Méiose

hétérokontées (un flagelle lisse et l’autre pennée). Les points d’insertion des flagelles différent sur les deux types de zoospores. •La reproduction sexuée : sur le mycélium se forment des Anthéridies et des Oogones à l’intérieur desquels se fait la méiose. Dans l’oogone se forment les oosphères . L’anthéridie développe des tubes de fécondation qui permettent aux noyaux males de féconder les noyaux femelles des oosphères. La fécondation est une oogamie typique. Les oospores (résultants de la fécondation)

I-LES MALADIES CHROMOSOMIQUES Les maladies chromosomiques sont dues à la présence d'un chromosome supplémentaire sur une des paires (trisomie) ou à l'absence d'un chromosome sur une des paires (monosomie). Leur origine se situe au moment de la méiose pendant la gamétogenèse. Exemple : au cours de la première division, si les chromosomes homologues ne se placent pas tous de part et d'autre de la plaque équatoriale de la cellule, au lieu d'avoir deux gamètes contenant chacun un chromosome de chaque

comme compléments alimentaires.  Cycle de reproduction : Cycle monogénétique haplophasique La fusion de deux gamètes mâle et femelle conduit à la formation d’une zygospore diploïde qui va donner par méiose des spores haploïdes. La phase chromosomique diploïde est réduite au zygote. La méiose a lieu directement dans le zygote. Haematococcus Pluvialis : Haematococcus pluvialis se trouve généralement dans les régions tempérées du monde entier. Cette espèce est bien connue pour sa forte teneur

limitant au cas des organismes pluricellulaires. Bilans : divisions cellulaires, ADN, gène, allèles, brassage génétique. La méiose est la succession de deux divisions cellulaires précédée comme toute division d’un doublement de la quantité d’ADN (réplication). Dans son schéma général, elle produit quatre cellules haploïdes à partir d’une cellule diploïde. Au cours de la méiose, des échanges de fragments de chromatides (crossingover ou enjambement) se produisent entre chromosomes homologues d’une

jumeaux !) a) Cette diversité des gènes est due au brassage de l’information génétique au cours de la reproduction : - hasard de la répartition des chromosomes et donc des gènes au cours de la méiose - hasard du spermatozoïde fécondant l’ovule - de plus, lors de la première division de la méiose, des fragments de chromosome s’échangent entre chromosomes (crossing over) - La diversité génétique peut être accrue par les mutations de l’ADN, faisant apparaître de nouveaux allèles de gènes (bien

la traduction des messages génétiques sont identiques aux eucaryotes (sauf le ribosome procaryote, plus petit) Reproduction asexuée : par division cellulaire (scissiparité) en synthétisant l’ADN presque continuellement. Il n’y a donc pas de cycle méiose-fécondation mais une croissance exponentielle de la population (temps de génération = minimum 20’) - la transformation : mécanisme par lequel la cellule procaryote puise des gènes dans le milieu - la conjugaison : échange de gènes entre 2 cellules

reproductif aux individus d’une espèce et augmenter leur probabilité de se reproduire. Ceci vient renforcer l’effet de la sélection naturelle sur l’évolution des populations. Les mécanismes de recombinaisons (crossing over) qui surviennent lors de la méiose conduisent à des ré-associations d’allèles dans les gamètes qui peuvent favoriser ou non leur transmission à la descendance.Ainsi, l’évolution d’une population dépend avant tout du hasard des mutations et des modifications environnementales. Les individus

comprehesion. Exemple d`une autre source |méiose, nom féminin | | | |Sens  Mode de division des cellules vivantes | | | |http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/meiose/ | Le Texte Injonctif

Mendel, à la fin du xixe siècle, mettent en évidence une hérédité particulaire par opposition aux idées anciennes d'hérédité par mélange. L'établissement des mécanismes de la reproduction sexuée, la découverte des chromosomes, de la mitose et de la méiose permettent de mettre en place la théorie chromosomique de l'hérédité, corroborée par les travaux de Morgan. La biologie moléculaire se développe à partir des années 1940 avec des découvertes fondamentales comme l'établissement de la relation gène-protéine

a) le cycle ovarien : L’ovogénèse débute dans l’ovaire (gonade) et se termine en dehors de celui-ci, dans les voies génitales (trompes). Chaque mois un follicule ovarien achève sa maturation et expulse une cellule (ovocyte) qui ne terminera sa méiose (--> ovule) qu’au moment de la fécondation. Au cours du fonctionnement cyclique de l’ovaire on distingue 3 phases : - phase folliculaire : maturation et prolifération cellulaire - ovulation : expulsion de l’ovocyte (poursuite de l’évolution