Mêlée

berce-le, tranquille,…) le froid (froid, frisson,…), la maladie (pâle, enfant malade) et la joie (chante, souriant,...). Intéressons nous maintenant au cadre spatio-temporel. Ici l’action se déroule probablement au printemps car la sensation de froid est mêlée aux rayons de soleil (« il a froid » et « où le soleil,…, luit »). Concernant le lieu le poète nous décrit « un petit val », couvert de verdure (« dans l’herbe ») et où coule « une rivière ». Enfin, le seul personnage du poème est « un jeune soldat

pour le gouvernement. « Tu étais si petit, si petit.. », il y a une répétition de « si » qui accentue l’insignifiance de la condition ouvrière. Il s’agit d’une métaphore qui compare la classe sociale à la taille physique. >Ligne 78 « Dans la mêlée » est une métaphore qui décrit le quotidien de la société. Celle-ci est agitée. C’est une référence à la révolution industrielle. On est dans une période de grands bouleversements avec les proprets de la mécanisation «  Ta face de douleur et de misère »

dans le souvenir de ce drame, comme l’exprime « par sa propre main mon père massacré Du trône où je le vois fait le premier degré », hypotypose qui donne une image frappante du meurtre de son père. L’emplois du présent montre comment sa mémoire est mêlée à l’instant présente. Elle fait alors la vengeance de son père d’un devoir de mémoire, avec « Illustre vengeance ». Cette « sanglante image » remplit son cœur de haine, obsède sa « triste mémoire » et lui dicte ses actes. Elle ne vit plus que pour

violente tentative de la nuit, retira sa main avec le geste effrayé d'un enfant qui craint d'être mordu par une bête » la notion de peur est encore présente ici. On la retrouve encore lors de son asile, sauvé par Quasimodo, cependant cette peur devient mêlée à de la pitié petit à petit. Alors sa paupière retombée [...] Elle n'osait le regarder» , « elle se tourna vers Quasimodo qui se tenait debout devant elle et qui lui faisait peur », « elle vit à cette lucarne un objet qui l'effraya, la malheureuse

Proust publié en 1923 puis Belle du Seigneur d’Albert Cohen publié en 1968. Chacun de ces textes parle du couple en question ainsi que la relation amoureuse qu’ils ont. Une relation amoureuse dans un couple est censée être heureuse et harmonieuse mêlée à beaucoup de complicité entre deux personnes mais le lecteur va découvrir dans ces trois textes que ce n’est pas le cas. Ainsi, nous pouvons nous interroger sur quelle vision de la relation amoureuse ces trois textes propose-t-il ? * Dans le

personnage réel, Claude Frollo est l'archidiacre de Notre-Dame, mû par sa foi et son appétit de savoir. Frollo entretient son frère Jehan, et a recueilli et élevé Quasimodo. Il se trouve par la suite déchiré entre son amour pour Dieu et la passion mêlée de haine qu'il voue à Esmeralda. * Quasimodo : abandonné par ses parents dès la naissance à cause de sa difformité, il a été déposé devant Notre-Dame. Frollo l'a recueilli et élevé, et est le seul à savoir communiquer avec lui par signes ou avec

ils ne manifestent aucune solidarité entre eux et se comportent comme « des bêtes féroces ». Voltaire fait ainsi allusion aux incessantes guerres de son époque, plus particulièrement à la guerre de succession d’Autriche à laquelle la France s’est mêlée sans raison sérieuse, ce qui l’a amenée à « travailler pour le roi de Prusse » ou encore « pour des prunes », sacrifiant pour rien des milliers de vies dans des querelles obscures qui ne la regardaient pas. La vénalité et la corruption sévissent dans

grève. Le seul vrai mot, c'est : reviens. Je veux être avec toi, je t'aime. La première étude de l'homme qui veut être poète est sa propre connaissance. J'assiste à l'éclosion de ma pensée ; je la regarde, je l'écoute. L'éternité c'est la mer mêlée au soleil. L'ivresse, c'est le dérèglement de tous les sens. La vraie vie est absente. Nous ne sommes pas au monde. On n'est pas sérieux, quand on a dix-sept ans. L'amour veut vivre aux dépens de sa sœur, l'amitié vit aux dépens de son frère.

qui lui arrive. On ne peut s’empêcher d’aimer les particularités de Meursault comme semble le faire tous les personnages du roman. En effet, le lecteur impuissant, voit le personnage de Meursault courir à sa propre perte à cause de son indifférence mêlée à de l’insouciance. Cette image de la ‘pente savonneuse’, où les choses vont en empirant donne ainsi un grand impact à ce dénouement fatal. Nous pouvons pointer le fait que l’utilisation d’un personnage aussi atypique permet de maintenir la tension

c’est pourquoi il faut que les lois tendent à donner un esprit de modération) c) le principe du gouvernement monarchique c’est l’honneur (chacun pris en particulier, chaque catégorie sociale se préfère aux autres, réclame des privilèges, mais cette mêlée d’ambitions a des conséquences positives : chacun travaille au bien commun en croyant ne travailler que pour soi). d) le principe du gouvernement despotique c’est la crainte (le despote est tenu d’avoir toujours le bras levé pour frapper ou au moins