Melange Registres Guerre Troie Pas Lieu

200 légendes expliquant l'origine du monde, des constellations et des plantes. Ex : Narcisse et Écho, Daphné et Apollon, Philémon et Baucis. L'Iliade et L'Odyssée d'Homère (800-740 av. J.-C.) genèse du genre de l’épopée. L'Iliade raconte la prise de Troie par les Grecs après 10 ans de siège. L'Odyssée relate le long périple d'Ulysse pour rentrer à Ithaque. L'Enéide (1er siècle av. J.-C.) de Virgile (70-19 av. J.-C.) s'inspire des légendes. Outils de réflexion poétique : Poésie du grec poiein qui signifie

jeune : la princesse se piquera la main à un fuseau, dormira 100 ans, sera réveillée par un prince. Se réalise ’15 ou 16 ans après’ > prince > s’épousent secrètmt et 2 enfants > mariage déclaré à la mort du père du prince > nv roi part à la guerre et confie ses enf et sa f à sa mère. Mais ‘race ogresse’. Au retour du roi : elle se jette dans la fosse à reptiles destinée pr ses victimes. ✎ Symbolique du conte 1ère partie poétq et symbolq. 2ème partie : vie amoureuse possible qu’en se

d’eau et de boue, et Ragotin par conséquent versa aussi. La fraîcheur du lieu où il tomba, dont le fond avait quelques pierres ou quelque chose d’aussi dur, et le rude branle de sa chute l’éveillèrent et l’état surprenant où il se trouva l’étonna furieusement. Il se voyait lié pieds et mains et tombé dans la boue […] Les paysans, ayant tenu ensemble un conseil secret, délièrent le pauvre petit homme des pieds seulement et, au lieu de lui en dire la raison ou de lui en faire quelque civilité, observant

représentations. Perspective complémentaires : historique ; évolution des genres littéraires ; le classicisme et le baroque. Axes de travail et de réflexion : - poétique de la rupture avec le classicisme, dans toutes ses composantes. - études des registres et du mélange des tonalités. - une mise en scène moderne. (DVD de Dom Juan – Daniel MESGUISH) Passages étudiés : 1 - Acte I scène 1 : exposition et poétique de la rupture baroque 2 - Acte III scène 2 : la tentation du pauvre – une scène de séduction 

« Le monocle du général, resté entre ses paupières comme un éclat d’obus dans sa figure vulgaire » (Proust, Du côté de chez Swann ). Le rapprochement, ici, est très motivé : éclat de verre/éclat d’obus/guerre/général/blessure.II – La métaphoreSeconde figure reine, la métaphore repose aussi sur le rapprochement de deux champs sémantiques mais sans faire appel à un outil de comparaison . Bien plus, le contexte peut être essentiel pour

progression permanente : l’exercice du jugement est une activité perpétuelle d’un chercheur curieux. Double fonctions pour ces images, illustrations strictement explicative et humour comme l’image de la ligne 4 ou le sujet est une rivière trop profonde, lieu dangereux avec risque de noyade. Montaigne dit explicitement « je prend le premier sujet que m’offre le hasard » aucune préméditation, aucun a priori « tous me sont également bon ». La citation doit être un exemple cohérent. Montaigne ne se

la liste des sports anciens cités ci-dessus, on remarque que chacun nous a laissé un héritage aujourd'hui : tout d'abord la chasse qui, bien que les techniques aient fortement évolué, se pratique encore de nos jours; les jeux olympiques ont toujours lieu tout les 4 ans comme le voulait la tradition grecque; la course de char, dangereuse à souhait, peut aujourd'hui s'identifier comme l'ancêtre des courses de voitures; la joute équestre, qui opposait deux cavaliers ayant chacun pour but de désarçonner

vers l’histoire que nous raconte ce roman, et nous demander en quoi elle échappe à son temps — pour mieux nous atteindre aujourd’hui : la dimension mythique et tragique de la fiction, parce qu’elle n’est pas ancrée dans la « situation » de l’après-guerre comme pouvait l’être, par exemple, la thématique des Chemins de la liberté de Sartre, a peut-être justement, pour cette raison, plus de chances de rejoindre nos préoccupations actuelles. Enfin, libérés des images que les contemporains de Giono

épique. Celui du Gargantua est moins explicite sur ce point, mais l’épithète inestimable respecte l’isotopie de la démesure propre à l’épopée. Autre renseignement générique : épouvantables, horrible, le nom et le titre de l’« auteur » relèvent du registre comique. Nous sommes donc dans l’imitation parodique des récits médiévaux, mêlant les codes épique et chevaleresque (cf. le titre de « roi »). En outre, Gargantua et Pantagruel sont initialement des personnages du folklore : le genre des récits populaires

Paix, et qui est une femme infiniment séduisante… Rappelons en trois mots l'argument de cette comédie. Excédé de subir les malheurs de la guerre, le paysan athénien Trygée[1] utilise les services d'un escarbot, d'un bousier, pour aller chercher au ciel la déesse Paix, dans le pays des dieux. Mais les dieux sont partis : excédés par le vacarme de cette guerre qui ravage la Grèce, ils ont cherché la tranquillité en gagnant les espaces du ciel les plus éloignés de la Terre. À son arrivée sur l'Olympe