Meditation Seconde Descartes

théorie intellectualiste Cette théorie est le fruit de Descartes et fut suivit par Alain. Quand je perçoit, le jugement serait partout. Ainsi, dit Descartes, dans les Méditations Métaphysiques (2ème), si je vois d'une fenêtre, des chapeaux et des manteaux, le sensible en lui même ne me dit pas que je vois des hommes. Mais je juge que des hommes sont là. Ce serait donc une opération intellectuelle qui permet de percevoir. Descartes cherche par là à montrer comment un jugement plus ou moins conscient

ce que l'on rêve ne peut en aucun cas faire parti de la réalité, mais peut-on vraiment distinguer le rêve de la réalité? C'est pourquoi, Descartes dans son texte extrait des Méditations s'interroge sur le rêve (et son rapport avec la réalité). L'auteur se pose la question suivante : Comment savoir ce qui est de l'ordre du rêve ou de l'ordre de la réalité?Descartes pense que pour savoir ce qui est de l'ordre du rêve ou de la réalité, il suffit de mobiliser ses émotions et sa raison afin de définir la

distingue pour l’homme deux types de conscience : Premier type de conscience : La conscience immédiate ou spontanée, qui renvoie à la simple présence de l’homme à lui-même, au moment où il pense, sent agit, … Deuxième type de conscience : La conscience seconde ou réfléchie, qui correspond à la capacité qu’un individu a de faire retour sur ses pensées, sur ses sentiments, ses actions, afin de les analyser et de les juger. Il y a bien une différence entre la conscience que nous avons d’être ensemble en cours

La métaphysique de Descartes : a) Le cogito, Dieu, les idées innées ►  Le cogito Au sein du doute, Descartes rencontre une première certitude, le cogito (« je pense » en latin). Le cogito représente la conscience de soi du sujet pensant. En effet, aussi universel que soit le doute, puisqu’il porte sur la totalité des connaissances, il y a quelque chose qu’il ne saurait atteindre : c’est sa propre condition, car doutant, je pense et, pensant, je suis. Dans le Discours de la méthode, le cogito semble

connaissance de soi, autrement dit que la Cs de soi est immédiate (sans intermédiaire), mais en fait, cette Cs immédiate que nous avons de tous de nous même est superficielle : elle n’apprend pas qui je suis réellement ni le sens profond de soi. Au second abord, cette connaissance n’est que partielle parce que si je faisais des choses en pleine connaissance de causes, je n’éprouverais ni remords ni regrets. Finalement, la conscience de soi, moins qu’un avantage, est plus une obligation d’une tache

la couleur rouge. » (Critique de la Raison Pure, Analytique des concepts, chapitre II, 2e section). En résumé, pour que l’homme puisse, notamment par ses techniques, « se rendre comme maître et possesseur de la nature » (la formule est de Descartes), il faut supposer que la nature est soumise à un déterminisme (ou à une nécessité) absolu, qu’elle ne recèle aucun mystère, aucun phénomène inexplicable (ou « surnaturel »). De même, on peut envisager la physique cartésienne sous un angle

dès la naissance mais aussi que les sens nous servent de guides de façon permanente au cours de notre vie. Dans une deuxième partie nous verrons comment nos sens peuvent être trompés, d’abord avec la réponse du rationalisme, puis avec la thèse de Descartes illustrée avec le morceau de cire et du bâton brisé et ensuite avec l’exemple de Freud de l’acte manqué. Enfin dans une partie à part, nous verrons comment nos sens sont troublés, dénaturés par les drogues mais aussi le long apprentissage des sens

déploie un rapport de fin à moyen. 2) Or cette pensée qui nous rend aptes à forger les buts qui organisent l’action, est ce qui nous appartient en propre. Notre jugement est ce qui, par excellence, dépend de nous car nous sommes, comme le montre Descartes au XVII siècle, les sujets de notre pensée. Le fameux « je pense donc je suis » du Discours de la méthode signifie que l’expérience de la pensée est nécessairement expérience de ma pensée, de moi-même en tant que sujet de ma pensée et c’est pour

journal, à travers la description d’un rapport concret du narrateur au monde qui l’entoure, qu’il ne parvient pas à comprendre mais qui est là, qui existe, et qui lui donne la nausée. (Accroche). Fortement influencé par le discours de la méthode de Descartes, La Nausée, essaye de façon original de décréter le lien entre pensée et existence. L’extrait proposé, se situe au moment où Antoine Roquentin, arrête d’écrire sur le Marquis de Rollebon et se demande ce qu’il va faire de sa vie. Il est aussitôt

             Dans ses Méditations Métaphysiques, Descartes explique avoir été trompé assez de fois par ses sens pour poser un doute sur tout ce qui l’entoure et chercher une seule chose réelle. Il soulève donc le problème suivant : La réalité se réduit-elle à ce que je perçois ?             Le problème de la question réside dans la tendance que j’ai à faire confiance à ce que je perçois. Pourtant, ce que je perçois est médiatisé par mes sens, donc suis-je sûre que ce que je perçois correspond