Marx Et La Répartition Des Revenus

approximativement d’une année sur l’autre le nombre de mariages, de naissances, de départ en vacances, etc et de tout fait social qui a une régularité comme on va le voir tout au long du semestre. Séance 3 L’analyse des classes sociales (1) : Marx, Weber Les premières séances nous ont permis de présenter la démarche sociologique dans son ensemble : les principes de la rupture avec les prénotions, de l’objectivation sociologique grâce aux statistiques, et de l’analyse de faits sociaux à l’aide

Mercantilisme Français ou le Colbertisme 5 II.1.3 Le Mercantilisme Anglais ou Commercialiste 6 II.1.4 Limites du Mercantilisme comme pensée économique 6 II.2 Libéralisme physiocratique 6 III. La pensée économique Classique 8 III.1 Valeur, Répartition et croissance 8 III.2 La politique monétaire 9 III.2.1 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.2.2 Rapport de la monnaie face aux métaux précieux 10 III.3 Le Marxisme 10 IV. Le Néo-classicisme 11 V. La pensée économique contemporaine

.............................................................. 6 III. La pensée économique Classique............................................................................................................................... 8 III.1 Valeur, Répartition et croissance .............................................................................................................................. 8 III.2 La politique monétaire ........................................................................

plusieurs opérations de production, il s’use progressivement (usure physique, obsolescence) et doit être amorti (CCF = Consommation de Capital Fixe) : terre; machines... Répartition : Processus de distribution des richesses disponibles entre les groupes et les divers individus. On distingue deux types de repartition : Répartition primaire : effectuée au niveau de l’entreprise, elle correspond au partage de la valeur ajoutée entre ceux qui ont participé à sa création (EBE, salaires, impôts sur la production)

cette citée. * Les laboureurs qui vont être chargés de la production. Pour Platon il va falloir réaliser une communauté de biens car il faut libérer la classe dirigeante des soucis matériels. On parle de coup du communisme de Platon. En effet Marx va plus se référer sur Platon que sur Aristote. C’est une logique collective, on résonne comme un ensemble. Aristote qui est le 2ième père fondateur de tout ça va plutôt s’intéresser à l’art d’acquérir la richesse et il va distinguer en matière de

les strates sociales proches les unes des autres. 2. L’approche de Karl Marx (1818-1883) : La lutte des classes. Pour Karl Marx, dont les modèles sont les sociétés anglaise et française, l’industrialisation est mise au premier plan. De nouvelles classes sociales apparaissent. Le nom de classe sociale est souvent associé à Marx qui, pourtant, avait été largement utilisée avant lui. En lisant Marx, on retrouve donc une analyse commune à de nombreux auteurs et notamment aux économistes

différences sociales entre leurs membres à partir de critères de différenciation nombreux : ➢ des critères démographiques : les hommes et les femmes (genre), les jeunes et les vieux (âge) ; ➢ des critères économiques : les riches et les pauvres (revenu ou patrimoine) ; ➢ des critères symboliques : les élites et les marginaux (niveau d’éducation, niveau de prestige social) ; ➢ des critères politiques : les dominants et les dominés (pouvoir). D’autres critères peuvent être

Partie 3 : Domination sociale Marx Domination des classes sociales Marx définit plutôt les classes sociales selon leur rôle dans le processus de fabrication. La classe dominante, les bourgeois, est celle qui contrôle et possède les moyens de productions. La classe dominée, le prolétariat, est exploitée par la classe dominante. Cette classe ne possède pas les moyens de production et doit donc offrir sa force de travail aux bourgeois. La définition de Marx insiste donc plus sur le rapport

l’existence de la manufacture d’Etat. C’est à la deuxième moitié du, XVIIIème siècle que Adam Smith écrit Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (1776) Il énonce que l’Economie ne serait pas une affaire d’Etat mais des individus (Marx en fait une critique respectueuse, contrairement aux néo-classiques qu’il méprise totalement, par indifférence totale) . Donc la volonté d’enrichissement personnel de l’individu perpétue l’enrichissement de l’Etat. Somme des intérêts individuels =

les crises. III Quoi qu’il en soit, l’I l’élément indispensable de la relance de la croissance en période de crises. I A) Corrélation positive entre l’investissement et la croissance et les cycles. Approche marxiste : La démarche de Marx prend en compte l’analyse classique par rapport au processus l’accumulation du capital. Il s’agit des profits réinvesti dans le circuit de production permettant d’obtenir un nouveau surplus (ou produit de la croissance). Au sens large et usuel du