Menton

démembre, déchire, et en use de manière qu'il faut que les conviés, s'il veulent manger, mangent ses restes. Il ne leur épargne aucune de ces malpropretés dégoûtantes, capables d'ôter l'appétit aux plus affamés ; le jus et les sauces lui dégouttent du menton et de la barbe ; s'il enlève un ragoût de dessus un plat, il le répand en chemin dans un autre plat et sur la nappe ; on le suit à trace. Il mange haut(3) et avec grand bruit ; il roule les yeux en mangeant ; la table est pour lui un râtelier(4) ;

Surnommée Folcoche, abrégé defolle et de cochonne. Elle est très stricte envers ses enfants, qui eux, la déteste. En plus de sa cruauté, elle est décrite comme plutôt sale et avare. Elle aime les clefs et les timbres, elle a lescheveux secs et le menton en galoche comme son fils, Jean. Jacques Rezeau : C'est le père, chef de la famille, il est complètement perdu dans son époque. Il aime beaucoup ses enfants mais n'a pas lecourage de s'opposer a Folcoche. Ferdinand Rezeau : ou Chiffe ou Frédie

Staline que l’on reconnaît à droite vêtu de son habituel uniforme de l’Armée Rouge. Staline regarde dans la même direction que Lénine, symboliquement vers l’avenir. On regarde Staline en contre-plongée, car l’on voit le bas de sa casquette et de son menton. Il a l’air de reposer sur le peuple, il le domine, il est imposant. Derrière Staline, on reconnait des usines, des grues qui symbolisent l’industrie soviétiques développés par Staline. IV-troisièmes partie : (Robin) V-Explication de l’œuvre :

personnage principal du livre. C'est un jeune garçon insipide et naïf. Il lui manque de la personnalité. Son esprit est vide comme sa vie au début du roman., incapable d'agir seul, timide, snob, tête en l'air. Son seul signe distinctif est sa fossette au menton: cause de son sourire permanent. On remarque de nombreuses analogies avec B.VIAN; il aime le jazz, n'aime pas travailler..... On assiste a une métamorphose de l'homme vide, à celui qui rencontre l'amour puis à sa destiné tragique. .

société et ceci dans les trois textes. Nous pouvons voir cela dans la phrase " J' ai été poupée-femme chez toi, comme j' ai été popée-enfant chez papa " ( l 31 ) du texte de Henrik Ibsen, ainsi que dans la phrase " Prétendez-vus m' oter la barbe du menton ? Cela vous sied bien, femmelette ! " pronncé par un homme dans le texte de George Sand ( l 9-10 ); qui font ressortir le coté "objet " qui est associé à la femme à coté de l' homme représenté comme tout puissant. Des ces documents en ressort aussi

Collier de barbe/ Duvet/ Pattes/ Rouflaquettes/ Pattes de lapin/ Menton Carré/ Energique/ Volontaire/ Fuyant/ Visage Adipeux/ Agréable/ Allongé/ Amoché/ Anguleux/ Asymétrique/ Bouffi/ Bouledogue/ Chevalin/ Chiffonné/ Creusé/ Crispé/ Décharné/ Décomposé/ Défait/ Délicat/ Détendu/ Emacié/ Empâté/ En lame de couteau/ Eveillé/ Fané/ Fatigué/ Frais/ Front bas/ Front haut/ Jeune/ Joufflu/ Large/ Longiligne/ Mafflu/ Maigre/ Menton carré/ Mignon/ Osseux/ Ovale/ Parcheminé/ Plissé/ Pommettes saillantes/

agrémentaient cet espace. Le masque était effrayant ! Les yeux rouges du visage de la créature indescriptible représentée semblaient suivre l’unique cliente des yeux ! La bouche déformée semblait féroce et les trois plumes noires sous le menton (si c’était là le menton !) faisaient penser à une barbe ! Soudain, une voix froide, sans timbre, retentit du fond de la boutique. La vieille dame en frissonna. « Je me présente, Mastéma. Puis-je vous aider ? » Le vendeur, à qui la voix appartenait, était

le rhomboïde et les pectoraux . Critères de réalisation: Le mouvement consiste en une contraction des muscles du dos et des bras visant à ramener le menton au niveau de la barre. Au départ, l'exécutant est suspendu à la barre, mains en pronation ou en supination. L'exécutant exerce une contraction, sans à coups, de manière à ce que le menton soit ramené au niveau de la barre. Nombre de série: 4 Volume: 7 répétitions Réalisation: Il faut effectuer cet exercice avec un rythme assez rapide

l’eau du chaudron, empester le poil mouillé du gros chien couché sur le flanc, le regard vague. Les Ribaud sont tous là. La grand-mère, cassée par l’âge, marquée par les durs travaux et qui perd chaque jour un peu de sa force de femme, sommeil, le menton sur les peaux de son cou. La jeune Ribaud donne sa mesure de peine, pétrit la pâte à grandes brassées et court relever le bébé brun qui, sentant la sève pousser dans es petites jambes, s’épuise à des sensations nouvelles. Assis à terre, sur des sacs

C. Monet … … … … … … … … … … LIZY SUR OURCQ St. Albert … … … … … … … … … LIZY SUR OURCQ Place Harouard … … … … … … … … LIZY SUR OURCQ Résidence le Menton … 06:29 … … 06:57 07:22 … LIZY SUR OURCQ Collège St Saëns … 06:30 … … 06:58 07:23 … LIZY SUR OURCQ Maternelle … 06:31 … … 06:59 07:24 LIZY SUR OURCQ Guillaume Appollinaire …