Mendiant

Ceci s’illustre par de nombreux exemples synonymes de la dégradation de l’âme ainsi que tous les maux d’une société moderne, de la prostitution, à la faim, en passant par une pauvreté omniprésente (« La Prostitution met du fard sur sa joue », « Le mendiant songeur qui regagne son trou » ). Les personnages observés ne semblent pas heureux : « Le moine va et vient, brûlé d'ardeurs secrètes », « La vieille fille, seule en sa mansarde étroite », « Un aveugle courbé sous le poids de son orgue », on sent

des corsets et des prothèses. 2)CouleursLes couleurs présentent des couleurs vives pour les premiers plans (bleu du veston du personnage au premier plan, robe rose de la dame traversant la rue) et ocres pour les personnages en arrière-plan (le mendiant, l’enfant...) Pragerstrasse est une œuvre réalisé en 1920 par Otto Dix il est né en 1891 et est décédé en 1969. Cette œuvre est conservé a Stuttgart dans la Galerie der Stadt. C'est une huile sur toile de 101cm x 81 cm, elle faqit partie

en plus des activités professionnelles stables et régulières. Généralement, les gens pensent que les Tsiganes ne vivent que de mendicité et de vol. Il y a une part de vérité dans ceci, car les Gadjés leur ayant fait une réputation de voleur et de mendiant, aucun employeur ne voulait de leurs services. Le vol et la mendicité sont donc devenus nécessaire à leur survie. INTEGRATION A leur arrivée en Europe, les Tsiganes étaient bien accueillis et les gens leur offraient l’hospitalité. Mais peu

II. Enfermement Nous sommes à l’époque classique et la solution de l’enfermement triomphe dans toute l’Europe. On assiste à une prolifération d’hôpitaux généraux en France avec le souci de séparer de la société les pauvres. Sous le nom de mendiant ou pauvres ont fait référence aux personnes âgées et en particulier les vieilles femmes qui sont recueillis ou enfermés. Les hôpitaux sont donc les premiers hospices de vieillards. A partir de la révolution, le sort de la vieillesse commence à

pauvreté au paupérisme   L'auteur s'inspire ici très explicitement des travaux de Robert Castel (1), et de sa fameuse affirmation selon laquelle la première question sociale s'ouvre au milieu du XIVe siècle, en 1349 exactement, au moment où le mendiant et plus encore le vagabond deviennent les archétypes des menaces à l'ordre social. Keslassy retrace l'histoire de l'avènement du paradigme de la misère (XIVe-XVIIIe siècles), terme plutôt social, puis du paradigme du paupérisme qui lui succède, (XIXe

Le mot intègre les significations de sans-logis (absence de logement), de sans-abri (victime d’une catastrophe), de clochard (figure pittoresque n’appelant pas d’intervention publique structurée), de vagabond (qui fait plutôt peur), ou encore de mendiant (qui sollicite dans l’espace public). Des hommes isolés (les clochards), des familles (les sans-logis de 1954) et des phénomènes assez différents (absence de logement, mendicité, etc.) sont ainsi assemblés dans une même appellation. Depuis une vingtaine

assiste à une boucherie héroïque. Candide arrive en Hollande où il espère être mieux traité car c'est un pays chrétien. Mais il découvre l'intolérance. Il rencontre l'anabaptiste Jacquesqui lui donne à manger et qui soigne, à ses dépens, le mendiant Pangloss que Candide a retrouvé. Tous les trois embarquent pour le Portugal. Jacques périt dans un naufrage, Candide et Pangloss sont arrivés quand il y a un tremblement de terre à Lisbonne. Ils assistent à un autodafé organisé par l'Inquisition

passé d'une attitude de compassion à une attitude de méfiance pour une durée de 200 à 300 ans. 2) 14 ou 15ème s: intervention du pouvoir royal Par la suite les nobles sont intéressés par ces pauvres pour ce faire bien voir. Débute le métier de mendiant mais qui seras contrôlé par des lois. C'est à partir du 14ème siècle que les infirmes ont des droits avec une prise en charge par des institutions tels que des monastères et hôpitaux. Ces hôpitaux assurent le logis et le couvert mais très peu de

Afrique. Au lieu d'aller à l'école, les enfants restent toute la journée avec leurs parents pour travailler aux champs et chez eux. Certains, dont les parents sont privés d'emploi se retrouvent abandonnés dans la rue. Là, ils essayent de survivre en mendiant et, parfois, ils sont récupérés par des commerçants ou des entrepreneurs. D’autres enfants sont utilisés par leurs parents comme monnaie d'échange pour obtenir un travail. C'est ainsi que des petites filles qui n'ont parfois que 5 ans sont placées

les fondements de sa théorie sur le principe de générosité3, il avance un système basé en grande partie sur la générosité de tous, sur le bénévolat et la bienveillance commune. Or, aujourd'hui combien de personnes passent leur chemin devant un mendiant dans le besoin ne demandant que peu pour survivre ? Une très grande majorité malheureusement, chacun se trouvant une « raison » au fond de lui, afin de justifier son ignorance. « Pour qu'il aille s'acheter de l'alcool... Non merci », « Il ferait