Mémoires

à leur passé L'historien et les mémoires de la 2GM Intro : La défaite de 1940 et l'occupation nazi ont profondément marqué l'esprit des Français . Profondément divisés après la Guerre, les Français ont construit des mémoires différentes de cette période , selon la façon dont ils l'avaient vécue et selon l'attitude qu'ils avaient adoptés face à l'occupant et face au gouvernement de Vichy Dans un soucis de réconciliation , voir d'oubli , certaines mémoires se sont imposées mettant de côté des

d'interprétations et d'utilisations qui échappent au champ de l'histoire quand il s'agit pour une société de construire une mémoire ou un patrimoine empreints de subjectivité, où les traces du passé deviennent des facteurs d'unité d'une communauté ou d'une nation qui s'y reconnaît, quitte à en faire des mythes éloignés du souci d'objectivité de l'historien. I – L'histoire et la mémoire A – Histoire et identités des peuples ×La fonction particulière de l'histoire traditionnelle : Pour certains historiens

et les mémoires de la Seconde Guerre Mondiale en France : La France Gaullienne, le mythe résistancialiste : Sortir de la honte : De Gaulle à la libération exprime que les collaborateurs n’on été qu’une minorité et que la nation dans son ensemble était unie dans la résistance et que Vichy n’était ni la France ni la République. On a appelé ça le mythe résistancialiste : le mythe d’une France unis et résistante. Ce mythe va durer juste à la fin années 70, dans cette création de mémoire beaucoup

« LA GRIVE DE MONTBOISSIER » INTRODUCTION Ce texte est un passage du troisième livre des Mémoires d’Outre-Tombe, autobiographie posthume de Chateaubriand, publiée immédiatement après sa mort, dès 1848. Chateaubriand a commencé à les rédiger dès 1809 puis il a interrompu son travail à plusieurs reprises. En 1817, après trois ans d’interruption, une circonstance particulière l’amène à le reprendre : il entend dans le parc de Montboissier le chant d’une grive

 Un peuple sans mémoire peut-il être libre? Introduction : On nous dit que la mémoire, donc la connaissance et le passé sont nécessaires à un peuple. Ce sujet nous pose la question de savoir si la mémoire est la condition de la liberté.   "Un peuple" c'est  ensemble d'êtres humains formant une communauté structurée, d'origine commune, et "sans mémoire", signifierait sans la faculté qui nous permet de représenter l'histoire, le passé, de distinguer le souvenir primaire ou immédiat et le

Elle s’appuie donc sur la mémoire collective ou individuelle. L’interprétation de la Seconde guerre mondiale connait des évolutions majeures durant la 2ème moitié du XXème siècle. Ainsi, la mémoire de la Résistance et du régime de Vichy se fait par l’intermédiaire de plusieurs hommes, tels que Charles De Gaulle et son rival le Maréchal Pétain. Nous verrons cela en trois temps, nous commencerons par la première phase 1945-1947, ensuite nous verrons l’éclatement de la mémoire 1947-1969 et enfin la fin

La mémoire à court terme Dans le modèle de Baddeley, on retrouve deux composantes pour décrire la mémoire soit la mémoire de travail, qui est comparable et similaire à la mémoire à court terme et la mémoire à long terme. Dans la mémoire de travail, on retrouve trois composantes, soit la boucle phonologique, la tablette visuo-spatiale et l’unité de gestion centrale. Ces modules agissent en interaction les uns avec les autres. La boucle phonologique sert au stockage temporaire de l’information

La mémoire à court terme, aussi appelée "mémoire de travail", nous permet de retenir quelque chose pendant quelques secondes (un numéro de téléphone par exemple . Sa capacité de stockage est limitée à environ 7 items et elle dure quelques dizaines de secondes seulement. Les informations que nous n'allons pas garder plus d'une minute se concentrent dans le lobe frontal et ne vont pas dépasser cette première étape. Le circuit neuronal ne va pas se graver car aucune attention n'est porté au message

LE DEVOIR DE MEMOIRE La notion ou l'expression de devoir de mémoire, telle qu'apparue en France au début des années 1990 1, désigne un devoir moral attribué à des États d'entretenir le souvenir des souffrances subies dans le passé par certaines catégories de la population, surtout lorsqu'ils en portent la responsabilité. Par rapport à la tradition du droit public et de la guerre, il s'oppose à l'amnistie qui impose l'oubli dans un souci d'apaisement. Par rapport à la tradition des célébrations

L'historien et les mémoires de la seconde guerre mondiale en France Thème introductif : Le rapport des sociétés à leur passé : Les mémoires – lecture historique. Rappel : 1 septembre 1939 au 8 mai 1945 mai 40 Paris libéré 25 août 1944 Guerre total !! Touche physiquement, moralement, psychiquement les civils. Nation mobilisée ( soldats, civils, culture, politique, économie… ) La valeur (identité des peuple à disposer d'eux