Mathématiques modernes

« Oui, la bêtise consiste à vouloir conclure » Gustave Flaubert (1821-1880) Pour chaque homme moderne, il est important d’avoir sa propre opinion et de pouvoir l’affirmer, en désirant profondément que ce soit la juste. Nous voulons donc avoir raison, car nous espérons être plus intelligent que les autres et les surpasser en les convainquant que nous détenons la vérité. Mais comme le dit Flaubert : « Oui, la bêtise consiste à vouloir conclure ». Autrement dit, si nous faisons les malins en essayant

éducation religieuse. Son père l’inscrit ensuite a l’université de Pise ou il suit des cours de médecine. Sa ne l’intéresse pas. Il n’as donc pas fini ses études et n’as pas de diplômes lorsqu’il revient a florence. En 1583 Galilée est initié aux mathématiques par un ami de la famille, Ostilio Ricci. Ebloui par Euclide, n’aimant pas la médecine. Il se dirige vers les maths ou il étudie Pythagore, Platon et Archimède. Encore étudiant, il découvre la loi de l'isochronisme des pendules première étape

lumière l'essence même du philosopher : interroger le réel quant à son être d'une façon rigoureuse et argumentée de façon à esquisser une compréhension de notre rapport à l'être, au monde et des principes de nos actions.   Pour nous autres, hommes modernes, science et philosophie étaient rivales : cette rivalité s’est dissoute pour disparaître dans la victoire de la science sur la philosophie. Seuls quelques attardés considèrent encore la philosophie comme une discipline vivante.    Mais cette évidence

émetteur, grâce à un codage, envoie un message à un récepteur qui effectue le décodage dans un contexte perturbé de bruit. » Apparu tous d’abord dans l’ouvrage «Théorie mathématique de la communication», ce schéma sert à deux mathématiciens Claude Shannon Claude Shannon (père entre autres de nombreux concepts informatiques modernes) et Warren Weaver (scientifique versé tant dans la vulgarisation que la direction de grands instituts), à illustrer le travail de mesure de l'information entrepris pendant

| |Sous la direction de  |Professeur Jean Brun | | |Professeur en didactique des mathématiques à la faculté de psychologie et des sciences de l’éducation de| | |l’Université de Genève (SUISSE) | Dédicace Je dédie

L’infini en mathématiques (une présentation élémentaire) David A. Madore 22 mars 2001 CVS : $Id: infinity.tex,v 1.9 2001/03/22 20:31:29 david Exp $ http://www.eleves.ens.fr: 8080/home/madore/math/infinity.pdf Avant-propos : Le pari assez ambitieux tenté ici est d’évoquer de façon générale « l’infini en mathématiques » d’une façon suffisamment synthétique pour être accessible aux non-spécialistes sans pour autant être ennuyeuse pour les experts ; de surcroît, on espère le faire avec assez de rigueur

Italien Portugais Langues étrangères appliquées Spécialité (deux langues au choix) : Anglais (EAD), allemand (EAD), espagnol (EAD), chinois, grec moderne, italien, portugais, russe Tronc commun : LEA (L1) > Approfondissement de la langue des affaires (L2 et L3) > Presse, média et communication (L2 et L3) > Tourisme (L2 et L3) Lettres modernes (EAD) Philosophie (EAD) > LICENCES PROFESSIONNELLES Activités et techniques de communication (L3) Métiers de l’édition (L3) Édition Librairie TP/A Bibliothèque

Étant un homme considéré comme le père de l’observation astronomique et de la physique moderne, il est un homme très pieux et la religion est l’une de ses grandes valeurs. Âgé de 19ans, un jour la religion l’aida dans ses recherches. Il se trouvait dans la cathédrale de Pise, et il décida de chronométrer à l’aide de son pouls les oscillations d’un lustre avec les lois du pendulaire et y trouva une formule mathématique intéressante. Il a même déjà présenté ses découvertes à des cardinaux importants de

père, Hermann Einstein, était patron d’une usine électrochimique. Sa mère, Pauline Koch, était musicienne. La famille vivait également avec l’oncle d’Albert, un ingénieur. C’est son oncle, et non son père, qui donnera le goût au jeune Albert des mathématiques. Une curiosité scientifique précoceA 5 ans, son père lui offre un cadeau qui le marquera toute sa vie : une boussole. Tout gamin qu’il est, il est très impressionné par le mystère qui fait rester immobile l’aiguille, toujours pointée vers la même

que tous ceux de Saturne. Les avancées mathématiques Dans le domaine des mathématiques, le 18ème siècle n’est pas une période de création mais plutôt une exploitation des bases du 17ème siècle. Ce siècle sert en fait de transition au siècle suivant qui sera plus important au niveau des démarches décisives, il opère une ouverture de perspectives nouvelles. Durant ce siècle on note l’essor des journaux périodiques qui démocratisent les mathématiques et qui les rendent plus accessibles. En effet