Mathilde De La Mole Description

littéraire, cf Le rouge et le noir ). Frédéric se jure de ne plus l’aimer. Il sort et va chez Rosanette, ravie car son russe est parti. Ils s’embrassent, vont diner alors même que la réforme se met en place ( Guizot est remplacé au gouvernement par Molé pendant les journées de février). Pour se venger, Frédéric emmène Rosanette dans le logement de la rue Tronchet, préparé initialement pour Marie. Troisième partie Chap 1: 24 février 1848. Le peuple prend peu à peu le pouvoir dans les endroits stratégiques

l'époque, les oppositions entre Paris et la province, entre noblesse et bourgeoisie, entre les jansénistes et les jésuites. Stendhal qui fréquenta l'Hôtel de Castries, en fait dans ce roman et cinq ans plus tard dans la Vie de Henry Brulard, une description précise4 Un roman psychologique Selon Nietzsche, Stendhal est « le dernier des grands psychologues français ». « Stendhal, l'un des « hasards » les plus beaux de ma vie – car tout ce qui fait époque en moi m'a été donné d'aventure et

précepteur des enfants du maire, M. de Rênal, dont il séduit l’épouse. Découverts, les deux amants doivent se séparer et Julien s’enfuit vers Paris sous les coups de fusil du mari trompé. Il entre alors au service du Marquis de la Mole, dont il séduit la fille, Mathilde. Mais, Julien blesse d’un coup de pistolet son ancienne maîtresse, Mme de Rênal, parce qu’elle l’a dénoncé en tant qu’aventurier insensible. Arrêté, Julien est donc jugé. Julien est un personnage orgueilleux mais aussi trés timide

hésitations, Mne de Rênal, tombe amoureuse de Julien et se livre à la passion. Mais elle vit difficilement cette relation et cela plongera Julien Sorel dans la fureur et le désir de vengeance...   |      | Connu pour s'enliser dans les grandes descriptions de sentiments de chacun des personnages, Le Rouge et le noir, de ce point de vue là n'est pas une surprise pour tout lecteur qui sait à quoi il doit s'en tenir. L'histoire, inspirée d'un fait réel de l'année 1827, le procès d'Antoine Berthet est

du roman a- Le Romantisme (~1830) --> Les Misérables, Victor Hugo - Description de misérables dans Paris et la France provinciale du XIX s. - Roman réaliste: univers de gens humbles dans la vie parisienne du XIX s. Succès populaire tient au trait parfois chargé avec lequel sont peint les personnages. - Roman épique: Dépeint 3 fresques; bataille de Waterloo/l'émeute de Paris/ traversée des égouts de Paris. Description des combats de l'âme entre le bien et le mal; respect de la loi sociale

Sorel. Ce sont la passion et la mort. En plus le titre est lié aux l’Armée et l’Église, parce que ce sont deux carrières entre lesquelles Julien doit choisir. Pendant la lecture j'avais l'impression que l'auteur de ce livre voulait bien ommetre les description de l'amour et tout ce que s'est passé entre Julien et Mme de Rênal.Malgré la manque d'argent et d'éducation Julien a toujours rêvé de devenir un grand homme. Il était passioné par Napolèon.Il avait plein d'idées pour sa future carrière- il pensait

de sorte que la non explication laisse entrevoir cette intention de « l'animal »... Mais si Stendhal se refuse parfois à l'explication, il arrive également qu'il sur-interprète le roman. En effet, durant la description du dénouement, Stendhal évoque de cette manière l'acte de Julien : « Mathilde montre cette lettre [celle de Mme de Rênal à Julien. Julien est furieux, il part, arriva verrière pendant l'office... » Il apparaît donc ici que Stendhal décrit son personnage en utilisant la focalisation interne

conception romantique de l'art de Mérimée) argt 1 :on reproche souvent aux œuvres réalistes d'être trop crues, de décrire la réalité et ses contingences avec trop de détails repoussants exemples tirés de Stendhal, Zola, Dickens, Maupassant... : description de la maison de Gervaise, les traits physiques des ouvriers dans L'Assommoir, le parlé typé des petits ouvriers parisiens / la condition de la prostituée dans Boule de Suif/ le monde des paysans normands, de leur avarice et de leur cruauté dans

nature continue de baigner tout le passage, ce jusqu’aux souvenirs des « bois de Vergy » qui le submergent et lui apportent de de la douceur, puisqu’il y a vécu de « doux moments ». Cette nature se retrouve même lorsqu’il n’est plus, au moment où Mathilde le fait enterré dans « cette grotte sauvage » qui apparaît comme un havre de paix, et qui se trouve «vers le point le plus élevé d’une des des hautes montagnes du jura » On se rend alors bien compte que Julien est différent de tous les autres

désenchantement lors de l’entreprise de séduction de la fière Mathilde de La Mole, dans laquelle Julien se lance par esprit de bravade sociale, pour se prouver à lui-même qu’il est capable de dépasser les barrières les plus infranchissables en devenant l’amant d’une des héritières les plus convoitées de la haute société. La première nuit qu’il passe avec la jeune femme lui semble « singulière plutôt qu’heureuse ». Repoussé par Mathilde, Julien connaît la souffrance amoureuse et la vexation profonde