Meetic Identification Du Problème De Direction

nouveaux adhérents accueillis par la Fevad au cours des douze derniers mois. Ces nouveaux venus sont le reflet de ce qu’est aujourd’hui le commerce électronique et ses acteurs  : des sites pure-players (Zalando.fr, SnowLeader.com, Lexception.com, Meetics, Mad Lords…) mais également des marques et enseignes magasins (Nocibé, Accorhotels.com, Jeff  de  Bruges… ) ainsi que des marques (Salomon, Dim, Wonderbra, Nuxe, Ars, Philips, Nespresso) et de nombreux partenaires des métiers du e-commerce qui

qu’il souhaite et de cacher celles qu’il estime privées. Les réseaux sociaux lui offrent donc de la visibilité et lui permettent de contrôler son « extimité ». Plus l’internaute arrive à se mettre en avant et se rendre visible sur la toile moins les problèmes de vie privée apparaissent car les informations visibles seront les informations choisies. De même selon les informations entrées sur la fiche d’identité, l’utilisateur va pouvoir se mettre en avant devant telles ou telles personne et dans un cadre

dans vidéo Youtube : « Do you Know » : « The top 10 in-demand jobs in 2010 did not exist in 2004. We are currently preparing students for jobs that don’t yet exist… using technologies that haven’t been invented in order to solve problems we don’t even know are problems yet ». Ce qui est donc important de comprendre n’est pas vraiment la technologie ni les usages que nous en faisons aujourd’hui, mais d’identifier les principes fondamentaux de fonctionnement du Web 2.0 qui sont en train de révolutionner

dépassant souvent les 10 ans) ne se prête pas à la fidélisation du client. C’est un handicap de plus à la pérennité du développement commercial. Le manque de moyens pour lutter avec les sociétés nationales en termes de communication, met en évidence un problème de taille de l’entreprise. Un défaut de notoriété nationale et d’image de stabilité offertes par les grands acteurs du marché, surtout en période de crise financière, implique de mettre en place une nouvelle approche commerciale qui a pour objectif

sont donc en constante augmentation. De plus, malgré la mise à jour permanente de l’information en ligne, les contenus restent et se sédimentent. Les connaissances obsolètes ne sont pas supprimées. Ce phénomène d’ « info-explosion », s’il pose le problème immédiat de la quantité, met surtout en jeu la capacité des acteurs à obtenir l’information pertinente qui correspond à leurs besoins spécifiques. Face à cette surabondance, l’essentiel n’est pas de trouver ni d’interroger, mais d’évaluer, de catégoriser

excès ne sont jamais bons, ce n'est pas la peine de devenir paranoïaque et d'effacer toutes traces de sa vie numérique. Si certains évènements fracassants sont repris de toutes parts, comme ce stagiaire renvoyé ou cette avocate en litige avec sa direction pour cause de photos érotiques* ( érotiques : trait à la sexualité, à l'amour), n'oublions pas que ces faits sont rares. Il est toutefois indispensable de prendre en compte la durée de vie des informations laissées en ligne et les risques encourus

nouvelles exigences (plus d’autonomie, plus de responsabilités à tous les niveaux de l’encadrement, une vision plus globale du marché et des produits de l’entreprise….), sans avoir forcément beaucoup d’informations sur les objectifs stratégiques de la direction générale (pilotage avec de moins en moins de visibilité). Or, la globalisation actuelle des marchés atteste que l’internationalisation est devenue incontournable pour les grandes entreprises. Les chiffres du Commissariat Général du Plan illustrent

disease mongering face aux enjeux de santé p 96 MORIN Marc Le marketing des ressources humaines : phénomène de mode ou nouvelle méthode de travail en GRH ? p 109 MOTARD Stéphane Le business case comme outil de positionnement de la DSI et des Directions Opérationnelles au sein des instances stratégiques de l’entreprise : l’exemple du projet CRM p 134 TOURNESAC Yann Les outils usuels d’évaluation de la rentabilité des salons et des foires p 172 6 Editorial Georges PARIENTE Docteur ès Sciences

tout genre. On s’y retrouve pour partager des évènements communs, pour retrouver des amis perdus de vue ou encore pour obtenir des conseils avant l’achat d’un produit en particulier. Par ce biais là, on cherche à se rendre service, à résoudre des problèmes grâce au vécu des autres ou encore à trouver la perle rare. Le monde associatif reste particulièrement développé aujourd’hui avec plus d’un million d’associations en activité en France où 70.000 se créent chaque année[4] (soit 50.000 de plus

........................................................................ 63 On s’y prend mal .................................................................................................................................................. 64 Le problème, c’est moi ! .................................................................................................................................... 66 Le cadre systémique : les quatre espaces de communication ......................................