Ménades

Les arbres des vallées l'entendirent et se mirent en mouvement au son de sa voix. La nudité de la montagne s'était recouverte du vert des fourrés, et des oiseaux sauvages, suivis d'autres animaux, y élisaient domicile. Vint le jour ou un groupe de Ménades, prêtresses de Dionysos (dieu du vin et de la vigne), se promenaient à travers la campagne. Elles entendirent une magnifique mélodie, suivirent le son de celle-ci et surgirent dans le bosquet où Orphée exhalait sa plainte. Ses jeunes femmes se mirent

mystères de Bacchus, mont sacré, qui déjà retentissait des cris des Bacchantes. Comme un cheval fougueux, quand dans le bronze de la trompette guerrière le signal a été donné, frémit et respire le feu des combats, Penthée est excité par les cris des Ménades remplissant les airs, et leurs longs hurlements rallument sa colère. Vers le milieu de la montagne il y a une vaste clairière entourée de forêts mais on ne découvre aucun arbre qui soit un obstacle à la vue. C'est de là que Penthée, d'un œil

l'une d'entre elles, il aurait été foudroyé par Zeus pour le punir d'avoir révélé des mystères aux hommes qu'il initiait4. Pour Strabon, il aurait trouvé la mort dans un soulèvement populaire5. La version la plus courante est que les Bacchantes ou Ménades éprouvèrent un vif dépit de le voir rester fidèle à Eurydice et le déchiquetèrent. Sa tête, jetée dans le fleuve Hébros, vint se déposer sur les rivages de l'île de Lesbos, terre de la Poésie. Les Muses, éplorées, recueillirent les membres pour les

flammes et élevé par la pluie, devient ainsi le dieu du vin, ce mélange d'eau et de feu. Quand ce fou de vie arrive, on entend de loin ses flûtes et les chants, ou plutôt les cris perçants de ses Ménades, les folles femmes rendues ivres par le vin et par leur passion pour ce dieu. Hagardes, les Ménades se précipitent à travers les bois, prennent d'assaut les collines, les dévalent en agitant leurs " thyrses ". Rien ne peut les arrêter. Elles mettent en pièces les animaux sauvages qu'elles rencontrent

grenade, sachant bien en son for intérieur qu'elle serait alors forcée de lui revenir. Il fit préparer son chariot d'or et Hermès, prenant les rênes, mena les chevaux noirs droit au temple où se trouvait Déméter. Celle-ci, avec la rapidité d'une Ménade descendant le flanc d'une montagne, courut au-devant de sa fille et Perséphone se jeta dans les bras tendus, qui se refermèrent sur elle. Tout le jour, elles se racontèrent leurs aventures et Déméter pleura quand elle entendit parler du pépin de grenade

Il est associé à la végétation, et particulièrement à la vigne, qui produit le vin et est responsable de l’ivresse et de la transe mystique. C’est un dieu essentiellement errant, traditionnellement accompagné d’un bruyant cortège de satyres et de ménades. III- Les autres divinités 1) Familles des divinités terrestres Hestia (ligne 22) : Divinité grecque du foyer, vierge à qui l’on présentait l’épouse et les nouveaux nés, fille de Cronos et de Rhéa. Divinité du feu sacré. Elle protège les

d’orphisme nouveau (religion antique), mouvement qui annonce des prophéties. C’est aussi la puissance du poète, il représente celui qui charme, il séduit par son chant. Moment de perte et d’impuissance (comme sa propre mort quand il est déchiré par les Ménades). Dépassement d’un Orphée élégiaque. Il y a plusieurs travaux faits sur la figure d’Orphée par Apollinaire. Il retient surtout 3 épisode du mythe d’Orphée. Contexte historique : la poésie lyrique se rapproche du chant, il y a un poète avec un

internationaux victimes de ce supposé dopage ne ménagent pas leur peine. Djamel Menad, Kaci Said et Mohamed Chaïb, anciennes gloires de l’équipe algérienne de football durant les années 198O, racontent à qui veut bien les entendre leurs calvaires de pères de famille. Menad, Kaci Said, Chaïb ainsi que sept autres internationaux sont parents de filles et de garçons nés avec de lourdes déficiences mentales et physiques. Menad est père d’une fille, Ryma, née avec une déficience physique. Kaci Said est

d’Apollon, qui est le dieu de la poésie. Etymologie de tragédie : tragan et odé qui signifie le chant du bouc. Cela se rapporte aux satyres qui suivaient Dionysos. Ce ne sont ni des hommes, ni des boucs. Dionysos est accompagné également par des Ménades (grec) ou des Bacchantes (latin) qui sont des femmes frivoles qui ont tué Orphée. Histoire de Dionysos et Ariane Ariane est la fille de Minos et c’est elle qui a aidé Thésée à sortir du labyrinthe. Deux versions existent après. Soit Thésée abandonne

mythique illustrationa peut-êire,in .uppo.t i _celle immédiat.avec gravurede I'Italie du Nord, et rénvoieprobablement la à un -originalantique.unique qui pourrait bien, dans sâ versionprus oomplète, avoir servi de. modèle aux différents artistes- cf. la ménade vue de face. c'est une voix authentiquementantique, familière à la Renaissance,.qui retentit ici; car ta Mort a'ôrine, pas seulementun motif d'atelier, doni I'intérêt ne serait que 1'est formel ; c'est aussi une expérienceauthentique, revécui-passiônnémentet