Meditation Seconde Descartes

archipel, René Char (poésie) Les mains sales (théâtre), Le sursis, Sartre Philosophie : Livre X de La République, Platon Entretiens, Epictète, in Les stoïciens (recueil de textes avec introductions explicatives) La quatrième des Méditations métaphysiques, Descartes L’Appendice à la première partie de l’Ethique, Spinoza. Dans votre livre, p.414 Chapitre 16 du Traité théologico-politique, Spinoza La 8ème lettre des Lettres écrites sur la montagne, Rousseau L’existentialisme est un humanisme

de soi. De prime abord, l’homme est nécessairement conscient de lui-même. L’expérience de la pensée fonde la conscience de l’homme. Descartes dans ses Méditations métaphysiques utilise la méthode sceptique (aussi appelée le doute méthodique) pour arriver à un objectif : fonder la science sur des vérités solides. Pour arriver à une certitude, Descartes procède en doutant de tout ce qui est incertain jusqu’à obtenir une vérité. Il commence par dire que les sens peuvent décevoir l’homme et

volonté" car lorsque j’opte pour l'une des possibilités qui me sont offertes, ma décision vient- elles réellement de moi, ou bien suis-je poussé à la prendre. Descartes dans Les méditations métaphysiques décrit que nous sommes certains d’être libre parce que nous ne ressentons aucune contrainte lorsque nous prenons nos décisions. L’argument de Descartes ne paraît pas convaincant car le fait de ne ressentir aucune contrainte n’exclut pas que certaines causes extérieures à ma volonté agissent sur elles.

récuse une telle assimilation (E. Husserl, Recherches logiques, p. 92) : La première différence entre logique et psychologie est que la première concerne « la pensée telle qu’elle devrait être » (lois normatives de la pensée) tandis que la seconde concerne « la pensée telle qu’elle est » (lois naturelles de la pensée). Pour le psychologiste, les lois de la psychologies sont conçues comme des lois naturelles. Le psychologisme adopte une posture empiriste, ne se reposant que sur l’expérience

réactions devant des situations diverses, voire identiques, peuvent être différentes, mais en dépit de ces différences, il s’agit de mon expériences, de mon vécu. La multiplicité ne prend sens que sur fond d’unité de la conscience. Ainsi Descartes, dans la « Deuxième Méditation » reconnaît qu’il existe des facultés diverses et multiples : l’entendement, la volonté, l’imagination, la sensibilité. Mais ces facultés sont toutes déduites à partir de l’unité du cogito. La conscience s’apparaît donc à elle-même

infondé de liberté, dans un souci de lucidité et de vérité. D) Mobiliser des références utilisables : - Platon, dans le Gorgias, dénonce la confusion commune entre la liberté du sage et la réalisation impulsive de tous ses désirs. - Descartes, dans La Méditation quatrième, donne une définition du libre arbitre qui apparente l’homme à Dieu. - Spinoza, dans L’Ethique, montre que la conscience d’exister n’implique pas nécessairement la liberté humaine. E) Elaboration du plan : elle doit obéir à

infondé de liberté, dans un souci de lucidité et de vérité. D) Mobiliser des références utilisables : - Platon, dans le Gorgias, dénonce la confusion commune entre la liberté du sage et la réalisation impulsive de tous ses désirs. - Descartes, dans La Méditation quatrième, donne une définition du libre arbitre qui apparente l’homme à Dieu. - Spinoza, dans L’Ethique,  montre que la conscience d’exister n’implique pas nécessairement la liberté humaine. E) Elaboration du plan : elle doit obéir à

qui demandent qu’on leur démontre Dieu pour y croire, ne voient pas que la foi nous demande au contraire de croire pour savoir. La foi dépasserait donc la raison. La raison a donc des limites, c’est donc pourquoi Kant écrit dans la préface de la seconde édition de la Critique de la raison pure : « j’ai donc dû supprimer le savoir pour y substituer la croyance ». Ainsi, parce que la raison spéculative est impuissante, la croyance morale est possible et cette croyance permet d’admettre Dieu, la liberté

un reflet de lui-même. Ceci s'observe [...] jusqu'à cette sorte de reproduction de soi qu'est une oeuvre d'art. HEGEL Descartes pose une conscience de soi innée et automatique en tant qu’elle accompagne toutes nos pensées. Il arrive à la définir ainsi au terme d’un exercice de pensée qu’est le doute, si on s’en réfère au cheminent intellectuel de la première des Méditations Métaphysiques. Or justement ce mouvement réflexif du doute présuppose son résultat. Mais pour atteindre ce résultat, il a

de sa philosophie à l'étude de cette faculté représentative des animaux et, en particulier, de l'homme dans son œuvre principale et magistrale, Le monde comme volonté et comme représentation. La conscience est un "fait" au sens où Descartes, dans les Méditations Métaphysiques, laisse entendre que "l'âme est un rapport à soi". L'examen de la conscience suppose ainsi le doute méthodique comme la façon première d'entrer dans un rapport à soi non erroné. Dans un sens plus "individualiste", la conscience