Marot

prince français, connu surtout pour son œuvre poétique réalisée lors de sa longue captivité anglaise pendant la guerre de cent ans. Ce poème fait partie du recueille rondeaux. Le deuxième poème « De l'amoureux ardant » est de Clément Marot, né en 1497 et mort en 1544. Marot était le poète officiel de la cour de François 1er. Le Troisième, mon préférer, est « A Philis » de Pierre de Marbeuf né en 1569 et mort en 1645. Il est réputer pour rechercher la perfection et pour jouer avec le sont des mots,

réussit un poème en travaillant les mots: les allitérations, les assonances, les rimes... Paul Valery a bien dit que « le génie est composé de 99% de travail et 1% de don ». Il faut donc limer les mots, les transformer pour qu'ils sonnent bien comme Marot qui invente des mots pour qu’il y ait des rimes dans son poème  Petite épître au roi. Le poète apparaît ainsi avant tout comme un artisan des mots. De plus, ce n'est pas pour rien que des chanteurs chantent des poèmes comme le poète Marbeuf qui a écrit

précédents soient pour autant rejetées. Ainsi, Clément Marot (1496-1544), poète officiel de la Cour de 1527 à 1534, abandonne progressivement les genres poétiques traditionnels et introduit des formes imitées de la poésie latine comme l'épître ou l'épigramme. Quelques années plus tard, en 1549, dans son ouvrage Défense et illustration de la Langue française, Joachim Du Bellay condamne Marot au même titre que les Grands Rhétoriqueurs du XVème siècle. Marot a contribué à moderniser la poésie française mais

Le blason du Beau Tétin est le point de départ de ce genre de poésie, qui devint surtout à la mode à la suite de Clément Marot. Tous les poêtes de l'époque voulurent s'essayer dans un genre que les dames accueillaient avec empressement. Préambule Ce texte reprend les thèmes du pétrarquisme en les "pervertissant " quelque peu. Dans la tradition du lyrisme amoureux, le texte magnifie la femme, idole qui réunit tous les charmes physiques et toutes les perfections morales. Les poètes y retracent

rythmée populaire faite pour être chantée. Passée par la Provence, elle se répand en Italie, dans le genre du " canzionere ", recueil de poèmes amoureux (en particulier chez Pétrarque). En France, Maurice Scève fait connaître l'œuvre de Pétrarque Marot compose le premier sonnet en 1536 ; Du Bellay compose en 1549 un recueil composé unique ment de sonnets, L'Olive ; enfin Ronsard assure la gloire du sonnet dans ses Amours, en 1552. Le sonnet est un poème à forme fixe, répondant à trois séries de contraintes

échappé à Salomé. Elle tente cependant de dominer sa souffrance en s’étourdissant par le recours à la danse «je danserais» v.2, «je dansais» v.6 et à l'ironie du v.15 «Prends cette tête au milieu de ta marotte et danse». L'emploi du terme «marotte» prend dans ce texte un double sens. La marotte désigne d'une part un sceptre surmonté d'une tête coiffée d'un capuchon bigarré de différentes couleurs et garnies de grelots, attribut de la folie et du fou du roi, et désigne d'autre part une idée, une

talent poétique stupéfiant, qui vous feront passer du rire aux larmes. Du XIIe au XX e siècle, vous serez transportés de la chanson de toile à l'absurde en passant par le romantisme et par le symbolisme, concoctés par de fameux poètes tels que Marot ou Beaudelaire et par des poètes dont les travaux n'ont pas été assez étudiés, tels que Hérédia ou même Ségalen. Les poèmes que j'ai choisit et rassemblé dans cette plaquette, montrent l'évolution de la poésie a travers le temps, à travers ses formes

culturel de la Renaissance, caractérisé par la redécouverte de l'art et des textes de l'Antiquité. • 10 auteurs du 16ème : Machiavel(1469 - 1527) Guillaume Budé (1467-1540) Guillaume Du Bellay(1491-1543) Clément Marot François Rabelais (1494-1553) Étienne Dolet (1509-1546) Joachim Du Bellay (1522-1560) Louise Labé (1524-1566) Pierre de Ronsard (1524-1585) Michel de Montaigne (1533-1592) 3)Les arts • On parle

humaniste passionné par l’Antiquité et l’Italie, prétend découvrir, près d’Avignon, le tombeau de Laure, l’héroïne du Canzoniere de Pétrarque. Peu de temps après, en juin ou juillet 1536[], Clément Marot écrit le premier sonnet en langue française, dédié à la duchesse de Ferrare. Presque aussitôt, Marot sera imité par Mellin de Saint-Gelais et les poètes de l’École lyonnaise. Le sonnet est lié à l’humanisme car il allie musique, mathématiques, astronomie et poésie : Baudelaire lui trouve « une

peut parler d’un devoir dit « d’universel ». Le devoir personnel est en quelque sorte, un devoir que s’inflige un poète à lui-même. On pourra citer comme exemple le poème de Jean Marot (père de Clément Marot et grand rhétoriqueur) se nommant « D'avoir esgard à l'Honneur », dans ce poème Jean Marot a comme devoir personnel de faire un poème virtuose, tel que le conçoivent les grands rhétoriqueurs, avec un jeu poétique surchargé (acrostiches, rimes équivoquées, coq-à-l'âne...). Lui seul