Marquise de Merteuil

par une lettre de la jeune Cécile Volange écrivant à sa chère amie Sophie Carnay lui expliquant la raison de sa sortie du couvant pour être marier par sa mère , Madame de Volanges à un certain Gercourt ce trouvant être l'ancien amant de Madame de Merteuil qui celle-ci fut quittée pour une autre femme. Madame de Meurteil apprenant la nouvelle en étant apparenté à Madame de Volanges décida de se venger avec l'aide de son fidèle ami et aussi ancien amant , le Vicomte de Valmont de séduire la jeune Cécile

manipulations du vicomte, qui dès le début confie ses diaboliques machinations à la marquise de Merteuil : (…( je vais vous confier le plus grand projet que j’aie jamais formé (…( Vous connaissez la Présidente de Tourvel, sa dévotion, son amour conjugal, ses principes austères. Voilà ce que j’attaque ; voilà l’ennemi digne de moi ; voilà le but où je prétends atteindre.[7] Contrairement aux lettres qu’il adresse à la marquise, celles pour Madame de Tourvel sont empreintes d’une mielleuse hypocrisie,

siècle, avant d'être redécouvert au début du XXe. Dans la cinquième lettre des Liaisons dangereuses, la marquise de Merteuil, d'une autorité surprenante va montrer son agacement et tenter de convaincre le vicomte de Valmont que Mme Tourvel n'est pas faite pour lui. Nous allons donc répondre à la problématique suivante: En quoi cette lettre des Liaisons dangereuses va elle faire de la Marquise de Merteuil un portrait moral ? Nous verrons tout d'abord A. Une lettre : un moyen de suivre l'intrigue Une

au milieu libertin et non à une courtisane. Cette scène peut faire penser aux Liaisons dangereuses, car la jeune fille représentée ressemble à Émilie qui elle est courtisane ou au personnage de Cécile pervertie par Valmont mais aussi par la Marquise de Merteuil. Le fils puni de Greuze Le fils puni a été peint par Jean-Baptiste Greuze en 1778. Ce tableau peut nous faire penser à la scène en fin de roman où madame de Tourvel meurt et où madame de Tourvel et madame de Volanges sont autour

Commentaire composé sur Les Liaisons dangereuses de Laclos – Lettre XLIV (44) de « Plus ces réflexions étaient justes […] où je restait presque tout le jour. » Comment Valmont cherche-t-il à se mettre en valeur et à montrer à Merteuil sa maîtrise de libertin ? Possibilité de plan : I- La mise en scène de la machination et de la maîtrise du libertin II- Un récit ironique (ex : comédie, roman libertin, tonalité enjouée …) Laclos, romancier du XVIII° siècle, a écrit Les

la quatrième partie de l’ouvrage. Valmont a écrit à Merteuil (lettre 115). Très prétentieux, il annonce sa victoire imminente sur Tourvel et la récompense que la marquise lui a promis, il lui demande de délaisser Danceny pour lui. Problématique : Comment Laclos rompt-il avec l’image traditionnelle de la femme vue par la société du 18ème en nous présentant un modèle féminin d’émancipation. Plan : Tout d’abord, nous montrerons que Mme Merteuil est une femme libre qui met en avant des revendications

Volanges et l’élaboration du plan contre Gercourt par Mme de Merteuil (elle demande alors à Valmont d’entretenir une liaison avec Cécile Volanges, la future mariée, dans un but de vengeance), la révélation de la relation entre Danceny et Cécile Volanges (résultant d’un tour de Mme de Merteuil), la liaison entre Valmont et Cécile Volanges (l’aboutissement du plan de Mme de Merteuil), l’humiliation de Prévan (mise en scène de Mme de Merteuil), le départ de la Présidente de Tourvel puis sa liaison avec

Libertinage : 1er sens → XVIIème siècle : libertés par rapport à la religion 2ième sens → libertés par rapport à la morale (sens qui se développe au XVIIIième siècle) Les liaison dangereuses : roman libertin et épistolaire : 2libertins - la Marquise de Merteuil - le Vicomte de Valmont => échange de lettres - à voix multiples / perversions, jeux de séduction Bio : Pierre-Ambroise-François Choderlos de Laclos (1741-1803) → petite noblesse de robe il était militaire dans l'artillerie – chargé

qui le pousse à séduire une nouvelle femme. Il veut se sentir aimé dans les yeux de toutes celles qu’il voit. Certains libertins en tendant les pièges de l’amour vont finalement y céder, c’est le cas de Valmont ce que saisit parfaitement la Marquise de Merteuil dans la lettre 10 : « vous éprouvez un déraisonnement de l’amour […] je dis l’amour car vous êtes amoureux », elle le considère de manière ironique dans le but de ridiculiser sa sensibilité nouvelle : «  vous qui n’êtes plus vous ». La tension

Tourvel, se trouve être d’abord une lettre d’amour passionnée plutôt qu’une moquerie libertine. Valmont en maitre des mots exalte dans cette lettre sa passion fictionnelle pour la présidente afin de la séduire et remporter le défit de la marquise Merteuil. Comme l’a dit Barthes à propos d’une réflexion sur une lettre : « La rhétorique est la dimension amoureuse de l’écriture ». Car la lettre est communication avec l’autre et donc désir de l’autre. On retrouve dans cet extrait toutes les caractéristiques