Meilleur des mondes possibles

et son frère). Huxley se pose en observateur critique des usages, des normes sociales et des idéaux et se préoccupe des applications potentiellement nuisibles à l'humanité du progrès scientifique. Le Meilleur des Mondes est l’œuvre qui lui a permis de se faire connaître. Le Meilleur des Mondes d’Aldous Huxley est une œuvre d’anticipation parue en 1932. Ce livre décrit une société futuriste appelée l’État Mondial qui est une dictature « parfaite » dont la quasi-totalité de l’humanité fait partie

l'âge de Voltaire, l'appel sous-jacent de Voltaire était de faire comprendre à ses lecteurs que cela n'a pas été le meilleur de tous les mondes possibles. Si apparente, il serait facile pour quiconque de voir la fausseté de toute religion organisée, en particulier le christianisme. L'argument était que si il y avait un Dieu bienveillant, ce Dieu de créer le meilleur des mondes possibles. Voltaire utilisé guerre, la disparité, la maladie, l'injustice, les catastrophes naturelles, et plus à faire sa demande

l'efficacité et la force critique d'une argumentation qui passe par le détour de l'utopie. I. L'évocation d'un monde très éloigné du nôtre transporte le lecteur dans un ailleurs séduisant 1. Elle dépayse totalement le lecteur La littérature est peuplée de mondes très éloignés du nôtre. Cet éloignement conduit à un dépaysement, qui peut être géographique ou temporel. Dans Candide, conte philosophique de Voltaire, le pays d'Eldorado est situé en Amérique du Sud, une région qui, au xviiie siècle, est associée

mouvementé au pavillon du baron de thunder-ten-tronckh. Il a pour magister pangloss, philosophe qui enseigne la « métaphysico-théologo-cosmolo-nigologie », et qui professait, à l'instar de leibniz, que l'on vit dans le mieux des mondes possibles. Toutefois Blanc est balayer de ce meilleur des siècle imaginable à la apanage d'une « Punition de mécanique expérimentale » entreprise avec cunégonde, la effet du baron. Chaste découvre et le monde et détroit de déconvenues en déconvenues. enrôlé de force dans

formulation du conte « il était une fois ». Les codes du conte sont donc respectés ici par Voltaire. La caractérisation du château et des habitants est a l’image de l’optique philosophique de Leibniz pour qui « tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes », c'est-à-dire caractérisé par des superlatifs comme « les mœurs les plus douces », « l’esprit le plus simple ». Ce « monde » est donc désigné comme un monde exceptionnel. La présentation des personnages montre une hiérarchie : Candide

écho à la philosophie qui est invoquée pendant toute la durée du récit : "Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes.". "Il faut cultiver notre jardin" est à la fin du conte et semble donc répondre à la première maxime énoncée. Les deux phrases sont affirmatives et sont tournées de manière à ce que leur sens paraisse absolu. En effet, le verbe "falloir" répond aux superlatifs "meilleur" et à "tout", et ils connotent cette force dans les deux affirmations. Malgré ces similarités dans la forme

« meilleur des mondes possibles ».   ♦ La profusion des formes superlatives sont encore plus parlantes  :  « les mœurs les plus douces »,  « un des plus puissants seigneurs », « ce meilleur des mondes possibles », « le plus beau des châteaux »(L.39), « la meilleure des baronnes possibles ».   Ces descriptions superlatives font de cet univers un monde clos, hors du commun, coupé de la réalité. C’est ce que confirme la périphrase finale de Pangloss qui évoque le « meilleur des mondes possibles » comme

[…]Candide, épouvanté, interdit, éperdu, tout sanglant, tout palpitant, se disait à lui-même : " Si c'est ici le meilleur des mondes possibles, que sont donc les autres ? Passe encore si je n'étais que fessé, je l'ai été chez les Bulgares. Mais, ô mon cher Pangloss ! Le plus grand des philosophes, faut-il vous avoir vu pendre sans que je sache pourquoi ! Ô mon cher anabaptiste, le meilleur des hommes, faut-il que vous ayez été noyé dans le port ! Ô Mademoiselle Cunégonde ! La perle des filles, faut-il

concevoir l’Histoire en termes de Progrès (à partirdu XVIe siècle, mais surtout du XVIIIe et du XIXe siècles). Une fois quel’homme commence à croire en son pouvoir créateur (dégagé de la volontédivine), il va commencer à croire que l’homme peut être meilleur, et imaginerun âge d’or possible.L’utopie adopte à partir du XVIIIe siècle deux formes principales :• L’utopie régressive, où s’exprime la nostalgie d’un mondeparadisiaque où l’homme vivait en accord avec la nature (cf. Rousseauet son Discours sur

« Il avait le jugement assez droit m, avec l’esprit le plus simple; c’est, je crois, pour cette raison qu’on le nommait Candide. L’optimisme est une façon positive de voir la vie, une philosophie de voir les choses avec un angle positif, voir le meilleur de chaque chose. Ces deux mots couplés, peut laisser présager d’une œuvre basée l’évolution d’un personnage naïf et optimiste. C’est aussi dès le départ une façon de poser la question : Est ce naïf d’être optimiste ? 2. a/ Genre littéraire apparu