Mauvais Esprit

littéraire, né à la fin du XVIIe siècle, permet aux penseurs de l'époque de révéler leur esprit critique et aux écrivains de se tourner vers la réflexion philosophique. Ils s'interrogent sur le destin de l'Homme, dénoncent les préjugés et se donnent pour mission d'éclairer les esprits aveuglés par les croyances trompeuses, d'où leur nom de « philosophes des Lumières ». Les penseurs de l'époque ont un esprit très critique, tels que Voltaire, Diderot et Rousseau ; ils revendiquent un état d'esprit

comme au 1er siècle ou bien au XVIIIe siècle. Les progrès techniques engendrent des progrès sociaux. Ils rendent l’homme meilleur puisqu’il s’enrichit et dispose ainsi d’une culture qui lui permettra de développer son esprit critique. Il est capable de juger de ce qui est bon ou mauvais. Sauf si son raisonnement est faussé par l’égoïsme. Dans ce cas il n’est plus raisonnable et sous le couvert de la « technique » et des idées positives qu’elle porte avec elle, il pourrait ne plus être rationnel et s’engouffrer

autonomie morale ? SUJET 1 53 II Plan détaillé I En l’absence de morale transcendante, le mal règne 1. L’absence de morale 2. Une morale fausse 3. Une morale hypocrite Ainsi, sans une loi extérieure qui lui dicte sa conduite, l’homme est mauvais, sciemment ou en se croyant bon. Pour éviter cette domination du mal, il existe toutefois une solution : trouver en soi-même une loi éthique. II Peut-on alors opposer au mal une éthique personnelle ? 1. La vertu et la conscience 2. Une éthique

sont des enfants-génies. De l'horreur, ils vont tirer contre le monde une haine froide, mathématique, éternelle. Avec leur intelligence, ils volent, ils accumulent les crimes parfaits. Car ces sept-là ne sont pas sept : ils sont un. Ils sont un seul esprit, une seule volonté. Celui qui l'a compris, Jimbo Farrar, lutte contre eux de toutes ses forces. A moins qu'il ne soit de leur côté... Alors, s'ils étaient huit, le monde serait à eux et ce serait la nuit, la longue nuit, La Nuit des enfants rois

distinguer l’homme des animaux (96), elle est limitée. En effet, il y a des savoirs qui ne sont appréhendables qu’à travers l’intuition, seule capable de sentir Dieu. III- De l’utilité des concupiscences Bien que condamnables car l’homme en fait un mauvais usage en les tournant exclusivement vers lui, elles pourraient s’avérer être une bonne émulation. Du moins, c’est ce que semble indiquer l’auteur dans les fr. 97 « Les raisons des effets marquent la grandeur de l’homme, d’avoir tiré de la concupiscence

reception en ce qu'elle évoque la lecture en tant que liberté contrainte. En effet le fait que "je ne puis fantasmer n'importe quoi à propos d'un texte" fait référence à l'utilisation de la lecture et le subjectivisme apporter à celle ci par le mauvais lecteur. En effet le texte reste présent et le lecteur ne doit pas passer outre cette présence indéniable qui le contraint à suivre un fil conducteur, "les points obligés", il ne peut y avoir de lecteur libre qui projette son idéal sur le texte quitte

par la suite, on peut se demander si c’est vraiment la société qui nous rend soit meilleur, soit mauvais ou alors est ce qu’elle ne joue aucun rôle et que nous sommes seulement maître de nos actes et de nos pensées ? Et faut il se questionner sur les différents critères ou moyens pour être meilleur : est ce sur le plan intellectuel, notre moralité ou par notre culture ? Et devient-on des hommes mauvais car nous sommes influencés par la société ? Devient-on des individus violents car nous utilisons

pensées vont à l’encontre de la morale. Ainsi, les personnes en question pourraient culpabiliser et alors se ranger du côté de Kant. Selon celui-ci, la question ne devrait même pas se poser et la réponse devrait s’imposer immédiatement dans nos esprits : il faut suivre le devoir et agir en fonction de celui-ci. Son argument principal est le suivant : en raisonnant ainsi, notre vie est simplifiée car « on n’est pas absolument pas embarrassé par la réponse à donner, on sait tout de suite ce qu’on

n'est pas un luxe, mais un besoin vital ». Selon R. Bresson, l'art est une chose tout aussi essentielle à la vie de l'homme que manger ou dormir. La littérature en plus d’apporter une passion pour beaucoup d’artistes, aide au développement de notre esprit critique, elle nous fait voyager, nous fait ressentir des sentiments et bien sûr, elle nous cultive. Il est donc clair que la vie ne pourrait exister si l’art de l’écriture n’existait pas. Dans le livre Mister Pipe de Lloyd Jones, M. Watts grâce

espérer d’autre après lui, auquel je fusse plus propre à l’exécuter ; ce qui m’a fait différer si longtemps, que désormais je croirais commettre une faute, si j’employais encore à délibérer le temps qu’il me reste pour agir. Maintenant donc que mon esprit est libre de tous soins, et que je me suis procuré un repos assuré dans une paisible solitude, je m’appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions. Or il ne sera pas nécessaire, pour arriver à ce dessein