Maurice Genevoix

vivacité à saisir toute nouvelle idée ou projet, mais aussi sa grande capacité à s'entourer de brillants collaborateurs, contribuent au succès de la société Eiffel. Citons : Théophile Seyrig en 1868, Émile Nouguier à partir de 1875, Maurice Koechlin à partir de 1879, etc. Maurice Koechlin sera d'ailleurs à l'origine en 1881 de la conception de l'armature de fer de la statue de la Liberté, dessinée par Bartholdi et inaugurée à New York en 1886.

par le public dès sa présentation à l'exposition, elle a accueilli plus de 200 millions de visiteurs depuis son inauguration[o 2]. Sa taille exceptionnelle et sa silhouette immédiatement reconnaissable en ont fait un emblème de Paris. Imaginée par Maurice Koechlin et Émile Nouguier, respectivement chef du bureau des études et chef du bureau des méthodes d'Eiffel & Cie[4], la tour Eiffel est conçue pour être le « clou de l'Exposition de 1889 se tenant à Paris. ». Elle salue également le centenaire de

la fonderie « Gaget, Gauthier et Cie » en 1878. 64 tonnes de feuilles de cuivre furent offerts par un donateur, l'industriel Pierre-Eugène Secrétan, permettant au chantier de démarrer33. Les travaux de précision furent ensuite confiés par Eiffel à Maurice Koechlin, l'un de ses proches avec qui il travailla aussi sur la Tour Eiffel. L’armature est construite à Levallois-Perret dans les ateliers Eiffel34. Devenue le plus haut monument de Paris, Bartholdi fit payer une somme modique aux Parisiens pour

Descartes », édition Charpentier à Paris, 1845) (Figuré) Postérité. Pour que le vol transatlantique soit un succès commercial, il faudra développer à la fois la vitesse et la sécurité. Seul l’avenir pourra résoudre ce problème. — (Dieudonné Costes & Maurice Bellonte, Paris-New-York, 1930) Décembre 1891. […]. Et, dans cette France de la IIIe République, l’avenir de l'économie s’écrit en grande partie dans les Ardennes. Les start-up de l’époque se dénichent dans la sidérurgie ou la forge. — (Thibaut de

seconde Guerre Mondiale, Kessel écrit de nombreux ouvrages engagés : 3) Le chant des partisans est un chant de la résistance française durant la seconde Guerre Mondiale. Ce chant est l'hymne des résistants. Ses paroles sont de Joseph Kessel et Maurice Druon en 1943. Première partie : L'évasion : Dans cette première partie, les personnages principaux étaient Gerbier, Legrain, Roger et Armel qui étaient décédés. Ces malheureux hommes se trouvaient dans un camps de concentration nazis

détroit de Magellan, séjourne à Tahiti, dont il fait une description émerveillée (avril 1768), poursuit sa route par les Nouvelles-Hébrides, les atterrages nord de la Nouvelle-Guinée et les Moluques, fait escale à l'île de France (actuellement, l'île Maurice) et achève son périple à Saint-Malo le 16 mars 1769, après avoir doublé le cap de Bonne-Espérance. Son compte rendu de mission (Voyage autour du monde, 1771Voyage autour du monde, Bougainville) connaît un énorme succès.

les Québécois, une période de changements touchant de multiples domaines, et qui pour beaucoup débuta symboliquement par les élections du 22 Juin 1960. La victoire de Jean Lesage et des libéraux à cette élection, marque la fin du règne politique de Maurice Duplessis (au pouvoir de 1945 à 1959) et de l’Union Nationale, qu’on associa souvent à une époque de « grande noirceur ». Le Québec va alors assister dès 1960 à des bouleversements dans le fonctionnement de l’appareil étatique, ce qui va toucher diverses

et des représentations théâtrales de Molière. Le château a été par la suite rarement habité. Il devint successivement la résidence des ducs d’Orléans au XVIIème siècle, de Stanislas Leczinski, beau père de Louis XV, du roi de Sologne, du maréchal Maurice de Saxe au XVIIIème siècle et du maréchal Berthier puis du duc de bordeaux (devenu comte de Chambord). Ce château dispose d’une vaste terrasse d’où les femmes de la cour suivaient autrefois les chasses. A l’extérieur se trouve le parc du château

Maurice Ravel Maurice Ravel , né à Ciboure le 7 mars 1875 et mort à Paris le 28 décembre 1937, était un compositeur français de l’époque moderne. Il était le fils aîné de Joseph Ravel. En 1889, il est admis à la classe préparatoire d'Eugène Anthiôme au Conservatoire. Durant ses premières années, il démontre un talent pour les nouvelles expériences. Pendant ce temps il décide de consacrer sa vie à la composition musicale. A la veille de la Première Guerre Mondiale, sa réputation a franchi les frontières

Cercle des Escholiers. En mars 1893, il crée avec Camille Mauclair et Édouard Vuillard la Maison de l'Œuvre, un collectif de spectateurs et d'artistes qui prône le symbolisme au théâtre en opposition au naturalisme d'Antoine. La création du drame de Maurice Maeterlinck, Pelléas et Mélisande, en décembre 1893 au théâtre des Bouffes-Parisiens, inaugure les représentations du théâtre de l'Œuvre qui se produit aussi bien dans la salle Berlioz, rue de Clichy, que dans d'autres théâtres parisiens : Bouffes-Parisiens