Ménades

baccantes: elles sont emportées par leur fureur. Elles accomplissent un crime qui se retourne contre elles. Ces références culturelles plaisent aux romains. Dans la poésie romaine, pour parler d'un personnage furieux on se réfère a une Baccante ou a une Ménade.   b. Les fantasmes.   Cf haut page 12: fantasmes qui assaillent Médée. Elément fondamental pour expliquer la fureur de Médée: les souvenirs de ses crimes passes. Le rôle joue par le mémoire est quelque chose d'assez important. Ces fantasmes ajoutent

chez les romantiques. B. Gustave Moreau Orphée, 1865. Femme porte une tête décapitée. Lecture de l’oeuvre plus facile à identifier : - Tête décapitée // mythe d’Orphée, musicien tellement doué qu’il séduit les Ménades (= bêtes sauvages). Orphée refuse leur avance et les Ménades le déchiquettent et le mettent à l’eau. Sa tête émargera de l’eau, recueillie par une femme. - // carte à jouer → une figure central et deux répétitions de la figure dans 2 coins opposés. Ici : dessus gauche : groupe

entracte4 longueur 60 vers 79 vers 90vers 29 vers Contenu Chant a propos des noces de Jason Chant a propos de l'entreprise des Argonautes et de son exemple   Chant a propos du châtiment des argonautes Portrait chante de Médée en sanglante Ménade   Retour au plan.. Introduction Seneque, avec Médée, conclut la tradition antique du mythe des argonautes et de Médée.   
Le mythe de Médée date d'environ 2000 ans avant JC. Jusqu'au premier siècle avant JC, il a été constamment enrichi, varié

retrouve en effet les trois mouvements qui jalonnent les récits consacrés à Orphée : la gloire - marquée par les succès du voyage à Argos et la descente aux Enfers -, la chute - constituée par la perte d'Eurydice et la mort d'Orphée démembré par les Ménades - et l’apothéose - consécration de la Voix et du Poète dans les cieux et sur terre. La renommée du cinéaste A. est telle que les spectateurs de sa ville natale n'hésitent pas, pour assister à la présentation interdite d'un de ses films, à affronter

Dionysos envahit la Thrace Orphée négligea de l'honorer mais enseigna d'autres mystères sacrés connus sous le nom d'orphisme et flétrit les sacrifices humains auprès des hommes de Thrace qui l'écoutaient respectueusement. Vexé, Dionysos le livra aux Ménades, en Macédoine. Elles attendirent que leurs maris aient pénétré dans le temple d'Apollon dont Orphée était le desservant, se saisirent des armes déposées à l'extérieur, firent irruption dans le temple, tuèrent leurs maris et mirent en pièces Orphée

l'amour du corps à celui de la personne) est corrigée par le bon sens et le pragmatisme romain : mention de l'épaule nue, de la chair, de « l'expérience sensuelle », allusion directe à la prostitution et aux lieux de mauvaise vie. La danse des Ménades ou des Corybantes nous renvoient à la mythologie et sans doute à la dimension dionysiaque de l'ivresse amoureuse. Eros est sous-jacent avec la mention du dieu auquel l'amant obéit. La présence des moralistes, comme Diogène, dont la crudité était

dans les « dithyrambes » Ce poème est celui de la transe et de l’élévation ; il inspire la gravité et le sérieux. Ce sont d’abord les acolytes du dieu qui créent l’effroi : Les ménades7 : Se coiffant de serpents : (v 6-8) « Je voy les folles Ménades Dans les antres trépigner, Et de serpents se peigner. » Cortège de châtrés dominés par Cybèle8 (105-109) « Le Buys Phrygiens, que l’Atourée D’une aleine mal mesurée Enfle autour de ses chatre Je les voy penetrez D’une rage insensée » Puis

de lyre - peut-être Marsyas ? -, Persée brandissant la tête de Méduse, Dionysos, le thyrse dans la main gauche, qui détourne son regard du visage de la Gorgone, Héra et enfin Héraclès, muni de sa massue et de la léontè. Sur la face secondaire, une ménade est accompagnée par deux satyres. Poséidon est ici en quelque sorte « comparé » à la déesse Athéna. [pic] Olpé attique à figures noires [pic]Le troisième quart du VIe siècle av. J.-C. marque l'âge d'or de la technique

dans les « dithyrambes » Ce poème est celui de la transe et de l’élévation ; il inspire la gravité et le sérieux. Ce sont d’abord les acolytes du dieu qui créent l’effroi : Les ménades7 : Se coiffant de serpents : (v 6-8) « Je voy les folles Ménades Dans les antres trépigner, Et de serpents se peigner. » Cortège de châtrés dominés par Cybèle8 (105-109) « Le Buys Phrygiens, que l’Atourée D’une aleine mal mesurée Enfle autour de ses chatre Je les voy penetrez D’une rage insensée » Puis

l’histoire de la divination de Sémélé et sa transposition dans la vie de la domina : le mariage de la domina et l’union de Zeus et Sémélé ; le premier rite initiatique et la grossesse de Sémélé, première femme à être « possédée » par le dieu, avec la ménade et l’officiante ; le second rite initiatique correspond au foudroiement de Sémélé «  némésis : démone ailée) et à la naissance de Dionysos : nous retrouvons les femmes munies du bonnet caractéristique des sages-femmes et des nourrices : l'une tranquillise