Mauvaise Foi

celle qui est visible. Elle croit même à une communication possible ; elle s’adresse par la prière et des rites à la puissance principale qu’elle invoque. On peut donc comprendre que les rationalistes mettent tout dans le même sac, les croyances et la foi, les gris-gris et la Bible, les messe noires et les cultes protestants. Ils feront simplement une distinction entre ce qui est plus ou moins éloigné de la pure raison. Mais les arguments que vous invoquez pour croire en Dieu et ceux qui vous font chercher

sans pitié. Le Pauvre lui, est l’incarnation de la misère. Il n’a même pas de nom et ne possède que sa foi en Dieu et sa crainte du ciel. Malgré l’état d’abandon dans lequel il se trouve, il refuse jusqu’au bout le pacte que lui propose Dom Juan (« je m'en vais te donner un Louis d'or tout à l'heure, pourvu que tu veuilles jurer. ») On voit l’aspect corrupteur de DOM JUAN. Il veut acheter la foi du pauvre homme comme il a voulu acheter les jeunes femmes. Cette scène, présente Dom Juan comme un homme

sectes vivre dans une parfaite harmonie et fournir à l’envi des citoyens utiles à la patrie et fidèles à leur prince. Quelle idée prendre de l’humanité et de la religion des partisans de l’intolérance ? Ceux qui croient que la violence peut ébranler la foi des autres donnent une opinion bien méprisable de leurs sentiments et de leur propre constance. Voyez PERSECUTION et TOLERANCE.

sa supériorité d’aristocrate , jeu cruel ,cruauté du à son propre égoïsme, il ne voit que son propre plaisir. Il v a jusqu’ à imaginer que le matérialisme va supplanté les idées de l’ermite. Il veut donner un louis d’or pour faire confession de foi ( choquant de donner de l’argent contre une idée= condamnable moralement). Don juan veut reconvertir le pauvre mais il échoue . il essaie de faire jurer 4 fois le pauvre=> le mot « jurer » apparaît 4 fois dans sa bouche, même Sganarelle va dire au

jeune, le jeune qui croit en ses rêves, l’adolescent qui croit en ses études. Tout être humain vit avec des croyances et celles-ci jouent un rôle essentiel dans l’identité de la personne. Une croyance peut donc désigner une opinion, la foi, la science. Toutes les croyances sont discutables mais le besoin de croire est indiscutable. Que ce soit pour différente chose, Tout le monde croit !!!

la raison c’est ne pas avoir raison. Aussi, tous les sentiments ont-ils une vérité qui se sent et ne se démontre pas. Pascal écrivait dans les Pensées que « le cœur a ses raisons que la raison ne connaît point. » Aussi est-ce le cœur qui justifie la foi religieuse. Néanmoins, faire reposer sur le cœur la vérité, n’est-ce pas justifier n’importe quelle proposition dont on dira qu’on en sent la vérité ? N’est-on pas conduit à affirmer comme vrai ce qui heurte la raison sous prétexte qu’elle ne peut

aspects de façon neutre. Dans un premier temps il me semble important de souligner le fait que la religion est une force ou en tout cas une aide. En effet des hommes se sont trouvés et surpassés dans la religion et du même coup on dédier leur vie à la foi, je pense part exemple aux missionnaires ou aux croisées. D’une manière moins engagée je pense que beaucoup d’homme trouve le courage de continuer à vivre de part la religion, en effet une personne ayant perdu un proche aura moins de mal à faire son

sont pas nécessairement fausses, comme la naissance et l’existence réelle de Jésus qui a été prouvé et que certaines réponses qu’apportent la science ne sont pas très convaincantes, comme par exemple la création du monde. Ceci peut donc expliquer la foi des croyants envers quelque chose ou quelqu’un, et pourquoi ils sont plus portés à leur soumettre leurs désirs les plus chères. Outre la fonction existentielle, il y a les fonctions communautaires et esthétiques de la religion qui contribuent d’ailleurs

Comment Don Juan incite-t-il le pauvre à renier sa foi? Quel rapport Don Juan entretient-il avec la religion? Comment s'exprime ici le libertinage de Don Juan ? Quel est le rôle du pauvre ermite dans ce passage ? Autant de questions qui ne cessent d’être argumentée par Molière. L’auteur, grand écrivain de théâtre à publié Don Juan après la censure du Tartuffe qui avait pour but de dénoncer les faux-dévots. Quelle image du libertinage est donnée par Molière dans cette pièce ? Nous verrons tout d’abord

prétendant l’appliquer au-delà du monde de l’expérience sensible où elle sert à relier entre eux les phénomènes. Il resterait à montrer que la “cause première”, le “premier moteur” ou l’être atteint par ces preuves le Dieu de la révélation et de la foi, ce qui ne va pas tant de soi si l’on se réfère à l’opposition que fait Pascal entre le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob” et le “dieu des philosophes et des savants”. La croyance en Dieu ne semble donc pouvoir prétendre recevoir l’appui direct du