Mary Shelley

(2) Forme littéraire écrit intime littérature épistolaire lettres (ex. Mme de sévigné), l'autobiographie ★ Ce sont des textes à la 1ère personne = roman moderne proche de sur-naturel, conte. Tout s’éloigne de contestation, la raison masculine. Mary Shelley pas de genre spécifique. Présence imaginaire, présence confidence. (3) Thématique 【L'enfance】confirme autobiographie. Écarter de la raison. Plus proche de monde enfant. Langage première. Langage proche de cri. L'enfant qui ne parle pas. Associé

………………………………LieuxEpoquePersonnages ObjetsRéalité du cadre spatio-temporel et effets produitsFrankenstein Pena) ee Lea pee eer rr pore sed beg Mara eee eee hee Paar Peeaierer tri ey lal eR loexerany Baraat er Eapennrareerte rn ne liad peenenemr (cr mere hall he a aaa Mary W. Shelley lola <=1a1 8-118) eee Tes a i ie Ny Get eG Perot) Draprés le chef d’ceuvre d’0SCAR WILDE, Dra tee CU BORIS KARLOFF- COLIN CLIVE MAE CLARKE - Rly mye) aay ATCT ait a Apeine ces derniéres syllabes avaient-elles fui mes

régime assoupli) et Charles X, frère de Louis XVI (réactionnaire qui suspend la liberté de presse) ➢ drapeau blanc remis à l’honneur ➢ Âge d’or du capitalisme. Période de libéralisme économique. 1818 : Frankenstein de Mary Shelley 1820 : Méditations poétiques de Lamartine 1829 : Le dernier jour d’un condamné : l’action se déroule sous Charles X, entre 1824 et 1830 27-28-29 juillet 1830 : les «trois glorieuses» ou Révolution de juillet 1830 : abdication de Charles

car le personnage est soit : trop vieux , trop différent par ses opinions. Le personnage incarne le mal absolu ou l'abscence de moral/d'humanité , le personnage est alors sans qualité. Les personnages du monstre et du savant dans Frankenstein de Mary Shelley sont plus problématique dans la mesure où on ne peut s'identifier ni à un monstre (qui malgrès tout s'humanise avec le temps), ni à un savant qui est obsédé par ses recherches. Dans ce cas l'identification représente le côté obscur de l'homme

V. Hugo, archétype du "monstre sympathique", atteint de déformations physiques, il reste capable de sentiments, amoureux d'Esméralda, il va mourir auprès de son corps après qu'elle fut exécutée. De même, la créature de Frankenstein, inventé par Mary Shelley, est hideuse et criminelle, pourtant elle touche le lecteur par sa particularité, elle est paradoxalement émouvante. Cependant, plus souvent, les héros sont monstrueux sur le plan moral. En effet, dans Les Liaisons Dangereuses de Laclos, Valmont

et qui permet d’atteindre une forme idéale de l’œuvre. L’auteur doit travailler l’adéquation entre le mot et son idée. Mais la lucidité de l’auteur ne suffit pas. L’auteur compose également son œuvre à partir d'une expérience personnelle, comme Mary Shelley qui, une nuit d'hiver, fait un cauchemar et décide alors d'écrire Frankenstein. Nous pouvons donc penser que la part que Michel Tournier fait au lecteur est excessive. Néanmoins, le roman fonctionne grâce à la communication de ces deux éléments

le sujet principal de l’œuvre, nous ne pouvons parfois pas nous identifier à celui-ci. Sa lecture n'est pas pour autant désagréable. Le héros peut être en effet tellement extraordinaire qu'il est impossible pour nous de nous mettre à sa place. Mary Shelley imagine un personnage pour le moins habituel dans Frankenstein ou le Prométhée moderne, il s'agit d'un monstre crée par Victor Frankenstein. Il est malaisé de s'identifier à cette créature. Bien avant cette écrivaine, François Rabelais dans Gargantua

LA CREATIVITE ARTISTIQUE SUPPOSE-T-ELLE NECESSAIREMENT UNE FORME DE FOLIE ? Virginia Woolf écrivait « Malades, il devient possible de voir ce que nous ignorons en temps normal » pour mettre en exergue le lien entre sa maladie mentale et l’écriture de ses romans. Par définition, le terme de folie, apparu pour la première fois dans La chanson de Roland en 1098, désigne pour la doxa l’aliénation mentale, par opposition à la raison. Elle

| | | | | |Scott Walter (G.B. XIXè) : Ivanhoé - Quentin Durward - Rob Roy | | | |Shelley Mary (G.B. XIXè) : Frankenstein | | | | | |Steeman S.A. (Belgique XXè) : L’assassin habite au 21

6, avec la description d'un mouvement qui fait quitter la terre à la charogne (« Tout cela descendait, montait », « s'élançait »), le terme « vivait » confirmant le succès de l'opération (un peu comme pour la créature de Frankenstein créée par Mary Shelley). Une charogne presque idéale (str7-9) La beauté naît alors de ce spectacle d'abord atroce, tout un « monde » a éclos, une véritable œuvre d'art, avec l'évocation de la « musique » d'abord (v25), celle du bourdonnement