrai nom Pierre Charlet, il n’est pas noble. La création de son nom Marivaux donne lieu à de nombreuses dérivés : marivauder, marivaudage, marivaudien… Né à Paris à la fin du XVIIe siècle, il entreprend des études de droit dès 1710, et en 1712 paraît sa première comédie Le père prudent et équitable . Dans la Querelle, Marivaux se range du côté des modernes : il fait le choix d’une langue qui privilégie le naturel, la grâce et la

Classe de seconde : le théâtre, genre et registre : Le Jeu de l'Amour et du Hasard, de MARIVAUX Séquence proposée par Alain BOSDECHER, professeur de Lettres modernes Alain BOSDECHER (Lycée Léonard de Vinci, 43120 Monistrol-sur-Loire) Plan du document Vision générale de la séquence Le corpus Description générale de la séquence (sous forme de tableau) -Planning de la séquence- (Les parties grisées proposent un questionnement didactique à mettre en oeuvre auprès des élèves) Vision générale

 MARIVAUX : Madame de Fécour EXPLICATION DU TEXTE 1) Madame de Fécour : une femme d'une particulière ignorance : -Avait les mains belles et l'ignorait... -N'a jamais exercé ses pouvoirs de séduction, ni en amour ni pour plaire, mais l'inverse était réelle. -différente des autres femmes, elle n'a jamais nourri l'ambition en amour. -elle aimait donné en amour sans contrepertie. -elle ne savait pas toujours si elle était aimé -(indécence : contraire à la bienséance-ce qu'il convient de dire ou

Classe de seconde : le théâtre, genre et registre : Le Jeu de l'Amour et du Hasard, de MARIVAUX Séquence proposée par Alain BOSDECHER, professeur de Lettres modernes Alain BOSDECHER (Lycée Léonard de Vinci, 43120 Monistrol-sur-Loire) Plan du document Vision générale de la séquence Le corpus Description générale de la séquence (sous forme de tableau) -Planning de la séquence- (Les parties grisées proposent un questionnement didactique à mettre en oeuvre auprès des élèves)   Vision générale

«  La Double Inconstance  », Marivaux. 1723 : Lecture linéaire n° 4Introduction :La Double inconstance est une comédie en 3 actes écrite par Marivaux et jouée pour la première fois le 6 mars 1723 au théâtre italien. Sous son apparente légèreté, la pièce fait l’étude cynique de l’inconstance des humains. L’intrigue est simple : Silvia, jeune fiancée à Arlequin, est enlevée par le Prince qui veut l’épouser. Flaminia, conseillère

carrière : De son vrai nom Pierre Carlet , il n’était pas noble. La création de son nom Marivaux donne lieu à de nombreux dérivés : marivauder, marivaudage, marivaudien… Né à Paris à la fin du XVIIème siècle, il entreprend des études de droit dès 1710, et en 1712 = sa première comédie (Le Père prudent et équitable) . Dans la Querelle dite des anciens et des modernes, Marivaux se range du côté des Modernes : il fait le choix