Mercantilisme Et Libéralisme

concurrence Un prix fixé par l’offre et la demande Division (travail) Spécialisation (on parle ici de la production/ domaine d’activité ex : le textile, les voitures) Microéconomique (au sens d’un pays) C’est un lieu de réalisation des échanges Le mercantilisme (trouver des auteurs) (16ème et 17ème siècle) Il est caractérisé par un Etat puissant, une politique industrielle, qui va défendre le marché extérieur. Institution d’une politique monétaire en modifiant le taux d’intérêt afin d’encourager les

sélectifs. Pour les matières premières : monopole colonial. On ne gêne pas le commerce de l'artisanat ou des matières premières. Le commerce maritime britannique n'acceptait que des bateaux britanniques b) L’unification des marchés nationaux Le mercantilisme veut protéger mais la vision trop réductrice de cette pensée veut avant tout l'enrichissement de l'Etat : développement de l'économie de l'industrie en se protégeant des autres mais à l'intérieur, on a un développement intense du commerce pour

philosophie politique. Introduction. On peut distinguer trois principaux courants machiaveliens : Le mouvement machiavelien anglo-saxon, dont font partie Pocock, Skinner et Pettit. Se considérant comme républicanistes, ils contestent l'hégémonie du libéralisme en tant que doctrine philosophique (Hobbes, Locke, Mill, Aron, etc.) qu'ils considèrent incapable de garantir la liberté individuel qui constitue pourtant son objectif premier et fragilise la société en favorisant l'individualisme. Ils expliquent

discipline, soucieux de l’intérêt général ou de l’équilibre « naturel » de la société, ils se sont trouvés en congruence avec les intérêts des groupes sociaux dominants, ou perçus comme tels, à chaque étape de l’histoire du capitalisme naissant. Le Mercantilisme (17ème siècle), qui s’intéresse aux bienfaits du commerce extérieur et de l’accumulation des métaux précieux, s’inscrit dans le cadre des monarchies conquérantes et de la construction des États ; il est une théorisation de la richesse conforme

D’AVOIR ENVIE Fiche 8 : Libre-échange et protectionnisme Plan de la fiche 1. Notions de base 2. Problèmes économiques et sociaux 3.Théories et auteurs 4. Repères historiques La croissance économique dans le monde est-elle mieux assurée par le libéralisme des échanges ou par le protectionnisme ? Notions de base Le libre-échange est une théorie développée par Adam Smith et David Ricardo selon laquelle les échanges commerciaux doivent se développer sans obstacle entre les pays afin de favoriser

EVOLUTION DES OBJETS DE LA QUESTION DU SOCIALE I VERS LA PROPRIETE SALARIALE II VERS LA SOCIETE SALARIALE L EFFRITEMENT DE LA SOCIETE SALARIALE I PROPRIETE SALARIALE La place nouvelle du travail et du salariat mercantilisme : avec le travail on peux s enrichir d'ou l importance de la decouverte de l amerique . Le vagabond sera une figure inquietante , un travailleur devait avoir son carnet de travail , pour ne pas être consideré comme un vagabond Proprité salariale privé lorque

l'économie des 13 colonies est prospère, ils décident de les taxer davantage afin de renflouer leurs coffres. Entre 1763 et 1773, la Grande-Bretagne imposera entre autres un mercantilisme plus ferme, le Stamp Act, le Sugar Act et le Tea Act. Les colons sont frustrés par cette situation ainsi que par la montée du libéralisme, donc il se forme les premiers mouvements révolutionnaires (No taxation without representation !). En 1773, il y a eu le Boston Tea Party, événement lors duquel des colons révolutionnaires

(1735-1817) résulte de la fusion de deux mots grecs: physis (nature) et kratos (puissance). La physiocratie est nettement définie dans le temps et dans l'espace: dans le temps entre 1750 et 1770, dans l'espace, seulement en France. A la différence du mercantilisme, la physiocratie est une école de pensée fortement structurée avec ses dogmes, ses textes sacrés, son prophète et ses ministres du culte. Les principaux membres sont Dupont de Nemours qui prépare avec Turgot l'édit sur la liberté du commerce des

frontières n’a pas résisté en ait. Apparition de Grèce et Belgique, monarchies libérales. Apparition de monarchies libérales aussi en Espagne, au Portugal, dans l’espace rhénan, au Danemark, Piémont Sardaigne. République en France, Suisse. Progrès du libéralisme, qui doit beaucoup aux vagues révolutionnaires de 1830-31. Comment expliquer que lors des révolutions de 1830 l’ordre viennois n’ait pas pu être maintenu partout ? Pourquoi les événements de 1830, malgré l’échec de certaines révolutions, sont-ils

d'analyser le compor tement économique » & — considéraient William Petty soit comme un simple mercantiliste 9, soit au mieux comme un auteur de tran sition ; son commentateur Maurice Pasquier n'écrit-il pas qu' « il est le chaînon qui relie le mercantilisme au libéralisme, le précurseur d'Adam Smith » 10, tandis que pour W.L. Bevan, encore plus brutal, Petty serait Ricardo habillé à la mode du xvne siècle H ? Pareille interprétation s'explique sans doute par l'attention alors portée à ce qui paraissait être