Matin Brun Dénonce

LA GUERRE, Otto Dix En quoi cette œuvre dénonce-t-elle les horreurs de la première guerre mondiale ? Présentation de l’artiste Otto Dix est allemand. Il est né en 1891 et meurt en 1969. Il fera des études d’arts appliqués de 1909 à 1914. Quand la guerre éclate (1914) , il s'engage comme volontaire (à Dresde) dans l'artillerie allemande. Il participe à de nombreuses campagnes militaires jusqu’à l’automne 1918. L’horreur de la guerre le marque énormément et devient alors la base de ses

utilisation…) La production doit correspondre à la logique décrite dans le dossier. (être capable d'expliquer en quoi leur oeuvre correspond au mouvement Pop Art.) 23) Comment les dictatures s'emparent-elles des arts? 24) Comment dénoncer la violence et l'horreur de la guerre? 25) Mémoire des génocides de la 2de guerre mondiale. 25) Comment dire l'indicible? 26) Comment les artistes utilisent-ils la société de consommation? 27) Comment l'art détourne-t-il l'objet usuel

Allemands, ou il signait ces écrits en temps que Jean du Haut. Paul 2luard prend part à de nombreuses rencontres internationales pour la paix. En 1952, il meurt à Charenton-le-Pont. Il sera connu également sous les noms de plume de Didier Desroches et de Brun. Complainte du partisan, d’Astier de le Vigerie Les Allemands étaient chez moi On m'a dit résigne toiMais je n'ai pas puEt j'ai repris mon arme. Personne ne m'a demandéD'où je viens et où je vaisVous qui le savezEffacez mon passage. J'ai

amis , meme si elle aurait voulut que certain visage ne sois pas présent dès le matin. Elle avait pris l'habitude de s'installer sur un petit muret dans le collège pour attendre tout le monde , elle était assez souvent la première à arriver , mais une de ses amies Méludine arrivait généralement tout les jours avant elle. Se qui l'arrangeait car rester seule pendant un certain temps n'était pas sa tasse de thé. Le matin elle aimait s'amuser , rigoler , et raconter certaines de ses blagues idiotes.

| |exil. Ses romans écrits en français connaissent un grand succès au Maroc pour sa façon de se moquer des blocages et des pesanteurs de la société marocaine. | |Il le fait avec humour et sans discours politique trop explicite. « J’écris pour dénoncer des situations qui me choquent. Pour dénicher la bêtise sous toutes| |ses formes. La méchanceté, la cruauté, le fanatisme, la sottise me révulsent. (…) Identité, tolérance, respect de l’individu : voilà trois valeurs qui | |m’intéressent

panneau de droit. III-Lumière et couleurs Des teintes de brun (fauve, ocre, jaune, rouille, terre) barbouillent le sol mais aussi les hommes, comme s'ils étaient enterrés vivants dans la boue. Les couleurs utilisées sont sombres : des teintes de noir, marron, gris, brun, ocre, rouge représentent la pluie, la boue meêléee de sang et de chair qui recouvrent le sol et aussi les hommes. La monochromie, semblable à celle d'un matin d'hiver sur le front est un parti pris du peintre. Cette gamme

reprend vigueur, | |dans l'espoir d'une amélioration de leur situation, le cas échéant par la violence. | |Le dernier chapitre du roman évoque l'arrivée du printemps, un matin d'avril (de quatre heures à six heures du matin), après un hiatus| |de six semaines entre ce chapitre et le précédent. On apprend qu'Étienne est resté à l'hôpital pendant ce délai, consécutif à son | |sauvetage.

condition noire aux États Unis à l’époque. On peut également citer la littérature réaliste du XIXème siècle, avec Emile Zola, qui, dans sa fresque romanesque Les Rougon Macquart dénonce la condition ouvrière en la décrivant avec une précision saisissante. Enfin, Victor Hugo, dans Le dernier jour d’un condamné (1829) dénonce la peine de mort. Cette « métamorphose » d’une situation à l’autre, permet donc à l’auteur de transmettre ses principes ; cependant, l’aspect esthétique, lui aussi, joue un grand

échange de propos galants d'une grande finesse entre un homme et une femme qui sont dans le jeu de la séduction. Dans L'île des esclaves, on passe de la simple galanterie à une expression plus forte des sentiments. Un des enjeux de la pièce est de dénoncer la volonté de puissance. Le maître perd sa noblesse car il a un comportement barbare envers les humbles. Il est capable d’humilier son valet. Marivaux montre aussi qu’il y a un désir de tyrannie chez les hommes. Marivaux croît qu’on peut changer

son milieu naturel, à qui l’on donnerait les justes doses d’engrais pour la fortifier sans la dénaturer. Sido a éveillé peu à peu sa fille et lui a ainsi tranquillement transmis la vie, laissant Colette trottiner sur les chemins à trois heures du matin pour aller trouver l’Aube ou pour goutter « l’eau des sources ». De Sido, Colette tient l’amour du monde, des bêtes, des plantes, des hommes… Comme sa mère Colette fut un anachronisme pour sa génération. Le « véritable espoir » de Colette était révolutionnaire