Marqué par la haine

Cela fait vingt cinq ans que René Rezeau a été élu. Jacques Rezeau, souhaite organiser une grande cérémonie familiale. Le jour de la fête, il faut écouter un discours assommant de trois heures. Jean pour sa part a trouvé cette cérémonie incongrue. La haine qu'il éprouvait pour ses proches s'étend maintenant à toute sa famille. Brasse Bouillon et Folcoche se ménagent quelque peu. Jean a maintenant quinze ans et commence à désirer les femmes. Il jette son dévolu sur Madeleine. Un dimanche d'été, en

l’occupation allemande et le traitement des juifs, toutes générations confondues. A travers des murs qui tombent progressivement, une histoire qui se dévoile peu à peu, Philippe Grimbert nous livre un secret, son secret. Un magnifique livre mêlant amour et haine, deux traits de caractères bien humains. Passage marquant : « Le port de l’étoile est devenu obligatoire. Une gifle pour Maxime qui ne peut plus rien opposé à ceux qu’il a tenté de rassurer. Les inquiétudes de Joseph, les craintes des commerçants

frère » (v.4), il « poursuit » (anaphore v.1 et 3) en laissant un « regard furieux » (v.26) à sa mère pour « adieux ». Burrhus lui est marqué par ces « yeux indifférents » (v.40) de ce monstre, il exagère le personnage à l’aide de l’hyperbole « tyran dans le crime endurci dès l’enfance » (v.41) De plus, nous remarquons la présence dans tous ces textes de la haine et de la folie dans ces personnages : Médée utilise des gradations « Fille de l’Achéron, peste, larve, furie » (v.2), des anaphores « sans

rajoute de la haine dans les sentiments de l'homme. Il paraît aussi prisonnier, « lié » (V7) mais aussi « esclavage maudit » (V32). Puis, dans la deuxième partie du poème, la folie prend le dessus, ainsi que le désespoir, il en viens a se dérationaliser, et ainsi se mettre a prier, a supplier des objets « J'ai prié le glaive […] [et le] poison », mais la folie est a son paroxysme a la fin du poème, a la dernière strophe, lorsque les objet lui répondent, remarquable grave au « - », marque de prise de

les villes du centre puis du nord de la France. Sur son chemin, animée d’une colère froide, d’une folie sanglante, elle choisit de décimer au hasard un village du Limousin: Oradour sur Glane. Vengeance, ce massacre s’avère être un bon moyen de marquer les consciences, de semer la terreur et de réaffirmer la supériorité des nazis…. La forme et la structure Le poème comporte 7 strophes, de longueur différente et des vers de 7 syllabes: des heptasyllabes La ponctuation est pratiquement insignifiante

Chine. Mais ce retour dans la maison familiale, la « Belle Angerie » se révèle vite dramatique : leur mère, surnommée « Folcoche » (contraction de « folle » et de « cochonne ») par ses trois fils, leur mène la vie dure., Le narrateur, empli de haine, ne cesse de se révolter contre elle, il est seul membre de la famille à lui tenir tête, jusqu’à vouloir souhaiter sa mort. C’est à ce prix qu’il fera l’apprentissage de la vie… Document 2 : synopsis de l’adaptation de Pierre Cardinal (1971)

où elle se caractérise par une intensification de la relation entre les interlocuteurs de l’échange. D'un point de vue énonciatif, l'énonciateur (l'auteur) s'implique fortement dans son discours, et sa présence est dénotée par diverses marques dont l'emploi des déictiques personnels et des possessifs de 1ère personne : ma – nous - j' - mes. La date de la rédaction de la lettre, et qui constitue le premier élément péritextuel, fonctionnant comme un déictique temporel (1er juillet 1848),

comme des organes autonomes qui constituent un corps cohérent. Il pousse l'analogie avec le monde vivant jusqu'à prétendre que la construction doit représenter la croissance d'un être vivant. Cela explique la haine que Wright nourrissait vis-à-vis des grandes villes, notamment Chicago. Cette haine le poussa à ne construire que de très rares (mais notables) bâtiments dans des grandes agglomérations. C'est seulement en 1897 que son style se révèle, avec notamment les maisons dans la prairie (Prairie houses)

-Direct → Passage du « vous » au « tu » qui marque le rapprochement et le changement de ton mais cette transition marque surtout le début des aveux de Phèdre (au vers 665 vouvoiement avec « jugez-vous » qui passe au tutoiement au vers 670 avec « tu m'as trop entendue » ; « je ne t'ai pu parler de toi-même » ; « Toi-même en ton esprit ») → Interjection « Ah ! » qui vient couper Hippolyte -Involontaire → Phèdre s'exprime à travers une question qui marque la faiblesse au vers 694 « Cet aveu si honteux

SUJET -  L'amour des animaux. |  On a souvent dit que l'amour des animaux dissimulait en fait la haine des hommes. Trouvez-vous dans les œuvres du programme l'écho | |d'une telle attitude ? | PLAN PROPOSÉ :                      Problématique : amour d’autrui, amour des animaux et amour-propre. I - L’amour des animaux, substitut du non-amour des hommes. a) aimer les animaux