Mauvais Plaisirs

intérieure. Il faut toutefois le distinguer de la joie et du plaisir qui sont récurrents et occasionnels. Ce sont des émotions qui résultent d’éléments extérieurssouvent éphémères et même quelquefois nuisibles (l’ivresse, la débauche). La joie et le plaisir n’ont pas la même valeur ni la même profondeur que le bonheur. Dans un second temps, le bonheur peutêtre lié à un certain art de vivre car il s’agit de savoir ce qui est bon ou mauvais pour nous. Dans ce cas, ce n’est plus une question de hasard

elle-même, une fin en soi. Mais nous ne connaissons rien de la nature du bonheur. Selon l'opinion commune, le bonheur consiste dans l’assouvissement intégral des besoins et désirs. Le bonheur est ce qui nous comble de façon pérenne contrairement au plaisir. Cependant, tous, nous sommes amenés à chercher le bonheur, ce qui nous condamne finalement à une vie axée sur cette recherche et non pas sur notre réalisation en tant qu'être humain. Quelle est vraiment la nature du bonheur ? Le bonheur est-il

réalité? Est-il important de réaliser tous ses désirs? Devons nous vivre une vie sans désirs? Est-ce que le plaisir se traduit par la réalisation de nos désirs? Réalité et désir sont-ils antonymes? Pouvons nous avoir des désirs ainsi que de vivre une vie de plaisir dans la réalité? Les désirs rendent l’individu malheureux et l’obligent à rêver à une autre vie, les désirs nous rendent mauvais citoyen et finissent à l’avilissement de l’individu, de plus les désirs nous rendent esclaves, voici donc

personnelle basée sur le plaisir, l’intérêt. Nous ne sommes pas motivés par tous. Il n’y a pas d’action sans motivation (hors inconscience). Tout le monde connaît ce mot, c’est un mot générique. Il n’y a pas d’acte gratuit, sans motif. Ces motifs sont intégrés à notre personne ou ils sont superficiel, labile qui ne dure pas. I. Approche historique. De tout temps on s’est intéressé à la motivation, qui est basé sur ceci : récompense acte bon, punition acte mauvais (behaviorisme) pour faire

autour de: • Thèse: nos désirs nous sont imputables • Antithèse: nos désirs nous échappent « Peut-on désirer l'impossible? » est élaborée autours de trois axes de réflexion: 1. Le désir, une recherche conduisant à la satisfaction et au plaisir 2. Le désir, un acte reflétant l'orgueil et l'imagination de l'Homme 3. Désirer l'impossible, un but vain car éloignant l'Homme du bonheur véritable « Faut-il vaincre ses désirs plutôt que l'ordre du monde? » La correction proposée est

certains phénomènes de notre société. Le bonheur consiste-t-il à avoir le plus de plaisir et le moins de soucis possible ? Selon moi, la position de l’auteur à cette question est nuancée ainsi que ma position personnelle, car le bonheur ne consiste pas seulement à avoir du plaisir ni d’avoir aucuns soucies. En premier lieu, Huxley n’est pas d’accord avec cette question, car le bonheur ne vient pas seulement du plaisir, mais aussi de la connaissance. Les personnes habitant cette communauté sont ignorants

animé par son désir même. Ainsi, placer exclusivement le désir sous le signe du manque, et donc de la douleur, c'est oublier qu'il est aussi promesse d'une satisfaction heureuse autant que plaisante, si tant est qu'un désir comblé est source de plaisir véritable en sorte que la question effectivement se pose : peut-on désirer sans souffrir ? En d'autres termes, le désir comme promesse d'une satisfaction qui nous pousse en avant n'est-il pas en lui-même plaisant, n'est-il pas aussi ce qui nous

désirs procure un plaisir certain. Nous désirons ce que nous n’avons pas. Cependant, accomplir tous ses désirs SANS EXCEPTION, est-ce une bonne condition pour aboutir au bonheur ? Qu’est-ce qui impliquent les différences réponses possibles ? I. Si je réponds « oui » au problème (Accomplir ses désirs peut-il mener au bonheur ?) : Accomplir ses désirs est la clé du plaisir, le plaisir vient de la satisfaction d’un désir c'est-à-dire que sans désir, il n’y a pas de plaisir. De ce point de vue

s’attend pas. Le bonheur est une aspiration que tous recherchent, et qu’on ne peut maitriser. De plus, Epicure associe le bonheur au plaisir. Mais ces deux termes peuvent être contradictoires. En effet, le premier est un état durable de satisfaction, tandis que le deuxième, quant à lui, est éphémère. Ainsi, le bonheur serait la somme de tous les instants de plaisir. Mais certains problèmes peuvent nuire au bonheur, d’après Epicure qui a trouvé des solutions à ceux-ci pour la peur de la mort, il affirme

Désir et Bonheur Faut-il satisfaire tous ses désirs pour être heureux ? • Désir : tendance à rechercher objet (matériel ou moral) que l’on s’imagine être source de satisfaction, de plaisir. - envie : désir éphémère - souhait, espoir : désir qui ne s’accompagne pas d’actions propres à le réaliser. - volontés, projets : désirs réfléchis, accompagné d’actions propres à les réaliser. On distingue parfois le désir et la volonté, le premier serait irréfléchi, la seconde étant réfléchis. • besoins