Mercantilistes Physiocrate Points Communs

peuples F.Braudel : le capitalisme n’est pas né avec le protestantisme mais bien avant même si apport considérable. Les wébériens répondent que Weber a étudié l’esprit du capitalisme et non pas son système. Les princes et les marchands ont des intérêts communs à partir du 11ème et 12ème siècle => association vertueuse qui ne se fait plus avec l’Eglise à partir du 15ème siècle 1.2 Mercantilismes et physiocratie Les théories de l’Etat moderne (16ème-17ème siècles) « Le prince » de Machiavel (1469-1527)

Richesse des nations. Il y étudie la capacité qu'a l'individu de se former des jugements moraux, et il montre qu'un même individu peut être guidé à la fois par son intérêt personnel - ses passions - dans ses comportements économiques, et par la morale commune dans sa vie sociale. Il formule déjà la thèse, qui sera reprise dans la Richesse des nations, selon laquelle une «main invisible» pousse souvent chacun à agir en conformité avec les intérêts de l'ensemble de la société.    En 1763, il démissionna

frontière de production, on peut penser qu’il est possible de produire davantage de motos sans réduire la production de voitures. (Le point J qui est en dehors de la frontière de production, il est donc inaccessible. En partant de C, on ne peut avoir de motos sans renoncer à des voitures. Pour conclure le point C témoigne donc de l’efficacité productive tandis que le point J est inaccessible). Concernant l’efficacité de la production, un autre exemple peut être illustré à l’aide de cette frontière de

la bourgeoisie aime à peupler son monde à lui, le meilleur des mondes possibles » (Le Capital). Champ du chapitre : principalement Adam Smith et David Ricardo (secondairement Robert Malthus) On rappelle dans un premier point le contexte pour ensuite analyser dans un second point les principaux apports et limites de la pensée d’Adam Smith. 1. CONTEXTE HISTORIQUE 1.1. Contexte économique L’Europe connaît de profondes transformations économiques fin XVIIIe et XIXe siècles. C’est d’abord l’augmentation

qui sont liés à l’organisation collectifs. Il y a également une dimension morale. Jaques Wolves avec « l’histoire de la pensée économique en Chine ». . Soit le XVIème siècle ou après : On a certains qui commencent au XVIIIème siècle avec les Physiocrates (l’économie disciplines autonome l’histoire de l’analyse). Karl Pribram XIVème siècle avec l’évolution de la scolastique (pensée économique du Moyen Âge) Frietz Machlup « Essaie de Sémantique ». Il a une idée assez simple, il dit qu’en économie

éducation surtout de la dialectique, maths… * Les castes = ne doivent pas travailler, sont entretenus par la classe de faire et d’Airain. ne possèdent rien et ignorent les usages de la monnaie. Une sorte de communisme sexuel = les femmes sont communes à tous les hommes. Ils préconisent tout un ensemble de règles = de contrôle, de naissance et des rencontres. * Les sujets inférieurs doivent s’accoupler le moins possible. Problème = si plus d’enfants dans la classe inférieure, qui va produire

grands courants et, au sein de chaque courant, rattachées autant que possible à des auteurs. On étudie ainsi les idées économiques dans l’antiquité et au Moyen-âge à travers PLATON, ARISTOTE et d’AQUIN, puis à la Renaissance avec les mercantilistes, les physiocrates et les précurseurs de l’économie politique classique, en parallèle avec l’évolution des faits économiques ayant précédé la Révolution industrielle. L’économie politique classique est ensuite abordée après un chapitre consacré à la Révolution

redécouverte par Marx (19èmesiècle) : « c’est une représentation systématique de l’économie capitaliste » 1. La doctrine physiocratique : Physiocrates : nom donnés par eux-mêmes alors que leurs adversaires las appelaient des « économistes » (péjoratif) pour sous-entendre qu’ils étaient porteurs d’un savoir inaccessible au commun des mortels. Les physiocrates se nommaient les philosophes pour que les populations les comprennent. 2 mots grecs : physiocratie : phusis (la nature) + kratein (commander)

cela la vraie richesse c’est cette richesse matérielle qui permet la production et le progrès, c’est celui qui démultiplie l’efficacité du travail en permettant ce faisant aux biens d’acquérir de la valeur. Cette théorie de la valeur travail c’est le point fondamental et c’est ce qui attache les classiques à la sphère naturelle, sociale et à l’offre. Pour cette raison, les classiques sont des économistes de l’offre. -Principe du marché « autorégulateur » Le marché permet naturellement d’ordonner l’économie

de Smith à Stuart Mill. Elle couvre une période assez courte de 1776 à 1848 mais elle n’est pas unifiée, notamment sur le point de départ de la réflexion : la théorie de la valeur avec ses questions corollaires, qu’est-ce que la richesse, la valeur et qu’est-ce qui détermine et mesure la valeur ? En revanche, l’approche en termes d’économie réelle semble plutôt un point commun entre les auteurs qui les amène à considérer la monnaie comme voile et ne jouant pas de rôle sur le système productif. C’est