Méchant

vertu (= thème du texte) par le biais d’une parabole pseudo historique il nous conte l’histoire du peuple troglodytes. Dans les extraits des lettres 11 et 12 que nous allons étudier il oppose de façon antithétique deux peuples => les bons et les méchants, pour montrer que la vertu est source de bonheur. Nous allons choisir un plan deux parties. I)Le choix de la forme : parabole. 1)Definition. C’est un récit allégorique => enseignement moral ou religieux. => Le récit est imagé il frappe les esprits

 de   l'ignorance.  «  Nul  n'est  méchant  volontairement  »  (Platon).                                                                                                                               «  Nul  n’est  méchant  volontairement  »  La  formule  a  toujours

avouée par le bon et par le méchant, c'est qu'il faut raisonner en tout, parce que l'homme n'est pas seulement un animal, mais un animal qui raisonne ; qu'il y a par conséquent dans la question dont il s'agit des moyens de découvrir la vérité ; que celui qui refuse de la chercher renonce à la qualité d'homme, et doit être traité par le reste de son espèce comme une bête farouche, et que la vérité une fois découverte, quiconque refuse de s'y conformer, est insensé ou méchant d'une méchanceté morale.

qu’ils sont méchants, et malfaisants ; Et les autres, pour être aux méchants, complaisants, Et n’avoir pas, pour eux, ces haines vigoureuses Que doit donner le vice aux âmes vertueuses ] Cf. le mot qu’Erasme met au crédit de Timon d’Athènes, dans le VIe livre des Apophtegmes : "On demandait à Timon d’Athènes, appelé le Misanthrope, pourquoi il poursuivait tous les hommes de sa haine : Les méchants, répondit-il, je les hais à bon droit ; les autres, je les hais de ne point haïr les méchants." . De

des menaces les uns pour les autres, puisque nous allons jusqu’à nous entre-tuer pour obtenir ce don nous désirons. Rousseau, lui, croit plutôt qu’il est ni bon, ni méchant: « Il parait d’abord que les hommes dans cet état n’aillant entre eux aucune sorte de relations morales ni de devoirs connues, ne pouvaient être ni bon, ni méchant ». Pour argumenter sur leur conception, Hobbes et Rousseau élaborent sur déférentes caractéristiques de la nature humaine. L’état de nature est une manière d’être avant

Superman ». Ils s’inquiètent de la doctrine Allemande du surhomme, übermensch en langue allemande (grand blond aryen) qui conduit l’Allemagne nazi à prendre des lois antisémites. -114300525780000Au début dans l’esprit des inventeurs, superman est méchant, c’est cet übermensch. Une sorte de savant fou. Les années 30 sont également l’inquiétude de l’arrivée de tout un peuple orientale, un personnage Fumenshu, mandarin machiavélique. 5029200170561000Ils vont essayer de vendre ces nouvelles mais n’y

meurt leurs parents sont obliges a revenir de la Chine, Fredie et Jean ont hate de leurs revoir et de connaitre leur petit frere qui est ne a Shangai. Dommage pour Fredie et Jean, leur mere n’ est pas comme ils voulaient. Elle est stricte et mechante et a cause de ca, elle se fait nommer folcoche, un melange de folle et cochonne. Ella plante des fourchettes dans les mains de ses enfants quand il ne s’ assoient pas droitement, elle enleve le chauffage de leurs chambres, elle confisque les cadeaux

enjeu social : DJ, grand seigneur méchant homme A-L’opposition sociale entre DJ et le pauvre. Avant d’être religieuse cette opposition entre les personnages est sociale. Le pauvre vouvoie Dj et l’apostrophe de manière respectueuse en l’appelant monsieur » Dj lui tutoie le pauvre et emploie une forme impérative pour s’adresser à lui ligne 137.162.164 L’apostrophe « mon ami » doit aussi être considéré comme une forme de familiarité. B-Un grand seigneur méchant homme Le libertin est particulièrement

fade adulateur, ni parleur trop sincère, Et tâchez quelquefois de répondre en Normand Les vautours et le pigeon : "La fable nous avertit que les querelles entre méchants doivent être stimulées plutôt qu’apaisées, car tandis qu’ils se déchirent, ils laissent les honnêtes gens vivre en paix Tenez toujours divisés les méchants: La sûreté du reste de la terre Dépend de là. Semez entre eux la guerre, Ou vous n'aurez avec eux nulle paix. Ceci soit dit en passant: je me tais La coche et

dire non à la vie ainsi qu’à lui-même. » A l’inverse Nietzsche a un mépris pour la pitié. Il affirme sa « non-valeur ». - (6) Nietzche questionne les valeurs des valeurs morales. « Jusqu’ici on a placé la valeur « du bon » plus haut que celle « du méchant » […] Et si le contraire était vrai ? […] Si dans le « bon » se nichaient aussi un symptôme de recul ainsi qu’un danger, un égarement, un poison, un narcotique grâce auquel le présent vivrait aux dépens de l’avenir ? […] De sorte que ce serait