Massacre des Innocents

sur toile de 350cm par 780cm. Conservé au musée Renia Sofia a Madrid. Représente la ville de Guernica bombardée par les nazis et les fascistes espagnol pendant la guerre d’Espagne pour soutenir les nationalistes (Francisco franco). Suite a ce massacre, Picasso veut montrer au monde la réalité. Gauche : Individu hurlant de douleur, cadavre qui tend le bras. Centre : cheval qui se fait transpercer par un bâton , lanterne au-dessus de lui et épée cassée au dessous de lui. A droite : 2 blessés

leur vie au nom de la loi. Vraiment, le statut de cette Cour, qui leur permet de se défendre, est aussi leur seul espoir. [...] Bien qu'en fait l'opinion publique ait déjà condamné leurs actions, nous convenons qu'ils doivent ici être présumés innocents et nous acceptons la charge de prouver le caractère criminel de leurs actes et la responsabilité de chacun dans la perpétration de ces actes. [...] Nous les accusons pour leur conduite préméditée et calculée, répréhensible sur le plan moral aussi

bêtise et la volonté de mettre fin à toute cette bêtise tout comme le géant. Mais ensuite, après les explication du philosophe qui montrent que les hommes qui se battent ne sont que les marionnettes d'autre hommes, eux sont à l'abri et ordonnent ces massacres. Alors le géant est ému par ces contrastes entres les hommes, ces écarts, tout comme le lecteur qui a pitié pour les hommes esclaves des autres hommes ; Le lecteur s'identifie tout simplement au Sirien comme spectateur de la bêtise humaine, et malgré

magnifique et puissant royaume. Très jeune il a quitté son royaume à la recherche de conquêtes. Après d’innombrables luttes il est arrivé jusqu'au pays des rampants. Ce pays est composé de hameaux, chacun vivant isolé les uns des autres. Tsongor massacre les habitants maigres et raides comme des piquets. Seul Katabolonga survit, ce dernier s'est fait la promesse d'être maître de la mort du roi Tsongor. Il est devenu porteur du tabouret d'or sur lequel trône le souverain, ce qui fait de lui

son enfant mort et hurle de douleur. Derrière elle, un taureau, impassible, image de la cruauté et de la force brutale. À droite du tableau, trois femmes désarticulées pleurent ou hurlent dont le personnage de la mère qui reprend le thème du Massacre des innocents de Nicolas Poussin. En fond de tableau, des formes géométriques sombres évoquent des immeubles effondrés. En bas, une tête d'homme et un bras coupé tient une épée brisée. Seule minuscule trace d'espoir, une main porte une toute petite fleur

pienture d'huile sur bois. Les dimensions importantes de l'oeuvre (3,40 m x 7,78m) s'explique par le sujet du tableau (les tableau évoquant un sujet historique sont en général grand) et par la volonté de Picasso d'exprimer sa colère face à un tel massacre. Composition : Les couleurs : Le tableau est composé de noir et blanc, ainsi que des nuances de gris, parfois bleutés. Le choix des couleurs s'explique par la gravité de sujet, qui traite de la terreur et de la mort. Une composition pyramidale

militaires italiens et allemands. Le bombardement anéantit la ville en moins de 4 heures et 2000 civils trouveront la mort. Ce massacre annoncera, en quelque sorte, celui de la Seconde Guerre mondiale. L’Espagne est le pays d’origine du peintre Pablo PICASSO. A ce moment là, il réside en France et est très touché par ce drame. Il peint le tableau « Guernica » en hommage aux innocentes victimes et afin d’alerter l’opinion publique sur les dangers d’une guerre mondiale. Pour répondre à ma problématique qui

argumentatif. La raison dans les textes argumentatif choisis suffit-elle pour convaincre ? Dans ce texte argumentatif de Guy de Maupassant, « La Guerre », j’ai surtout retenu les termes forts, brutaux, « égorger », « massacrer des hommes », « tuer des hommes innocents » car je trouve qu’ils résument le texte. Ils sont tous choquants et, par-là, la vision qu’ils donnent de la guerre est imposée. Elle nous envahit d’emblée à travers ces mots. En connaissant le titre du texte de Maupassant on

XXème siècle : le cubisme. On reconnaît le cubisme car les formes sont simplifiées et éclatées. •Le thème de l’œuvre: Cette peinture symbolise toute l'horreur de la guerre et la colère ressentie par Picasso à la mort de nombreuses victimes innocentes, causée par le bombardement des avions nazis à la demande du général Franco. La légende veut qu'à Otto Abetz, ambassadeur du régime nazi à Paris, qui lui aurait demandé devant une photo de la toile de Guernica, un peu indigné lors d'une visite à

Jour 3 : 7-11-22 : 11h47 p.94-99 Sous le choc. Je ne m’attendais pas cette révélation folle de Bark. Mais après tout, pouvons-nous lui en vouloir ? Il est logique que personne ne veuille aller dans un pays inconnue et massacrer des innocents mais c’est ce qui arrive en période de guerre. Je ne peux m’empêcher de penser à la réaction de Tao Laï s’il comprenait sa langue, je suis sur que ça lui aurait fait un choc. Je reste tout de même sur ma fin car ça ne répond tjr pas a l’une