Masculinité

transmission de la Couronne ayant parfois fait l'objet de convoitise ou se déroulant dans des contextes houleux, a été réglementée par l'émergence et l'application de textes, notamment pour le privilège de la masculinité et pour le principe de catholicité. Le privilège de la masculinité fait donc l'objet d'une véritable loi issue d'un code élaboré par les francs saliens, le peuple de Clovis. Longtemps oubliée, cette loi va resurgir au XIVième siècle suite à la volonté de Philippe de Poitiers

lumière les coutumes appliquées dans la monarchie, résultant en premier lieu du droit naturel. Parce qu'en effet ces trois éléments, se retrouvent aussi dans les principes fondamentaux du royaume de france, on y retrouve l' hérédité / progéniture, la masculinité, l’indisponibilité de la couronne et bien plus. “La première, que ce royaume [...] qu’ils soient éloignés” (l7 - 9) Cardin le Bret, réalise une présentation des “trois maximes” constituant la base centrale de la monarchie en les définissant rapidement

masculins d’après la société. Être un homme est faire partie d’un groupe sociaux fermement structuré par des normes, stéréotypes et lois non écrites ,mais que se font voir de façon évidente. La masculinité est conçu de plusieurs classes qui sont catégorisé par domination .La classe supérieure se nomme la masculinité hégémonique. Elle prônnent les valeurs de la compétition, l’accomplissement, l’agressivité, l’hétérosexualité et l’homophobie. Les hommes non-conformes à ses caractéristiques sont inférieur

et à gérer le stress. - L’individualisme et le collectivisme Exprime le degré de liberté d'un individu par rapport à un groupe. Ce critère représente l’importance culturelle donnée à des liens forts comme l’amitié ou la famille. -La masculinité/ féminité Ce critère représente l’importance culturelle donnée à chacun des sexe (féminin , masculin) , sa place dans la société . Il s’agit de savoir si il y a une séparation bien défini des rôle des deux sexe dans la vie quotidienne. - Le

culture nationale. V.1.1 – Les 4 dimension à l’origine des différences entre entreprises nationales  - Le degré de distance hiérarchique, - Le degré de tolérance face à l’incertitude, - Le niveau d’individualisme, - Le degré de masculinité. Ces dimensions ont une influence sur 4 domaines : - le style de direction des entreprises, - la motivation des salariés, - les structures, - la manière d’appréhender et de gérer l’incertitude au sein des organisations. V

l’aîné peut succéder à son père. Ceci est le principe de la primogéniture. Les autres descendants pouvaient recevoir en compensation des biens ou des terres. B/. Des règles fixées par des textes : la masculinité et la catholicité Dans la lignée d’Hugues Capet, le problème de la masculinité ne se posait pas, car il y avait toujours un fils pour succéder au Roi, à ce propos l’expression de « miracle capétien » est souvent utilisée. Cependant, le problème se posa avec Louis X dont le seul fils

lieux de cinéma et de théâtre. → Employés % + élevé que les ouvriers car différence d'étude et de pénibilité du L. 6/Inégalités entre sexe et genre Sexe : Appartenance biologique à la féminité ou à la masculinité. Genre : Appartenance culturelle, sociale à la féminité ou à la masculinité. → au sein d'un couple : - les femmes ont moins de tps libre par jour que les hommes. -elles ont un tps contraint supérieur → les tâches domestiques restent très

individualistes. Les pays latino-américains, arabes, d'Extrême Orient et d'Afrique sont communautaires. * la masculinité/la féminité La masculinité peut signifier pour HOFSTEDE, une différenciation des sexes dans les rôles socioprofessionnels, mais elle ne signifie pas nécessairement que la masculinité soit une attitude des hommes, ou que la féminité soit une attitude des femmes. La masculinité se caractérise par les éléments suivants: l'affirmation de soi, l'absence de pudeur, l'importance accordée

de part de marché du circuit Mass Market en 2003, et l’Oréal qui sont similaires en terme de positionnement de marque. Les deux leaders du Mass Market, à travers leurs communications, renvoient l’image d’un consommateur qui affirme pleinement sa masculinité et qui est donc le prototype de l’hétérosexuel. D’ailleurs l’ « homme Nivéa » dans les publicités est présenté comme performant professionnellement, puisque venant de CSP +, c'est-à-dire de profession intellectuel supérieur, gagnant bien sa vie

d'abord par l'anatomie mais s'établissait en termes d'activité ou de passivité. En ce sens, l'acte qui correspond à la masculinité est l'érection. Car, la possession universelle du pénis ne suffit pas pour l'avoir en érection, état sans lequel il sert à peu de chose, fors l'honneur. Quel est ce chemin qui permet d'accéder à la jouissance phallique ? Pour Freud, la masculinité se distingue par l'activité, ou aussi bien par le sadisme. On pense tout de suite au texte de Freud : « on bat un enfant »