Matraque

d’appliquer rapidement le programme politique du nouveau Gouvernement. Comment les forces de l’ordre finissent-elles parfois par obtenir la dispersion des manifestants ? En utilisant les grands moyens : pompe à eau ; gaz lacrymogène ; coups de matraque ; charge sur la foule. Comment parvient-on à faire en sorte que force reste à la loi ? En armant les forces de l’ordre et en ne les punissant pas pour les brutalités qu’elles sont obligées de commettre. Mais, pas d’abusnutile (déontologie). Comment

abstraites, proche des toiles de Mondrian. De plus près, on se rend compte qu’il s’agit de centaines de matraques de policier prises dans le béton du mur. Cette calligraphie moderne reflète l’expression de la violence policière, de répression, créant une composition pleine de tristesse, une violence dirigée contre ceux qui ne pouvaient pas se défendre. Arabesque, 2006, Installation, matraques dimensions variables, Libra Art collection Moucharabieh, 2006, menottes de policiers sur châssis de

des canon à eau le lendemain matin. Malgré l’interdiction de manifester, le lendemain, la mobilisation est toujours présente et le mouvement prend de l’ampleur. Les autorités égyptiennes deviennent plus sévères et utilisent des gaz lacrymogènes, matraques, pierres. Les manifestants répondent aux jets de pierres et créer des affrontements violents entre policier et manifestants notamment devant le ministère des Affaires étrangères. C’est une véritable colère qui s’installe. Les portraits du dictateur

son corps obéit inconditionnellement face aux coups : « Je ne bougeais pas. Je craignais. Mon corps craignait de recevoir un coup à son tour ». Nous le voyons également au champ lexical de la violence dans l’extrait de La Nuit : « coup violent », « matraque » à la ligne 26, « visage ensanglanté, « tête fracassée » à la ligne 31 ou dans celui du Vertige : « poussèrent » ligne 17, «coups de crosses » ligne 18, « torture, physique » ligne 24. Cette brutalité est par conséquent extrême. De surcroit, la

Quand les adultes se battent dans une milice contre les jeunes, c’est qu’il y a de la violence partout. Les adultes ne sont même pas capables de montrer le bon exemple. « Madjid fonça le premier dans le tas. Il fut accueilli par un formidable coup de matraque qu’il dévia du bras… Le père Langlois prit un coup dans le ventre et s’écroula. » (p.146) Amitié : Pat et Madjid sont amis, mais seulement par alliance initialement. Ils sont trop lâches pour s’affronter, ils ne veulent pas être deuxièmes, alors

au niveau "Personne") HUMILITY BEFORE THE LORD Célébrité (fait monter la réputation au niveau de "Légende") I AM ONE OF THEM FAMOUS FELLAS Gros gentil (fait monter l'honneur au niveau de "Héro") IT AINT PRIDE. IT'S HONOR Attaque à la matraque (change l'apparence du personnage) OH MY SON, MY BLESSED SON Prime réduite THEY SELL SOULS CHEAP HERE Vieille école (affiche un filtre sépia) THE OLD WAYS IS THE BEST WAYS Argent (donne $500) THE ROOT OF ALL EVIL, WE THANK YOU! Armes

colère. TROUVEZ VOUS ÇA NORMAL?! C'est une honte, la manifestation est un droit ! Marie: Votre colère a donné lieu à l'invasion du boulevard Saint Michel et du quartier Latin avec des cocktails Molotovs et des barricades pour lutter contre les matraques et les gaz lacrymogènes des CRS. Que pensez-vous de cette violence Daniel?! Lisa: Nous ne faisons que manifester et pourtant plus de 600 personnes ont été arrêtées injustement ! Marie: Pouvez-vous nous explique le slogans qui est écrit sur votre

(clique ici) - Musée des combattants des ghettos en Israël. Description 1er plan 2d plan Arrière plan Un homme très maigre. Il fait partie des Sonderkommandos. (voir biographie d'Olère) La scène se passe sous la Surveillance d'un soldat armé d'une matraque et d'un fusil. Cet homme vide une chambre à gaz. Main droite il tient le cadavre d'un enfant. Une chambre à gaz vient d'être ouverte. On distingue un tas de cadavres gazés. Un autre membre des Sonderkommandos est en train de sortir des cadavres

français sont en bleu et les Allemands en vert. Ils disposent tous de 2 longues botte, de long manteaux, de casque, avec des sacs contenant tout ce dont ils ont besoin (kit de secours etc). Ils disposentégalement d'armes, de pelle, de pioche, de matraque de tranchées, de cisailles à barbelée, d'un masque à gaz. La forme de combat qui est montrée au spéctateur est une forme violente et sans pitié, soit« tué pour survivre ». Les combats sont sanglants et il y a beaucoup de mort et blessé videvidevide

les camp , ici dans le ghetto est davantage une résistance « mentale » que par opposition physique et matérielle. Szpilman et son frère en refusant d'entrer dans la «police » juive ont résistés a la persécution allemande , car la police juive matraque les juifs c'est donc ce que veulent les allemands que les juifs se persécute entre eux. La grande particularité de Szpilman c'est qu'il continue de faire ce qu'il aime c'est-à-dire le piano, c'est la je pense la chose la plus importante et sa plus