Mercantilisme Industriel Francais

synthétique les théories traditionnelles du commerce international) Articles de référence: • • Rainelli M. (2000), Les "théories du commerce mondial". Cahiers français, n°299. La Documentation française, Paris. (une approche synthétique de qualité!) Sandretto R. (2003), "Les analyses du commerce international" . Cahiers français, n°315. La Documentation française, Paris. Quelques définitions de base • • • • Les théories du commerce international (C.I.) sont des théories explicatives

étendre leur territoire sur les seigneurs. Volonté d’organiser une politique industrielle tournée vers la production de biens destinés à l’exportation : la base de leur projet est que le souverain développe son influence sur le plus de territoires possibles dans le but de favoriser des exportations. En revanche il voudra limiter et empêcher les importations : o o Volonté de développement un complexe militaro-industriel : ports… Ils vont favoriser les investissements : taux d’intérêts faibles pour

socialisme et accepte la doctrine sociale chrétienne. Il l'applique suivant un mode corporatif. Tout, dans le fascisme, est basé sur cette idée corporative, mettant chaque aptitude et chaque compétence à sa place normale, comme dans une corporation industrielle ordinaire, avec cette différence que, plus un chef a d'influence et de puissance, plus nombreux sont ses devoirs et plus rigoureux sont les comptes que l'État exige de lui. Le droit de propriété est sacré, dans l'État fasciste. Cependant, puisqu'il

Première partie étudie "l'Europe de toutes les réussites" (Pierre Chaunu), l'Europe à l'ouest de l'Elbe ; difficulté d'une étude comparative à ce niveau après le XVIe ( Le cas Anglais est privilégié pour le XVII/XVIIIe (révolution industrielle) ; puis le cas Français au XIXe/XXe. PREMIERE PARTIE : DE LA TUTELLE AU CONTRAT : Introduction : (p39-45) Distinction massive (p39-42) : Distinction de la problématique du secours et de la problématique du travail : "les populations qui relèvent d'interventions

métropole est la France. 2. Le commerce des fourrures constitue la base de l’économie en Nouvelle-France. La France vit à l’heure du mercantilisme. En important des fourrures de sa colonie, la France accroît ses richesses. 3. La Nouvelle-France est d’abord une colonie-comptoir, c’est-à-dire un territoire où on va chercher des richesses. Avec le temps, des colonisateurs français veulent bâtir une société en Nouvelle-France. De simple colonie-comptoir, la Nouvelle-France devient alors une colonie de peuplement

internationaux, préconise la spécialisation internationale et la suppression de toute entrave aux échanges. Au « laisser-faire » du libéralisme concurrentiel correspond ainsi le « laisser passer » du libre-échange. Cette théorie est en réaction au mercantilisme. Le libre-échange est un stimulant puissant du développement économique des nations : • l’augmentation de la taille du marché génère des économies d’échelle qui stimulent la croissance des entreprises ; • la concurrence renforce

| |3.2 Entrée des pays en récession | |3.3 Commerce international et production industrielle | |3.4 Emploi | |3

citoyenne = valorisé) - Chute féodalité → état moderne centralisé → économie politique classique = transposition de la bonne gestion au royaume tt entier (volonté de rupture ac la philosophie morale) => mercantilisme qui se divise en 2 groupes sociaux : commis de l'état (Colbert) et marchands, industriels, banquiers. Diversité des préceptes (étatistes ou libéraux) mais raisonnement dans un cadre commun. 1. Au niveau de l'économie tte entière 2. Commerce entre les pays 3. Commerce international = jeu à

Jacques Marseille, Empire colonial et capitalisme français : histoire d’un divorce Introduction Questionnement sur le rôle des colonies françaises, leur fonction dans la croissance et les transformations structurelles du capitalisme français. Contexte de la période post Trente-Glorieuse et du questionnement sur les failles du système productif français. Quelle est la part de l’héritage de la colonisation dans les difficultés économiques des années 1970 ? 1ère PARTIE : MYTHE ET REALITE DU BILAN

16 octobre 2003 Institut Français des Relations Internationales Pour une relance du cycle du développement : refonder le consensus multilatéral après Cancun Par Jean-Marie Paugam chercheur à l’IFRI 2 Résumé Le programme de développement de Doha conjuguait trois demandes divergentes des membres de l’OMC : les pays en développement voulaient rééquilibrer en leur faveur les accords existants ; les Etats-Unis voulaient un nouveau cycle de libéralisation ; l’Europe le voulait aussi mais en