Marqué par la haine

placé - un exploit jusqu'alors jamais accompli ; devenir chef de bande ; tuer mon père. Ces rêves, je les ai réalisés. Excepté le troisième. C'était à deux doigts... Durant des années, la flamme de la vengeance m'a fait vivre. Dans la prison de ma haine, des personnes habitées par l'Amour m'ont visité et m'ont mis à genoux dans mon cour. C'est à ceux que notre société rejette, les cassés, les tordus, les handicapés, les " anormaux ", que je dois la vie. Et une formidable leçon d'amour. Je leur dédie

Les poètes Aimé Césaire (1913-2008) de la Martinique et Léopold Sédar Senghor (1906-2001) du Sénégal s’imposent dans les annales des belles lettres africaines par une marque de distinction découlant d’un jaillissement créateur ponctué par un génie sans contrainte du verbe. Fondateurs du mouvement de la Négritude, ces deux personnages politiques et littéraires ont sublimé la passion de toute une génération en mal d’identité, en forgeant des catégories et modes de pensée qui demeurent les trésors artistiques

impossibilité de vous écouter comme de vous répondre ? » Transition La confusion mentale descelle par la composition de la lettre se confirme par les marques de la folie du personnage. II/ Les marques de la Folie (l.22) « je veux le fuir en vain ; il me suit ; il est là ; il m’obsède sans cesse ». -marque de l’obsession présence physique et mentale de Valmont hallucination -gradation : violence de la pensée de Tourvel -antithèse entre le désir de fuir et la présence

n pour les déshérités. -Il méprise la bourgeoisie, la noblesse, pour leur hypocrisie, mesquinerie, fadeur,vacuité, malveillance, cupidité, malhonêteté......mais - cette haine ne débouche sur aucun engagement collectif , aucun combat politique, juju n'est pas un révolutionnaire. - il a dmire par ailleurs les belles manières des de la Mole et de la

comme la scène d’exposition. Synthèse du tableau de l’acte • Le lieu ne change pas comme dans toute la pièce ( palais de Pyrrhus) • Les thèmes principaux sont : o L’amour: «l’amour» (v.1422), «mon cœur» (v.1423), «le plus amoureux» (v.1432) o la haine: « si je hais» (v.1396), «venger» (v.1455), «se disputer» (v.1517), «ta fureur» (v.1535) o La fatalité : la présence des phrases interrogatives et exclamatives comme aux vers 1393 et 1394 o La mort: « son trépas» (v.1416), «sa mort» (v.1422), «parricide»

père-fils: une scène agonistique a/ Une aversion réciproque Une aversion est un sentiment de haine. - pas de formule d'accueil, de politesse. L'entretien commence d'emblée sans salutations. - dans sa réplique "il me fallait[...]" Don Juan utilise un terme familier "enragé", il donne le ton de la scène. Don Juan n'a pas d'égard envers son père. Il est sarcastique, costique. La relation de haine est renforcé par la réplique de Don Juan "si vous étiez assis [...]". - Don Louis est lui très franc

dans le texte: « Ô Siècles, ô Mémoire, / Conservez à jamais ma dernière victoire » v.1697-1698 et « Puisse le grand moteur des belles Destinées / Pour prolonger vos jours retrancher nos années » v. 1749-1750. 2. Climax De plus le dénouement est marqué par un climax, c’est-à-dire le maximum des émotions et des tensions dans la pièce. Ici ce climax [prononcer à l’anglaise: « claïmax » se fait par plusieurs procédés. Tout d’abord c’est la dernière scène de la pièce. Ensuite c’est la seule scène où

et la 2nd guerre mondiale, ces périodes qui ont marqué les mémoires par les évènements vécus grâce, notamment, à la poésie. Ce sont, effectivement, ces périodes où la poésie s’est réellement affirmée en tant que poésie « engagée » avec notamment Victor Hugo et tous les poètes de la Résistance. Notons également que le champ lexical de la révolte (synonyme souvent d’engagement) représente fréquemment les horreurs de la guerre, la souffrance et la haine. C’est le 2 décembre 1851 que Louis Napoléon

Hermile Lebel fait la lecture du testament a Jeanne et Simon, laisser par leur mère Nawal. ‘’Le testament’’ I) Les dernières volontés déconcertantes d’une mère La mère s’adresse au notaire pour faire des recommandations sur ces funérailles avec des marques de négation qui exprime la culpabilité et la honte, raison pour laquelle elle refuse une sépulture sans prière ? Imperatif avec lequel elle ordonne Negation qui exprime la severité qu’elle porte envers elle-même jusqu’à aller meme renier son existence

le sens de l’existence, et c’est un aspect majeur de la crise que traverse alors, comme on l’a vu déjà sur d’autres plans, l’humanisme traditionnel »[1]. Les écrivains de cette période, si riche en bouleversements, ont été fortement sollicités et marqués par l’histoire. La guerre a laissé une empreinte très profonde et durable dans les esprits. Pour remédier à l’inquiétude ambiante, nombreux sont les auteurs de l’entre-deux guerres qui vont se tourner vers la religion[2]. Au niveau littéraire