Marivaux Scène 9 Commentaire

Williams 3 SOMMAIRE Sommaire .........................................................................................................5 Présentation des auteurs ...................................................................................9 Introduction Geoffrey Williams .........................................................................................11 Lexicométrie et corpus .............................................................................17 Où l’on mesure la distance

semble uniquement intéressée par l’argent : « s’enrichir » (l. 25), « gagner beaucoup d’argent » (l. 31). Par ailleurs, la description d’Oran se déploie sous le signe de la négation : c’est « une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins » (l. 9-10), une « cité sans pittoresque, sans végétation et sans âme » (l. 79). Cette accumulation fait ressortir « l’insignifiance » (l. 61) de la ville. Ce cadre rend encore plus saisissants les événements « sortant un peu de l’ordinaire » (l. 3) que le

Attention à bien distinguer les sujets 2, « L’aveu », des sujets 1 : « L’aveu dans une œuvre de votre choix » ou « Une scène d’aveu de votre choix ». Ce dernier sujet présente une différence à cause du mot « scène » qu’il convient d’interroger. La scène doit être définie en intro : il s’agit soit s’une notion théâtrale soit du traitement narratif que Genette (Figures III) appelle « scène » : la vitesse de l’histoire et celle du récit sont identiques). Comme pour tout sujet de type 1, la notion

sont Fontenelle, Montesquieu, Marivaux et La Motte. Salon de Madame de Tencin (1733-1749) : Il succède au salon de Madame de Lambert. Le ton est beaucoup plus familier et plus intime. On y rencontre Marmontel, le jeune Helvétius, l’abbé de Prévost, Voltaire… Salon de Madame Geoffrin (1749-1777) : Il hérite des familiers du salon de Madame de Tencin. C’est le véritable salon philosophique et encyclopédique. On y reçoit Montesquieu, Fontenelle, Marivaux et les encyclopédistes tels qu’Helvétius

Candide de Voltaire Commentaires composés Analyses de textes analyses des thèmes Lectures suivies Lectures methodiques Table des matières : Chapitre I - Lecture méthodique 3 - Thunder-ten-tronckh 7 Chapitre III - Commentaire composé 10 - La guerre 13 - Lecture méthodique 15 Chapite V - Lecture méthodique 17 Chapitre VI - Lecture méthodique 20 - L'auto-da-fé 24 Chapitre VIII - L'histoire de Cunégonde

servie de guide incomparable, j’ai beaucoup apprécié son dynamisme et ses commentaires positifs. Quant à Mr Kerslake, mon premier conseiller, il m’a soigneusement orientée tout au long de mon trajet. Cette thèse doit beaucoup à ses lectures attentives, ses corrections minutieuses et ses remarques rigoureuses. Je remercie également Professeur Georges Bérubé, qui a accepté avec générosité de participer à mon comité, ses commentaires et ses suggestions m’ont beaucoup enrichie. Je tiens à exprimer ma reconnaissance

même qu’il faut suivre un ordre précis et ne pas mêler les différents niveaux d’interprétation. Pour cela, il est utile d’opérer par un double mouvement et partir :· du sens littéral aux significations symboliques, · de l’interprétation simple au commentaire plus subtile, · de la notation particulière à la généralisation, etc.III- Savoir-lire et savoir-analyser un texte littérairePour optimiser son potentiel de lecture, il convient de s’exercer à lire à haute voix : · en solitaire et en présence d’amis

Philetas, qui arrive accompagné du Choeur de bergers. Son bonheur est troublé par la nouvelle que Daphnis a été reconnu en tant que fils de Dyras est qu’il est destiné à la vie de cour. Chloé est tourmentée par cet abandon, lorsque Daphnis entre sur scène annonçant de s’être sauvé du château pour pouvoir la rencontrer. Dyras intervient pour rechercher Daphnis. Mais, en voyant Chloé, il se souvient de l’avoir sauvée quand elle était une petite fille et de connaître ses nobles origines. Emu par l’amour

comparé à un taureau qui fuit l’endroit du sacrifice. Il est offert lui même en sacrifice. Le passage est enclos dans cette double image de violence : une violence rituelle acceptée au départ et une violence rituelle de la fin. Le côté pathétique de la scène vient de la famille, de l’image du père et de ses enfants. Une sorte de signification familiale très importante. Il doit y avoir une continuité dans les générations. Le pathétique vient de la souffrance du père devant le meurtre de ses enfants. Il

ses aventures, son évolution aident-elles le lecteur à se construire ? » met en évidence le rôle joué par la littérature comme médiation avec le monde réel. Quels que soient les sujets abordés, la littérature et les personnages qu’elle met en scène s’adresse au lecteur avec les codes de la vraisemblance mais non de la vérité. À la fois filtres et passeurs, les personnages littéraires, leurs aventures et leurs émotions permettent au lecteur de s’identifier, de mettre à distance, d’éprouver sympathie