Maurice Boucher

: la machine ' M6nalque est surpris de se voir ir genoux sur les et fait d'un fort petit homme, jambes apprry6 to sur son dos, les deux bras passes sur ses 6paules, et ses deux mains 31 iointes et dtendues qui lui prennent le nez et lui ferment la bouche ; il se retire pour faire sa priEre, et c'est confus, et va s'agenbuiller ailleurs. Il tire un livre 3', et qu'il a mise dans sa poche avant sa panioufle qu'il a prise pour ses Heures pal hors de l'6glise qu'un homme de liw{s 33 court aprds qr.ri

visage. La perfection se tenait en face de moi. Elle avait de longues boucles brunes, qui ne semblait jamais s’arrêter. Son visage rond parsemé de petites tache de rousseurs était magnifique son petit nez retroussé, lui donné l'air d'un renarde. Et sa bouche si tendre, si sensuelle me donnait envie de l'embrasser, jusqu'à l'étouffement, jusqu'à ce qu'elle me supplie d’arrêter. Mais ce qui m'étonnas encore plus, ce fut ses yeux. Ses yeux bleu, si limpides si magnifique...J'avais réussi. Réussi a la rattraper

piments a une force qui lui est propre, c’est-à-dire que par exemple un paprika doux sera moins fort qu’un piment d’Espelette. Cette force est liée à la capsaïcine une molécule contenue dans le piment et donnant ainsi cette sensation de brûlure dans la bouche lorsque l’on mange un piment ou une sauce à base de piments. La force libérée par la capsaïcine est mesurée grâce à une échelle inventée par Wilbur Scoville : l’échelle de Scoville. Le principe de l’échelle de Scoville est simple, Scoville

« baiser » et du même tour syntaxique pour juxtaposer les définitions de ce « baiser » : « un point... », « un secret... », « une communion... », « une façon... ». Il sait aussi jouer de la sensualité des évocations des parties du visage : « lèvres », « bouche », « oreilles » et du champ lexical des sensations : « doux », « goûts », « goûter », « frisson », « bruit ». L'érotisme de ces allusions est adouci par des métaphores empruntées à la nature : « goût des fleurs », « bruit d'abeilles » qui renvoient

le saisit: "Est-ce que j'aurais peur?" Pourquoi son coeur se mettait-il à battre follement à chaque bruit connu de sa chambre? Quand son coucou allait sonner, le petit grincement du ressort lui faisait faire un sursaut; et il lui fallait ouvrir la bouche pour respirer pendant quelques secondes, tant il demeurait oppressé. Il se mit à raisonner en philosophe sur la possibilité de cette chose: "Aurais-je peur?" Non certes il n'aurait pas peur puisqu'il était résolu à aller jusqu'au bout, puisqu'il

sais quoi mais juste assez pour distinguer vaguement un spectre se diriger vers moi. Je suis tout simplement paralysé à la vue de celui-ci. La fille, à mes côtes, me pointant d’un doigt accusateur, son regard noir et en larme plongé dans le mien, la bouche béante, d’où s’échappait auparavant des pleurs infidèles, reste maintenant grande ouverte, ne laissant s’échapper qu’un cri inaudible et sans fin de pure démence. Les ténebres m’engloutiren au moment où la fille s'est approché de moi... ...et je

encéphalopathie, il est nourrit par une alimentation entérale (sonde gastrotomie). Une trachéotomie a été réalisé (=ouverture face antérieur du cou ou une canule et introduit afin de permettre le passage de l'air dans les poumons sans passer par le nez ou la bouche). Mr. V n'arrive pas à communiquer oralement, mais c'est se faire comprendre par son faciès. Lors des différents soins, Mr. V est indocile et assez retissant. Après consultation avec l'équipe médicale, une injection d'hypnovel (il s'agit action

durée un mois. Durant cette période j’ai effectué deux semaines au chaud avec les cuisiniers et deux semaines au froid avec le garde-manger et son commis. Description de la situation professionnelle : Situation de l’accident : Il est 14h00, le Boucher commence a nettoyer la boucherie, Il commence par arroser le sol d’eau, puis dissimule le produit de sol, il brosse puis il rince. Il est tellement pressé de partir qu’il a oublié de rincer de rincer l’entrée de la boucherie. Au moment de partir

DIALLO avait été fasciné par ce visage qui était comme une page vivante de l’histoire du pays des diallobé. Tout ce que le pays compte de tradition épique s’y lisait. Les traits étaient tout en longueur, dans l’axe d’un nez légèrement busqué. La bouche était grande et forte sans exagération. Un regard extraordinairement lumineux répandait sur cette figure un éclat impérieux. Tout le reste disparaissait sous la gaze qui, davantage qu’une coiffure, prenait ici une signification de symbole. L’islam

dont je me croyais le plus à l’abri m’advenait* brusquement avec la brutalité qui le caractérise : J’étais victime du coup de foudre et je ne me défendais pas. Je regardais avidement* le visage extraordinaire de l’inconnue, sa peau brune et mate, sa bouche sinueuse et surtout ses yeux noirs, brillants, au regard tellement scrutateur* que j’aurais dû en être gêné, mais j’y voyais une preuve d’intérêt flatteur et mon cœur battait follement. J’étais là, stupidement figé*, comme hypnotisé* et j’aurais soudain