Matin Brun Schéma Narratif

quant à elle, à peu près dans la même proportion à dépeindre la vie dans le camp de prisonniers ou, encore une fois, à décrire l'embuscade fatale dans laquelle le capitaine est abattu sous ses yeux. Compte tenu de la forme chaotique du discours narratif, la présence relative des scènes de guerre dans la troisième partie du livre est plus difficile à cerner, mais elle reste très importante. Il faut aussi noter que les épisodes de l'histoire qui ne se déroulent pas durant la guerre sont la plupalt

chevalerie tant appréciés du public, que les aventures du dernier des chevaliers vont parodier avec tant de profondeur."3 Quant à Jacques le Fataliste, Diderot y évoque : par les questions fictives du lecteur au narrateur, l'horizon d'attente propre au schéma romanesque du "voyage", alors en vogue, ainsi que les conventions (plus ou moins aristotéliciennes) de la fable romanesque – y compris la Providence qui est censée y régner – pour opposer ensuite au roman de voyage et d'amour ainsi 1 Milan Kundera

. . . . . . . . . . . 92 ¾ Les questions de cours 97 Les tests . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Les corrigés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ½¾ Les annales corrigées Le discours narratif 139 141 ½ ½ ½ ¼ ½ ½ ½ Sujet 1 • Texte d’Arthur Ténor (séries tech. et prof., juin 2007) . . Sujet 2 • Texte de Victor Hugo (série collège, juin 2007) . . . . . Sujet 3 • Texte de Michel Piquemal (série collège, juin 2007) . . . Sujet 4 •

Introduction ...................………………………………………………………. 8 I.1.1 L’instance narrative : niveau et hétérogénéité………………...………….11 I.1.2 Le narrateur…...…………….…………………………………………… 13 I.1.3 Temps de la narration…………………......……………………………...16 I.1.4 Niveaux narratifs et récit enchâssé……………………...………………..18 I.1.5 Point de vue et focalisation……………………………………………….19 I.2 Le narrateur ; Léon l’Africain …………………………………….……...........22 I.2.1 Le livre de Grenade……………...................................................

aux choses (les appréhender en les disant, en les nommant), aux autres (leur parler), soi (se dire, se situer, exister) : les exercices purs, le pur « conditionnement », tel quels, ne peuvent suffire. Émergence de la référence (autour de Jérôme Bruner, Comment les enfants apprennent à parler, 1987) : - Importance de la fonction de représentation du langage (celle qui renvoie au contenu référentiel, à ce dont on parle) : par l’acquisition de la capacité à établir la relation de référence entre

ensemble ou séparée en petits groupes. Enfin, l’organisation matérielle peut présenter des conditions de pratiques du langage différentes si on agit sur : 14 - Le lieu (Tapis, BCD, extérieur, salle de motricité…) - Le moment de la journée (le matin, au coin regroupement, après la sieste chez les petits, ou encore en fin d’après midi pendant le bilan de la journée, autant de moments différents pour organiser des temps de parole.) - L’organisation de l’espace (lieu-bibliothèque dans la classe,

le mot a fini par désigner une œuvre littéraire consacrée aux  ‘hauts faits’ héroïques d’un chevalier ou de sa famille (le mot geste, peut signifier aussi “la lignée” [Stanesco, 1998:29]): la chanson de geste. La Chanson de geste est un poème narratif chanté, consacré à la célébration des exploits guerriers des héros situés dans un passé légendaire de l’histoire de France, des héros qui incarnent des valeurs fondamentales dont le public du XI et XIII siècle peut s’identifier  (Real, 2002:13-15)

produire une argumentation basée sur deux ou trois arguments personnels. A l’écrit/compréhension : - analyser un récit pour en construire le sens, - différencier les genres de récits, - prendre des notes et les organiser, - lire à haute voix un texte narratif devant un public. A l’écrit/production : - résumer un récit, - se positionner en tant que scripteur, - structurer un récit, - produire un récit. A l’écrit/compréhension : - analyser un texte argumentatif (retrouver le point de vue de l’auteur, des

sur le canal et tout ce qui réfère à la mise en contact, « allo ». -la fonction métalinguistique porte sur le code dont on peut vérifier s’il est bien partagé. « Les montants compensatoires c'est-à-dire… » Bien sûr, il y a beaucoup à dire sur ce schéma qui repose sur un tête-à-tête entre deux locuteurs bien identifiés comme émetteur et récepteur, usant idéalement d’n même code homogène et constitué d’avance, dans une communication transparente et réussie. …et activité pragmatique : Jakobson :

SOMMAIRE Présentation et motivation Publics et situation Problématique Volume horaire Intentions Besoins Supports Objectifs généraux Objectifs spécifiques Compétences à développer Modalités d'évaluation Schéma général des cours Déroulement des cours et justification des supports Séance 1 Séance 2 Séance 3 Séance 4 Séance 5 Séance 6 Conclusion Bibliographie Annexes 3 3 3 4 4 4 4 5 5 5 6 6 7 16 24 35 46 63 73 74 75 76 1 « La parole, dans ses usages courants est perçue comme médium naturel par