Médaille militaire

L'engagement militaire "Oh Héraclès, c'est la fin de la valeur de l'homme" Archidamas, roi de Spartes la première fois qu'il vit une catapulte en Sicile.  Ces quelques pages d'histoire militaire tentent de montrer comment les soldats ont changé à cause de la nature de leur engagement guerrier, à cause de la mécanisation de la guerre. Les travailleur se divisaient il n'y a pas si longtemps entre ceux qui pensaient et ceux qui exécutaient. Pour les militaires, la clivage officiel était plutôt

réalisations des soldats sont dictées par des impératifs militaires de survie à fin de devenir un occupation bonne pour le moral et distrayante. Ces oeuves possèdent une iconographie reflétant le vécu, les désirs, les idéaux militaires ou leurs opinions durant cette guerre. Il y a essentiellement 2 types de motifs qui figure sur cette artisanat : un grand nombre d'objets s’inspirent de l'imagerie collective et officielle des affiches, médailles, monuments, journaux et expriment des représentations

on remarque une mâchoire inférieure mécanique, formée par un fragment de paquet de cigarettes où Dix a écrit : « Unterkiefer: Prothese Mark: Dix » (prothèse de mâchoire inférieure, marque Dix).On remarque également qu'il porte une croix de fer (médaille honorifique).L'extrémité de son nez est couverte par un bandeau noir, sans doute en cuir, attaché derrière la tête. Le personnage du centre Le tableau, caché par un ami, survécut au bombardement de Dresde en février 1945. Un collectionneur

 »DG distribue des médailles aussi bien aux généraux français qu’américains. | p.165 : A travers la percée de la 2ème DB et les risques pris par Leclerc se dessine l’éloge de ce général et le succès de ses initiatives pour prendre Strasbourg. p. 167 : DG insiste sur la détermination de l’armée allemande qui organise la résistance et perçoit la valeur symbolique du lieu. Abandonner Strasbourg = renoncer à la France. C’est Himmler qui prend le contrôle des opérations militaires. Annonce des difficultés

rejoindre comme sous-lieutenant le 24e bataillon de chasseurs à pied. Commence alors une carrière militaire sans relief particulier. En fait, sa vie se confond jusque vers 1900 avec celle de l'armée métropolitaine. De garnison en garnison, il devient un officier d'infanterie respecté et reconnu pour ses compétences (ce qui lui vaut notamment d'être nommé officier d'ordonnance du général gouverneur militaire de Paris), mais dépourvu de l'expérience du feu qu'aurait pu lui donner une carrière coloniale

avais déjà 12 ans.Si je calcule bien, ta formation doit avoir pris 3 ans. Pendant tous ces temps, as tu combattu ? B : Oui, j'ai combattu à Kisangani et à Mbandaka? Avant que nous n'atteignions Kinshasa. Véronique : As-tu tué dans ta carrière militaire, si oui, combien de personnes ? B : Bien sûr que oui, j'ai tué. Mais je ne peux dire combien; des tas sûrement (rire). Je ne rate jamais mes cibles en général... Mais il faut dire que j'ai tué uniquement sous ordre de l'Armée. Véronique :

centres de soins et de rééducation pour les soldats gravement blessés. Les civils y ont aussi eu accès par la suite. Ces instituts ont été mis en place dès le début de la guerre, par exemple le Grand Palais à Paris qui a été converti en hôpital militaire dès 1914. L’on y soignait justement les grands blessés telles que les « gueules cassées », ces soldats qui ont été défigurés à cause de l’explosion d’un obus par exemple. Il y en a eu énormément durant la Première Guerre mondiale car c’était une

Lavr Kornilov était un commandant militaire remarquable(en suspens) dans l'Armée russe Impériale aussi bien qu'un scientifique doué et un traducteur. En 1917 il a participé au coup d'État échoué a visé à rattraper le gouvernement Provisoire(Provisionnel) et sauver(économiser) la Russie des Bolcheviks.Fils de la steppeLavr Kornilov est né en 1870 dans la Région Ust-Kamenogorsk dans Turkestan (le jour moderne la République du Kazakhstan). Son père était un officier de Cosaque qui a servi d'un scribe

entremêlées, confuses et brisées pour rappeler le sujet : la guerre. Les « gueules cassées » exhibent leurs blessures et leurs médailles en une grotesque partie de cartes, la partie est perdue d’avance et le crane qui apparaît dans la lampe en est le signe évident. Le peintre travaille surtout à partir d’un mélange de bruns, bleus et verts foncés qui rappellent les couleurs militaires (camouflage). Il n’y a pas de couleurs vives ce qui rehausse la tristesse de ce tableau. L’ombre du fond et la lumière

la guerre est présente toute la vie. Ils sont les témoins de la guerre, ils en souffriront toute leur vie bien que la guerre soit finie et ce n’est pas une simple récompense qui leur fera oublier les années passées sur leur champ de bataille. La médaille sert plus à la famille car elle représente une commémoration pour les générations futures, elle permet de développer le sentiment national car, pour l’obtenir, le soldat a versé son sang pour sa patrie. Dans les années d’après-guerre, les "gueules